LE TEMPS QUI COULE
« Et je m’en fus parmi mon peuple songeant à l’échange qui n’est plus possible lorsque rien de stable ne dure à travers les générations, et au temps qui coule alors, inutile, comme un sablier. »
« Je n’aime pas les sédentaires du cœur.
Ceux-là qui n’échangent rien ne deviennent rien.
Et la vie n’aura point servi à les mûrir.
Et le temps coule pour eux comme la poignée de sable et les perd. »
(Antoine de Saint-Exupéry dans Citadelle)