10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 03:19

NIETZSCHE : TRISTE SOCIÉTÉ

 

 




Nietzsche, n’hésitait pas à prophétiser devant le spectacle de son époque :

 

« Ils auront abandonné les contrées où la vie est dure, car on a besoin de chaleur.

 

On aimera encore son prochain et l’on se frottera contre lui, car il faut de la chaleur.

 

La maladie, la méfiance leur paraîtront autant de péchés ; on n’a qu’à prendre garde où l’on marche !

 

Un peu de poison de temps à autre ; cela donne des rêves agréables.

 

Et beaucoup de poison pour finir, afin d’avoir une mort agréable.

 

On travaillera encore car le travail distrait.

 

Mais on aura soin que cette distraction ne devienne jamais fatigante.

 

On ne deviendra plus ni riche ni pauvre ; c’est trop pénible.

 

Qui donc voudra encore gouverner ?

 

Qui donc voudra obéir ?

 

L’un et l’autre sont trop pénibles.

 

Pas de berger et un seul troupeau ! »

 

Triste société !

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9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 03:22

HUMILITÉ

 








« C’est quoi l’humilité ?


C’est le fait d’être modeste, de ne pas croire qu’on sait tout et que personne n’a rien à nous apprendre.


L’humilité c’est « avoir la petite tête », c'est-à-dire le contraire de la grosse tête !


Le sage est celui qui commence par reconnaître qu’il ne sait pas grand-chose, qu’il a tout à apprendre des autres. »



(Tahar Ben Jelloun)

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9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 03:16

CONTINGENCE ET FINITUDE DE L’HOMME

 






La science classique, avec son rêve de prévisibilité parfaite, affirmait sa volonté de construire un système de représentation exhaustif.


Elle était dominée par les notions de permanence et de stabilité, de prévision, de déterminisme et, par là, de maîtrise.


Avec son rêve de prévisibilité parfaite, elle affirmait sa volonté de construire un système de représentation exhaustif.


L’idée de certitude semblait être la seule véritablement digne d’une vraie démarche scientifique.


Or, l’émergence de la physique quantique et de la thermodynamique du non équilibre notamment marqua l’avènement dans le champ du rationnel, des notions d’incertitude, d’incomplétude, d’indécidabilité, notions qui modifient radicalement le statut de la connaissance.


En acceptant de quitter le déterminisme laplacien et l’idée de certitude pour le chaos déterministe et l’imprévisibilité, les scientifiques ont ouvert des possibilités toutes nouvelles au progrès des connaissances.


Ce changement de vision du monde ne peut être sans conséquence, on s’en doute, sur le comportement même du scientifique !


L’Univers n’est pas donné, il est en construction !


Quelque chose échappe, quelque chose qui est de l’ordre de l’origine.


Il apparaît que, tant l’étude du langage (Wittgenstein) que celle de la logique (Gödel), celle de la structure de la matière (Heisenberg) ou celle de l’évolution irréversible (Prigogine) débouche sur le même constat d’incomplétude, le même horizon d’indécidabilité, la même impossibilité à limiter le vrai à la totalité de ce qui peut être dit, formellement démontré ou immédiatement mesuré.


Reconnaître que quelque chose est formalisable, c’est aussi reconnaître que quelque aspect de cette chose échappe nécessairement.


Faire une théorie de la connaissance conduit à reconnaître que quelque chose nous échappe.


Et ceci n’est pas une défaite de la raison, mais une condition de progrès, une condition d’intelligibilité.


Aux notions classiques de causalité linéaire, de réduction, de complétude, de stabilité, font place celles de sensibilité aux conditions initiales, d’irréductibilité, d’incomplétude, d’incertitude, d’instabilité, d’imprédictibilité.


La science contemporaine nous invite à prendre la mesure de la positivité de cette incomplétude qui apparaît comme la condition même de la connaissance.


Elle conduit le scientifique à se poser la question de la place de l’homme dans l’histoire de l’Univers.


Il s’agit d’une belle ouverture à la question de la signification et à la place du sujet dans l’exploration du monde auquel il appartient !


Voilà que le progrès au niveau de la connaissance scientifique se traduit en terme de passage de la certitude à l’incertitude, qui n’est pas sans renvoyer l’homme à sa contingence et à sa finitude.


C’est l’action qui accepte la finitude, la contingence de l’homme, qui ouvre à l’universel.


Il y a toujours quelque chose qui échappe, acceptation d’une altérité fondamentale pour le sujet (altérité liée à une tension vers l’unité), acceptation de la finitude et de la contingence du sujet connaissant et choix de trouver un sens sur fond de non-sens.

 


Une certaine humilité en résulte, gage d’un progrès de la connaissance qui passe par l’abandon de certitudes définitives pour une incomplétude qui ne nie pas la recherche de la vérité mais qui met en évidence l’incapacité propre de l’homme à l’atteindre par lui-même.

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8 septembre 2008 1 08 /09 /septembre /2008 03:04

COMMENT DÉLÉGUER ?

 

 



 

Adapter la tâche à la personne :

 

Déléguer ne veut pas dire donner à ses collaborateurs ce que l’on ne veut pas faire ; une bonne délégation tient compte des compétences réelles de la personne à qui l’on délégue.

 

Soigner ses recrutements et la gestion des personnels.

 

Le point de départ est de disposer des bons collaborateurs, efficaces et dont les qualités sont complémentaires des siennes.

 

Soigner donc les recrutements puis veiller à placer chaque personne au poste qui lui convient le mieux.

 

Corriger les dysfonctionnements qui nuisent à la motivation et au bon fonctionnement.

 

Doser la délégation en fonction de la fiabilité de la personne :

 

Débuter avec un à priori de confiance envers le collaborateur, commencer par de petites délégations puis donner des responsabilités de plus en plus grandes si cela réussit.

 

Cela créera en outre une émulation vers la prise de responsabilité qui permettra de distinguer les meilleurs.

 

Organiser la délégation :

 

Une délégation ne s’improvise pas, elle nécessite de fournir au

collaborateur les moyens de réussir sa mission.

 

Ces moyens peuvent aller d’un soutien technique à une allocation de

temps supplémentaire, voire au suivi d’une formation.

 

 

N’avoir pas peur de perdre du temps :

 

Cette crainte est l’un des freins majeurs de la délégation.

 

Nombreux sont les managers qui considèrent que les collaborateurs vont

mettre plus de temps qu’eux pour réaliser la même tâche.

 

Si c’est le cas, voir plutôt le temps gagné à faire autre chose.

 

Avec le temps et la pratique, les autres deviendront plus efficaces.

 

Prendre en particulier pour règle de ne jamais faire un travail qui est normalement du ressort d’un de ses collaborateurs, même si cela prend plus de temps au début.

 

Responsabiliser le collaborateur :

 

Afin que le collaborateur se sente impliqué dans la mission confiée, il

faut qu’il en devienne effectivement responsable.

 

Cela implique de le dire clairement, d’en informer le reste de l’équipe et

de se comporter comme tel : ne pas le court-circuiter, positionner

l’importance de ce travail pour l’entreprise ou pour l’équipe.

 

 

Etre clair :

 

Si on souhaite un résultat précis, le dire et être très clair sur le résultat

attendu, tant en termes de délai que de contenu.

 

Donner toutes les informations nécessaires à la réalisation de la tâche –

y compris les contraintes – sans non plus noyer la personne

d’informations.

 

Tolérer les erreurs et encourager les efforts :  

 

Si le manager n’accepte pas les erreurs, le collaborateur ne prendra pas d’initiatives et restera passif (et qui ne commet pas d’erreur ?).

 

Encourager les réussites (sans excès…) et utiliser les erreurs comme moteur de progrès.

 

Conserver toujours l’équipe dans un état d’esprit positif.

 

Contrôler :

 

Déléguer n’est pas abandonner.

 

Il demeure de la responsabilité du manager de vérifier à échéances

régulières le bon déroulement du travail en cours.

 

Le contrôle doit être dosé en fonction du niveau de confiance dans le

collaborateur.

 

Aller jusqu’au bout de la délégation :

 

C’est aux collaborateurs de trouver eux-mêmes la solution à leur problème.

 

Cela n’exclut pas de leur donner une piste de recherche mais, en aucun cas, « faire à leur place ».

 

Ne pas reprendre également le dossier en cours de route, ou ne pas demander des justifications à tout bout de champs.

 

Faire confiance tout en accompagnant… 

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8 septembre 2008 1 08 /09 /septembre /2008 03:02

BON MANAGER

 

 





Le manager doit savoir se faire aimer et faire aimer le travail tout en se faisant obéir et respecter.

 

C’est un équilibre subtil à trouver, différent avec chaque subordonné.

 

Il dispose d’aides avec les récompenses et les sanctions, mais c’est avant tout sa relation personnelle avec ses subordonnés qui est déterminante.

 

Le management est un jeu de rôle à deux : il ne peut pas y avoir de bons subordonnés si le manager est mauvais mais il ne peut également pas y avoir de bon manager face à de mauvais subordonnés…

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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 19:29
CLIMAT DE CONFIANCE







Chacun sait que le climat de confiance est déterminant dans la vie d’une équipe.


Mais sait-on concrètement ce qui le développe et ce qui le tue ?


Dans sa version la plus pragmatique, la méthode peut se résumer à trois choses à faire et trois pièges à éviter. Commençons par les bonnes pratiques.


1. Partager l’information avec transparence. Faciliter l’accès de tous aux données importantes pour leur activité. Pas de code d’accès, pas de privilégiés, pas de tabous.


La confiance se crée par la libre circulation de la ressource la plus essentielle au fonctionnement collectif.


2. Avoir à coeur d’être prévisible pour autrui.


Rien de plus fatiguant que de travailler avec un collègue qui garde pour lui-même ses opinions, ses intentions, ses attentes et ses mobiles d’action.


Une personne de confiance, au contraire, est ouverte, fiable, cohérente. Elle dit ce qu’elle pense, fait ce qu’elle dit, explique ses réactions, commente ses décisions.


Est-on compréhensible et limpide pour ses collaborateurs ou au contraire compliqué, stressant, imprévisible ?


3. Parler avec franchise : dialoguer ouvertement, sans langue de bois, en abordant les vrais sujets. Sans oublier que la franchise se décline avec le courage de ne pas être brutal, afin de respecter ses interlocuteurs.


Du côté des pièges qui détruisent la confiance, les tentations sont nombreuses :


1. Ne pas honorer ses engagements : promesses non-tenues, retards fréquents aux réunions ou aux entretiens, non-respect des délais, négligence dans le suivi des missions confiées à d’autres, oubli de transmettre des informations, etc. Rien de tel pour casser un climat d’équipe.


2. Pratiquer le favoritisme : sait-on résister au plaisir de se confier plus volontiers à ceux que l’on apprécie et à la tentation de les privilégier dans nos actions ? La confiance se construit pourtant sur une base d’équité.


3. Critiquer quelqu’un derrière son dos en confiant son ressentiment à un tiers : cette "triangulation" est le poison de la vie d’équipe. La solution bien sûr est d’aller exprimer son différent en direct à la personne concernée. Mais on n’en a pas toujours ni la simplicité ni le courage.


La sincérité des sentiments est bel et bien un art difficile, à pratiquer quotidiennement.


Enfin n’oublions pas que la confiance se nourrit également de rires, d’échanges informels, de "discussions de café", de fun.


Est-ce que l’on rit beaucoup autour de vous ?


Est-ce que l’on se raconte des histoires avec bonne humeur ou bien le stress et la morosité ont-ils pris la place du plaisir ?

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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 03:54

MOTIVATION

 

 





La motivation du personnel est la source de toute réussite.

 

Un personnel motivé fera des efforts pour atteindre les objectifs, se responsabilisera.

 

Un personnel démotivé restera passif et se limitera au minimum imposé.

 

La motivation est un échange : le subordonné se motive pour le travail s’il y trouve suffisamment de satisfactions.

 

Parmi celles-ci arrivent généralement en tête : l’attachement à son chef et à l’équipe, l’intérêt du travail, la convivialité de l’équipe, les degrés de liberté, la reconnaissance des efforts, la sécurité.

 

Le salaire ne devient généralement important que dans le cas où le cadre de travail s’est dégradé.

 

L’environnement psychologique et émotionnel est souvent bien plus important que les aspects rationnels.

 

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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 03:23

PERFECTION

 

 




 

C’est une grande chance pour un manager que son équipe soit imparfaite parce qu’il y a aussi sa place.

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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 09:00
RÉFLEXIONS SUR LA MORT

 

    

 

 

 

  

 

 

Face à la mort, la raison n’apporte aucune explication satisfaisante. Le monde peut perfectionner ses techniques thérapeutiques en différents domaines, il demeure finalement impuissant à délivrer l’homme de la mort.

L’homme paraît seul devant l’absurdité de la mort, qui reste déconcertante, révoltante,
incompréhensible.

Devant le mystère de la mort, l’homme est impuissant.

 

Qui que nous soyons, nous subissons la mort. Quoi que nous fassions, nous ne pouvons pas l’éviter. Elle marque le terme inéluctable de toutes nos existences.

 

L’homme, par définition, est un mortel en sursis. Quelle qu‘en soit la cause , nous sommes tous destinés à mourir et nous n’avons, en face de cet impératif, aussi catégorique qu’universel, d’autre liberté que de nous y soumettre et de le subir.

 

La mort est le signe ultime de notre condition.

 

La mort est au terme et au carrefour de toutes nos routes.

 

Si familière et proche qu’elle soit, la mort demeure une inconnue. Comment comprendre, expliquer, légitimer une telle chute ?  Nous sommes tous habités par le même « pourquoi  ».

 

La mort est la plus grande énigme de la condition humaine.

 

Avec la mort d’une mère, c’est une lourde page de l’histoire d’une vie qui se tourne. Une absence qui provoque un vide immense. Surtout si elle a été merveilleuse d’attention, de délicatesse, de discrétion et de courage.

 

L’angoisse face à la mort apparaît lorsque l’homme découvre le non-sens du monde, son néant, son rien.

 

La mort est une absurdité, un non-sens. Cela revient à dire que, au premier abord, la question « pourquoi mourir ? » n’a pas de réponse ; il n’y a pas de sens à la mort, il n’y a pas de « pourquoi ? ».

 

La mort en tant que telle n’est pas acceptable. Scandale de la mort. Inacceptable réalité de la mort qui toujours, pour nos contemporains, semble surgir de nulle part, pour ravir, dérober, enlever. Oui, scandale de la mort. Lorsqu’il surgit dans notre entourage, c’est le problème le plus angoissant pour la conscience humaine, toujours remis en chantier dans l’histoire de la philosophie.

 

La perte des Parents est douloureuse et laisse des traces profondes au cœur.

 

Nous avons, bien souvent le sentiment de solitude devant la douleur et ceci fait partie de notre condition.

 

La première réaction humaine face à la mort est de ne pas l’accepter. Surtout lorsqu’il s’agit d’un enfant, d’un jeune.

 

Y a-t-il une plus grande douleur que la perte de l’un de ses enfants ?

 

Le problème de la mort est sans nulle doute celui qui questionne au plus profond le  cœur  de l’homme. Alors, on s’interroge : ce contresens a-t-il un sens ? Le problème de la mort a au moins le mérite de poser au plus profond les vraies questions sur l’homme et le monde. Sur le sens de la vie, l’au-delà de notre route.

 

Avec Job et le psalmiste, on n’a pas fini de s’interroger à l’envi : Pourquoi et quand ?

 

La mort demeure une souffrance.

 

Face à la mort, tout homme reste plongé dans une solitude absolue.

 

Elle représente pourtant le lot de tous. Rien au monde ne nous est si commun et si particulier à la fois.

 

Nous ne serons jamais trop humbles, trop discrets, trop compatissants, trop silencieux devant la mort.

 

La mort est l’épreuve la plus redoutable posée à la modernité. L’homme, libéré de toute transcendance se découvre seul devant la mort. Cette épreuve de l’absurde et de la solitude, épreuve du néant, est l’inespoir de la modernité ?

 

Face à la mort, l’épreuve résulte de l ‘absence de toute transcendance.

 

Grâce à la transcendance, il n’y a qu’une chose à savoir, la mort n’aura pas le dernier mot. Elle n’est pas un mur au fond d’une impasse.

 

Si forte que soit la souffrance, si vraies que soient cette séparation, cette disparition, cette fin.., la mort n’est pas le néant.

 

 

 

 

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6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 03:20

PROFIT

 

 




Le profit demeure indispensable au développement des entreprises.

 


Il est un facteur de viabilité, de pérennité et, in fine, d’indépendance.

 


Une entreprise qui ne fait pas de profit est vouée à disparaître.

 


Il ne faut jamais l’oublier.

 


Mais le profit doit être aussi un levier au service d’un projet sociétal pour l’homme.

 


Il s’agit de le positionner à sa juste place, qui est celle d’une condition nécessaire et indispensable et non d’un unique objectif.

 


Le capitalisme pourra alors être au service des hommes, et non pas les hommes à son service.

 

J’aime citer une phrase de Roger Fauroux qui disait qu’une entreprise non rentable est une entreprise voleuse.

 

La phrase est saisissante... et juste.

 

Mais cela ne suffit pas.

 

 

Nota

 

Roger Fauroux  a été président-directeur général du Groupe Saint-Gobain (1961-1986). Nommé directeur de l'École nationale d'administration (1986-1988), il a quitté ce poste pour devenir ministre de l'industrie, du commerce extérieur et de l'aménagement du territoire (1988-1991) dans le gouvernement de Michel Rocard.

 

 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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NEWMAN : VRAI GENTLEMAN
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SAINT-EXUPERY : QUALITÉ DE LA CIVILISATION
SAINT-EXUPERY : RACINES
SAINT-EXUPERY : RESPONSABLE
SAINT-EXUPERY : STABILITÉ
SAINT-EXUPERY : TOURNÉ VERS SOI
SAINT-EXUPERY : VANITÉ DE L’HOMME
SAINT-EXUPERY : VOYAGE
SARTRE : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
SERGE DASSAULT : GESTION PARTICIPATIVE
SPINOZA : JUSTICE
TEILHARD DE CHARDIN : APPARITION DE L’HOMME
TEILHARD DE CHARDIN : AVENIR
TEILHARD DE CHARDIN : DÉFI A LA PENSÉE
TEILHARD DE CHARDIN : DÉSORDRE
TEILHARD DE CHARDIN : EFFORT
TEILHARD DE CHARDIN : LE MONDE SE CONSTRUIT
TEILHARD DE CHARDIN : MANTEAU D’HUMANITÉ
TEILHARD DE CHARDIN : MONDE STUPIDE
TEILHARD DE CHARDIN : OEUVRE
TEILHARD DE CHARDIN : PAIX
TEILHARD DE CHARDIN : PRENDRE DE LA HAUTEUR
TEILHARD DE CHARDIN : RÉFLEXIONS SUR LA CRISE
TEILHARD DE CHARDIN : RÉUSSITE
TEILHARD DE CHARDIN : SOUFFRANCE
TEILHARD DE CHARDIN : VALEUR ABSOLUE
TEILHARD DE CHARDIN : VIE FONTALE
TEILHARD DE CHARDIN : VISION DU MONDE
TEILHARD DE CHARDIN : VIVE LA VIE !
TEILHARD DE CHARDIN : VOLONTÉ DE VIVRE
THEODORE MONOD
THÉODORE MONOD : LE PROPRE DE L’HUMAIN
THEODORT MONOD : DÉSERT 
THOMAS D’AQUIN
THOMAS D’AQUIN : ÉQUITÉ
THOMAS HOBBES : RIRE
THOMAS JEFFERSON : UN VISIONNAIRE !
THOMAS MANN : BONHEUR
TOCQUEVILLE : RELATIVISME
TOLSTOÏ : FORMER SA RAISON
VOLTAIRE : CUPIDITÉ ET ORGUEIL
YVES CONGAR : ESPRIT POSSESSIF