31 août 2008 7 31 /08 /août /2008 03:33

 REFROIDISSEMENT

 



« A notre époque, l’exil forcé et l’exclusion sont plus terribles encore que la désertification ou le réchauffement de la Planète.


Ce qui menace le plus la survie de notre humanité c’est la stérilisation et le refroidissement des cœurs et des sociétés modernes.


Fort heureusement, des hommes et des femmes de toute condition et de toute origine, de tout horizon, continuent inlassablement de croire en l’avenir de l’humanité par des comportements et des actions solidaires…


Que ce message vienne reverdir les grands déserts de nos vies et de nos sociétés ! »

 

  Claude Rault

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30 août 2008 6 30 /08 /août /2008 09:27
CLIMAT DE CONFIANCE






Chacun sait que le climat de confiance est déterminant dans la vie d’une équipe.


Mais sait-on concrètement ce qui le développe et ce qui le tue ?


Dans sa version la plus pragmatique, la méthode peut se résumer à trois choses à faire et trois pièges à éviter. Commençons par les bonnes pratiques.


1. Partager l’information avec transparence. Faciliter l’accès de tous aux données importantes pour leur activité. Pas de code d’accès, pas de privilégiés, pas de tabous.

La confiance se crée par la libre circulation de la ressource la plus essentielle au fonctionnement collectif.


2. Avoir à coeur d’être prévisible pour autrui.


Rien de plus fatiguant que de travailler avec un collègue qui garde pour lui-même ses opinions, ses intentions, ses attentes et ses mobiles d’action.

Une personne de confiance, au contraire, est ouverte, fiable, cohérente. Elle dit ce qu’elle pense, fait ce qu’elle dit, explique ses réactions, commente ses décisions.

Est-on compréhensible et limpide pour ses collaborateurs ou au contraire compliqué, stressant, imprévisible ?


3. Parler avec franchise : dialoguer ouvertement, sans langue de bois, en abordant les vrais sujets. Sans oublier que la franchise se décline avec le courage de ne pas être brutal, afin de respecter ses interlocuteurs.


Du côté des pièges qui détruisent la confiance, les tentations sont nombreuses :


1. Ne pas honorer ses engagements : promesses non-tenues, retards fréquents aux réunions ou aux entretiens, non-respect des délais, négligence dans le suivi des missions confiées à d’autres, oubli de transmettre des informations, etc. Rien de tel pour casser un climat d’équipe.


2. Pratiquer le favoritisme : sait-on résister au plaisir de se confier plus volontiers à ceux que l’on apprécie et à la tentation de les privilégier dans nos actions ? La confiance se construit pourtant sur une base d’équité.


3. Critiquer quelqu’un derrière son dos en confiant son ressentiment à un tiers : cette "triangulation" est le poison de la vie d’équipe. La solution bien sûr est d’aller exprimer son différent en direct à la personne concernée. Mais on n’en a pas toujours ni la simplicité ni le courage.


La sincérité des sentiments est bel et bien un art difficile, à pratiquer quotidiennement.


Enfin n’oublions pas que la confiance se nourrit également de rires, d’échanges informels, de "discussions de café", de fun.


Est-ce que l’on rit beaucoup autour de vous ?


Est-ce que l’on se raconte des histoires avec bonne humeur ou bien le stress et la morosité ont-ils pris la place du plaisir ?

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30 août 2008 6 30 /08 /août /2008 05:58

PROJET COMMUN

 

 






La durabilité du développement d’une entreprise n'a de sens que si celui-ci se (con)- centre sur, par et pour l'humain.


Dans une ode à la transformation des entreprises (« Transformer l'entreprise »), Xavier Hochet, directeur exécutif du cabinet de conseil en management Capgemini Consulting France, estime  que "les entreprises et les institutions doivent comprendre que, au-delà des transformations indispensables qu'elles doivent mener non plus pour s'adapter mais pour rester adaptables, leur capacité à créer durablement de la valeur dépend plus que jamais de leur capacité à fédérer des femmes et des hommes autour d'un projet commun".


Cette valeur créée sera dorénavant le fait de personnes appartenant chacune à de multiples réseaux et communautés d'intérêts, à qui l'envie de participer aura été donnée, plus qu'imposée.


Comme le note Philippe Lukacs, conseil d'entreprises innovantes, elle pourrait être moins la résultante d'échanges entre ces personnes sur le mode contribution/rétribution, que d'une véritable "alliance" au service d'une "vision commune".


Le titre de son livre est à lui seul un programme : « Stratégie pour un futur souhaitable ».

 

 
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30 août 2008 6 30 /08 /août /2008 03:53

CONFORMISME

 

 








 

Chaque génération fait preuve d’anticonformisme.

 

Mais elle le fait avec tellement de dépendance et de manque d’originalité qu’elle en devient conformiste.

 

Une masse d’informations, d’images, de messages médiatisés qui visent à uniformiser les modèles de vie et à donner le sentiment que, pour être normal, il faut être conforme au modèle de la publicité.

 

Contre ce conformisme, que trouvons-nous ?

 

Ou bien le lobbying, qui consiste, quand on est dix, à faire du bruit comme si on était cent, et quand on est mille, à faire croire que l’on est un million.

 

Ou bien la liberté intérieure qui permet de définir son chemin, non pas en imitant les autres, mais pour essayer d’imiter Celui qui, seul, donne sens à la vie.

 

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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 03:18

MOTIVATION

 

 






La motivation ne peut vivre que dans le cadre d’une confiance partagée et du respect mutuel.

 

La confiance permet tout d’abord l’acceptation puis la prise du risque.

 

La confiance génère la confiance.

 

C’est la clé de la motivation.

 

 

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28 août 2008 4 28 /08 /août /2008 03:09

COURSE SANS FIN

 

 





Dans la perception moderne de l’homme, le sens est dans l’avenir.

 

L’avenir est lieu de sens dans la mesure où il est celui de toutes les promesses.

 

Cette croyance devient position de vie.

 

Celle-ci est alors une course sans fin, une course à perte d’âme.

 

L’instant présent, lieu d’inscription du sens, n’est plus habité.

 

L’homme moderne constamment tourné vers l’avenir n’a pas de racines.

 

Cette absence ainsi que la difficulté de vivre au présent conduisent à une profonde crise d’identité.

 

Ne sachant qui il est, l’homme étant suspendu à une promesse dont il ne connaît pas le contenu et n’ayant pas l’expérience de la fidélité ne sait plus tenir sa parole, faire passer des valeurs.

 

Dans ce contexte, l’homme n’est plus tant à transmettre qu’à paraître.

 

 

 

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27 août 2008 3 27 /08 /août /2008 03:26

CONSOMMATION

 

 





 

La consommation n’est qu’un calmant temporaire de besoins existentiels.

 

L’homme tente en vain de se nourrir de biens qui ne répondent qu’à une partie de son attente.

 

Il croit que combler ses besoins apaise son désir.

 

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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 19:28
ESTIME DE SOI ET HUMILITÉ : QUEL PARADOXE !

IMPARFAIT, MAIS LIBRE ET HEUREUX



L’estime de soi, c’est le mélange du regard et du jugement que nous portons sur nous-mêmes.

Ce n’est pas de l’auto - admiration ni du narcissisme.

C’est le sentiment que nous éprouvons quand nous pensons à nous.

Une bonne estime de soi permet un rapport tranquille à soi-même.

L’estime de soi est une donnée fondamentale de notre bien-être quotidien et elle n’est pas acquise une fois pour toute.

Elle doit être alimentée régulièrement.

Le succès de nos actions et, surtout, le sentiment de reconnaissance nourrissent l’estime de soi.

Chaque fois que l’on nous accorde de l’attention, de la sympathie, que nous nous sentons estimés par les autres, nous allons mieux...

Les blessures, réelles ou imaginaires, de l’estime de soi nous sont procurées par la peur de l’échec et par celle du jugement social négatif.

Ne pas se dévaloriser globalement parce que l’on a échoué ponctuellement, c’est une des clés de l’estime de soi.

Avoir de l’estime de soi, ce n’est pas vouloir dominer les autres, mais prendre sa place au milieux d’eux.

Les sujets à basse estime de soi sont dans l’excès de doute, la dévalorisation, la vision négative d’eux-mêmes ; ils oublient leurs qualités et se focalisent sur leurs défauts, en pensant que ceux-ci leur interdisent d’agir librement, de se révéler, d’aller vers les autres... Ils se surveillent et se renseignent tout le temps, avec beaucoup d’évitements, d’interdictions..

Mais il y a ceux, également qui développent une trop haute estime de soi et compensent leurs doutes par le narcissisme et l’auto - promotion.

C’est une autre erreur, liée à la non - acceptation de ses limites et de ses fragilités.

Ils sont à plaindre.

Quels dégâts autour d’eux !

Que de gens malheureux parmi leurs collaborateurs !

Quelle inefficacité !

L’estime de soi est un besoin fondamental, même si ce n’est pas le seul facteur qui explique nos difficultés.

Si nous avons de nous une image trop fragile, cela contamine toutes nos activités, aussi bien relationnelles que matérielles.

Il faut s’interroger lorsque l’on souffre de soi : si on est trop préoccupé, soucieux de l’image que l’on donne aux autres, au point d’en souffrir et de saboter sa vie, si l’on n’arrive pas à agir et parler spontanément, à oser dire non ou à demander quelque chose facilement, si l’on est allergique à l’échec, si on est souvent très abattu par des échecs, réels ou supposés, inquiet d’avoir dit une bêtise, si on pense souvent être ridicule, si on ressent fréquemment de grandes émotions de peur ou de honte, d’envie, de jalousie. ..

L’estime de soi est un travail continu, de toute une vie.

Elle n’est jamais acquise, mais c’est une démarche passionnante, avec des buts innombrables.

S’enrichir de son quotidien, au lieu de s’en inquiéter, est un plaisir.

Quand notre imperfection cesse de nous tourmenter, quand nous acceptons sincèrement nos limites sans renoncer à les faire évoluer, tout change alors !

Apprendre à ne pas vouloir tout maîtriser, faire confiance sans devenir naïf pour autant est un autre domaine où nous avons à travailler régulièrement.

La confiance n’exclut pas le contrôle.

Bien sûr, ce travail peut se faire dans la tranquillité et la durée.

L’estime de soi, ce n’est pas l’admiration de soi, mais de l’amitié à soi.

C’est une « auto - acceptation -» amicale.

Elle ne nous dispense pas des efforts d’amélioration, mais elle nous aide à les accomplir dans une ambiance de bienveillance.

Nous sommes dans une société très compétitive, plus mobile, plus violente.

Faire ce que l’on attend de nous ne suffit plus.

Il faut sans cesse prouver qu’on a de la valeur et nous sommes jugés sur notre réussite.

Les pressions sociales sont multiples, mais résident dans trois grands domaines :

· apparence : obsession de la jeunesse...
· performance : tout maîtriser dans tous les domaines
· abondance : posséder les objets et signes de statut qui - nous le croyons - nous rendent estimables aux yeux des autres (la place de parking ! !).

Il faut apprendre à y résister ou à ne leur céder qu’un minimum.

Il y a évidemment des concessions à faire sur notre apparence, un minimum d’objets à posséder.

En ce qui concerne la performance dans le travail, le goût du travail bien fait et l’obéissance doivent nous préserver de toute vanité.

Puis, il faut apprendre à se construire autrement, loin de cette fausse monnaie de l’estime de soi.

On ne peut être libre et heureux que si on s’accepte imparfait.

Tant qu’on est prisonnier de la tyrannie de la perfection, nous n’arrivons pas à avancer.

Tout maîtriser nous pousse à ne pas agir, soit à agir sous une pression très importante et à reporter sur les autres nos insuffisances.

Accumuler les signes extérieurs de réussite nécessite souvent un immense effort. Qui s’avère vite vain ! !

Même si l’apparence de la réussite est là, c’est au prix d’une telle tension et de tels sacrifices à ce qui est essentiel que l’on voit rapidement des souffrances s’installer : anxiété, colères, dépression...

La bonne estime de soi passe toujours par l’humilité et l’oubli de soi.

Non pas par répression, mais par élévation : lorsque notre ego n’est plus source de souffrance, parce que nous avons pris soin de lui, alors nous pouvons nous intéresser à autre chose, nous tourner vers les autres, et agir sans être centré sur nous.

L’humilité est l’essence même d’une bonne estime de soi.

Elle permet de ne pas dépendre de son image et d’avancer à visage découvert.

Elle facilite l’action, car elle ne pousse pas à vouloir briller et ne fait pas craindre d’échouer.

Saint-Exupéry l’avait bien compris :

« Je comprends le sens de l’humilité. Elle n’est pas le dénigrement de soi.

Elle est le principe même de l’action. »
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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 03:24

LIGNES STRATÉGIQUES POUR MANAGERS

 

 

 




Pour exercer un bon management, il faut comprendre ce qu’est une personne.

 

Une anthropologie classique et opérationnelle (d’Aristote à Thomas d’Aquin) reconnaît trois dimensions à la personne : le corps (et ce qu’on pourrait appeler les « besoins matériels »), la psyché (avec des « besoins humains » comme le sensible, l’émotionnel, l’estime de soi…) et l’esprit (avec des « besoins spirituels »).

 

Ces trois besoins doivent être satisfaits afin que la personne soit comprise dans son ensemble.

 

On peut définir ainsi trois lignes stratégiques :

 

  • Création et distribution de la richesse (besoins matériels)
  • Qualité de vie (besoins humains)
  • Éthique, Vérité, Confiance (besoins spirituels).

 

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25 août 2008 1 25 /08 /août /2008 19:31
PARADOXES



HENRI de LUBAC




· Pensez, vivez, soyez : puis tachez d’exprimer scrupuleusement ce que vous pensez, ce que vous vivez, ce que vous êtes.

· Qui ne remonte pas aux causes profondes n’agira jamais en profondeur.

· Le mépris de l’homme est clairvoyant et efficace chaque fois qu’il s’agit d’utiliser les ressorts de l’homme à quelque fin égoïste et précise. Il est aveugle et inefficace s’il s’agit au contraire d’éveiller, d’élever, de transformer.

· Plus épaisse est l’ignorance, plus elle se croit éclairée.

· Toute pensée sérieuse est modeste. Elle n’hésite point à se mettre à l’école et a y demeurer longtemps. C’est à force d’impersonnalité qu’elle se conquiert elle-même et, sans le chercher, devient personnelle.

· La vraie clairvoyance est toujours naïve.

· « Les gens ne devraient pas tant réfléchir à ce qu’ils ont à faire ; ils devraient plutôt songer à ce qu’ils doivent être. » Cette réflexion de Maître Eckhart ne doit pas empêcher l’action, mais plus que tout autre l’homme d’action doit la faire sienne.

· Il importe de ne point oublier que beaucoup qui réclament au nom de la justice, voudraient seulement, de bonne foi peut-être, se trouver enfin les plus forts ou les plus avantagés.

· Le travail : engendré, chez l’homme, par le besoin animal, et, du même coup, outil pour s’élever au dessus de l’animalité. Dure servitude et force libératrice. Aujourd’hui encore, il demeure marqué de ce caractère ambigu.

· La patience est la sœur aînée de l’efficacité.

· Si le bonheur de l’homme peut être cherché dans l’avenir, la dignité de l’homme ne peut être respectée que dans le présent. Pour les autres, comme pour soi-même, lorsqu’un conflit menace, il faut choisir la dignité avant le bonheur. Et c’est le moyen de les sauver tous deux ; car, à supposer qu’on atteigne un certain bonheur, le bonheur sans la dignité n’est pas un bonheur humain.

· Pour recevoir, prends la dernière place, et pour donner aussi prends la place que nul ne veut !

· Toute souffrance est unique et toute souffrance est commune. Il faut me redire la seconde vérité quand je souffre et la première quand je vois souffrir les autres.

· Divisé, déchiré, déséquilibré même : faudrait-il dire heureux l’homme qui ne le serait pas ?

· Le respect de l’homme est fait en grande partie du respect de sa souffrance.

· Ceux qui reçoivent quelque chose sans peine, la gardent sans amour.

·
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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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