5 août 2008 2 05 /08 /août /2008 03:58

LE TEMPS QUI COULE

 

 








« Et je m’en fus parmi mon peuple songeant à l’échange qui n’est plus possible lorsque rien de stable ne dure à travers les générations, et au temps qui coule alors, inutile, comme un sablier. »

 

« Je n’aime pas les sédentaires du cœur.

 
Ceux-là qui n’échangent rien ne deviennent rien.

 
Et la vie n’aura point servi à les mûrir.


Et le temps coule pour eux comme la poignée de sable et les perd. »

 


(Antoine de Saint-Exupéry dans Citadelle)

 

 

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4 août 2008 1 04 /08 /août /2008 03:53

ANTOINE DE SAINT-EXUPÉRY : QUALITÉ DE LA CIVILISATION

 

 

 








« Au cours de mes longues promenades, j’ai bien compris que la qualité de la civilisation ne repose point sur la qualité des nourritures mais sur celles des exigences et sur la ferveur au travail.


Elle n’est point faite de la possession mais du don. »

 


(Antoine de Saint-Exupéry dans Citadelle)

 

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3 août 2008 7 03 /08 /août /2008 03:44

UNE HISTOIRE DE CONFIANCE

 

 








Par la confiance donnée, la prise de parole sait faire toute sa place à l’écoute de l’autre, la relation s’exempte de toute manipulation, la liberté de chacun et le respect de l’autre deviennent les maîtres mots.


La communication se nourrit alors de la vérité.


La relation devient union respectueuse du parcours et de l’intime de chacun.


Souligner l’exigence de la liberté et du respect dans une pleine reconnaissance de l’altérité comme la condition de tout dialogue fécond, c’est se faire témoin jusqu’au bout de la vérité dans la reconnaissance de la dignité de la personne.

 

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2 août 2008 6 02 /08 /août /2008 03:34


OPIUM DU PEUPLE

 

 









« La bagnole, la télé, le tiercé, c’est l’opium du peuple de France : lui supprimer, c’est le tuer, c’est une drogue à accoutumance. » chantait Renaud. (Hexagone dans « Amoureux de Paname »)

 


Et de fait, voilà l’authentique « opium du peuple », qui encrasse et intoxique les poumons de l’homme.

 


Car chez certains, on est bien dans ce registre : les signes extérieurs de pouvoir et de richesse, les distractions par multicanaux ou les jeux de hasard sont devenus des centres d’intérêt vitaux, qui rythment la journée, la semaine, captent l’attention et l’effort, et servent d’étalon pour hiérarchiser toutes les autres valeurs.

 


Bon nombre de nos contemporains, en somme, ne croient plus qu’ils sont responsables de la construction de leur vie, mais attendent qu’une bonne surprise les rende riches.

 

Mais la liste pourrait en être encore allongée, de ces miroirs aux alouettes contemporains, qui détournent l’homme de sa propre dignité : culte du corps, des soins, de l’apparence ; recherche effrénée des plaisirs, des sensations, des émotions ; possession de biens superflus et accessoires, voracité pour la nouveauté, affirmation de puissance et d’autonomie par la possession.


Miroirs auprès desquels l’homme ne recueille que l’aliénation.   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 03:01

BONHEUR SUPRÊME

 






Il faut clamer au monde que l’être humain  ne trouve pas sa valeur en fonctionnant comme une machine à consommer, « bouffer », acheter mais qu’il trouve sa dignité dans ce « supplément d’âme » irréductible qu’il doit cultiver et sans quoi il ne serait pas humain : l’intériorité.


Si une certaine idée de l’homme, une certaine idée de la société, actuellement en vogue, ne nous propose comme bonheur suprême que la joie d’aller passer son dimanche au supermarché pour ne rien perdre des embouteillages et des promiscuités de la semaine, nous laissons bien volontiers ce « merveilleux cadeau » à ceux qui l’ont inventé.

Nous préférons nous tourner vers ce qui demeure.

Même entouré de richesses, l’homme moderne « crève ».

Il ne sait où aller.

Il ne sait ce qu’il fabrique sur la terre.

 

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 03:57

PROFITER DE LA VIE

 






C’en est devenu comme un impératif, une injonction.


L'homme moderne, qui baigne dans le toujours plus et les excès, est sommé de profiter.


A tout prix.


De tout, de rien.


De son bonheur immédiat.


De sorte que, presque à son corps défendant, il en redemande, tout excité qu'il est à désirer, mais pas seulement : à se satisfaire, à consommer.


On peut l'accepter, le déplorer, le combattre, l'homme moderne vit dans le règne de la plus-value et de la montée de l'excitation qui accompagne cette quête de la plus-value.


Le psychanalyste Charles Melman l'a décrypté, qui, dans un livre d'entretiens avec l'ancien président de l'Association freudienne internationale, Jean-Pierre Lebrun, a brossé un portrait de l'homme occidental de ce début de siècle (L'Homme sans gravité) :


"Sans boussole, sans lest, affranchi du refoulement, moins citoyen que consommateur, un "homme sans gravité"."


Un homme sans colonne vertébrale.


Un homme qui plie au premier coup de vent.


La "santé mentale" relèverait aujourd'hui "d'une harmonie non plus avec un idéal mais avec un objet de satisfaction".


On ajoutera "immédiate".


Vouloir tout, tout de suite, ici et maintenant, en abondance.


Et, sur ce registre, on entrevoit les dégâts quand la satisfaction n'y est pas - ce qui, somme toute, est assez souvent le cas.


Dans la civilisation marketing, qui oriente les pulsions sur tout un tas d'objets de jouissance (un service, un produit, une promotion), le pousse-à-la-consommation pousse inéluctablement à la frustration.


Tout cela donne les états dépressifs (et la consommation d'antidépresseurs) que l'on sait.


Et, comme rien ne se perd, cela donne aussi, en marketing, cette nouvelle veine des marchés dits de la "compensation émotionnelle".


Cette tendance qui fait, par exemple, téléphoner ou envoyer des SMS pour ne rien dire, si ce n'est... ses frustrations.

 

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30 juillet 2008 3 30 /07 /juillet /2008 19:33

LA FORGE : COUP DE COEUR



Si vous passez par Honfleur, visitez la maison de Florence Marie :


"Des Animaux, des anges inclus dans les murs
de mosaïque, des arches, des niches décorées,
une sorte de tunnel entièrement peint, une
immense cheminée girafe et tout autour de
vivants caractères sur un fond peint
aux couleurs vives."

Le tout, empreint de beaucoup de philosophie et d'un sens original de la vie.

C'est l'artiste qui fait visiter sa maison : une visite "décoiffante". (visite sur rendez-vous)


http:/www.art-insolite.com/pageinsolites/insomarie.htm

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30 juillet 2008 3 30 /07 /juillet /2008 03:01

DÉFINITION DU VRAI LUXE

 

 




L’homme contemporain vit dans une incertitude qui corrode et qui détruit.

 

On ne tue pas le temps, c’est lui qui finit par nous tuer.


Le vrai luxe ne se confond pas avec la profusion.


Il ne s’achète pas.

 
Le vrai luxe est dans la maîtrise du temps, dans l’acceptation de l’instant présent, sans la nostalgie du passé, ni l’inquiétude du futur.

 
Dans cet abandon à ce qui nous est donné et qui demeure si précieux.

 

 

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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 03:10

VIE HEUREUSE

 

 






Une vie sans confiance n’est pas une vie heureuse.

 

Les hommes, pour la plupart, sont blessés, doutent d’eux­-mêmes et ont besoin par­ dessus tout de se comprendre.


Ils restent à la sur­face, au lieu de se plon­ger dans la profondeur des choses.

 

 

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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 05:36


BONNES VACANCES

 






Voici quelques réflexions sur les vacances, ce temps privilégié dont l’étymologie est déjà pleine d’enseignements. Vacuus, en latin, désigne tout à la fois le fait d’être vide et celui d’être libre. Nous ne serons donc pas étonnés si notre relation aux vacances conserve ce double sens :



  D’un côté, elles nous font rêver durant l’année : longuement attendues, parfois soigneusement préparées, elles sont ardemment espérées face aux contraintes et aux fatigues du quotidien.



  Mais paradoxalement, l’homme moderne semble ne rien craindre autant que le pur repos, au point que pour certains, l’action deviendrait quasiment une drogue.



Y a-t-il une bonne manière de prendre des vacances ?



Le temps du lâcher-prise



Le temps de vacances vient rappeler à l’homme qu’il n’est pas le propriétaire de son emploi du temps, de son action, de sa vie : mieux que cela, il en est le gestionnaire.



Le temps des vacances
vient aussi nous dire que nous valons plus que le simple produit de notre activité.



C’est un point important, à notre époque où volontiers on estime les gens à l’aune de leur efficacité, de leur rentabilité, de leur productivité.



Le temps du bilan



Tous les commerçants savent combien il est important de fermer  boutique durant quelques heures, voire quelques jours, pour faire le bilan de leur stock, revoir leurs comptes afin de savoir où ils en sont.



Partir (ou simplement être) en vacances, c’est accepter de prendre le risque d’évaluer en vérité ce qu’il nous a été donné de vivre durant l’année.



C’est accepter de discerner ce qui, dans notre vie, est important - ce à quoi nous tenons le plus - et ce qui est second, voire dommageable.



Cela nous conduira peut-être aussi à découvrir bien des incohérences et des pertes de temps.



Le temps de la gratuité



Les vacances sont aussi le temps où nous acceptons de laisser notre esprit et notre cœur ouverts à l’imprévu.



Précisément parce que c’est le temps du vide, ce peut être aussi le temps de la surprise : savoir contempler la nature, regarder celles et ceux que nous croisons sans toujours les voir dans la vie quotidienne, faute de temps, disons-nous facilement. C’est le temps de la gratuité : celle du regard, celle du cœur, celle de l’esprit : savoir être attentifs aux clins d’yeux que nous fait la Nature, afin de nous en émerveiller.



Temps de vacances : un temps de travail supplémentaire



Enfin n’oublions pas celles et ceux grâce à qui nos vacances sont possibles : travailleurs saisonniers ou réguliers œuvrant dans le tourisme.



Mais il serait grave d’oublier que ce temps privilégié est souvent, pour certains d’entre nous, un temps de surcroît de travail et de fatigue : que ce soit dans le domaine de l’hôtellerie ou celui de la restauration, il ne faudrait pas oublier celles et ceux qui sont à notre service.



Beaucoup reste à faire pour que la justice sociale soit respectée dans tous ces domaines.



Cela nous incitera à nous impliquer pour un changement d’esprit à l’égard des professionnels dont le travail facilite notre repos.



C’est là un effort à la portée de tous.



Le fait de payer ne suffit pas à donner tous les droits.



Il y a des manières de parler, d’agir, voire de penser.



Vaste programme, direz-vous peut-être...



C’est vrai, mais n’oublions pas l’adage selon lequel
l’art de se reposer est une partie de l’art de travailler.



Bien vivre ses vacances permet ensuite de bien vivre sa vie quotidienne.



Elles sont une occasion, parmi d’autres, pour prendre du recul afin de nous rendre vraiment libres.



Bonnes
vacances à tous !

 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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