10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 01:10

ALAIN 15CHANGEMENT

 

 

 

 

 

 

Tout change très vite dans l’ordre des savoir-faire et le sentiment s’installe que ce qui ne change pas est dépassé.

 

Ce qui ne change pas ne compte pas.

 

C’est un sentiment qui méprise ce qui est hérité.

 

L’attention à ce qui ne change pas est celle qui manque le plus à notre temps sans mémoire et sans densité intérieure.

 

 

 

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10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 01:05

Impre2.jpgNIETZSCHE : FAITS ET INTERPRÉTATIONS

 

 

 

 

 

 

« Il n’y a pas de faits, il n’y a que des interprétations. »

 

(Fréderic Nietzsche, Œuvres philosophiques complètes)

 

La négation nietzschéenne des faits ne peut pas fonctionner comme théorie de l’interprétation : n’avoir rien d’autre que des interprétations équivaut à n’en avoir aucune.

 

Dans tout acte de management, il est primordial de privilégier les faits sur les opinions.

 

Voir également : 

 

 

  

Faits et opinions

Les faits sont la matière des opinions, et les opinions, inspirées par différents…

Les faits pas les opinions

Lorsque nous sommes confrontés à un différend, privilégions toujours les faits. Contrairement à…

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10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 01:00

 

EMPATHIE

 

 

 


Un manager doit développer sa faculté d’empathie, celle de ressentir avec d’autres leurs peurs, leurs attentes et leurs espoirs.

 

L’empathie se révèle essentielle pour le comportement social de l’homme.

 

 

 

 

 

Voir également :

 

EDITH STEIN ET L’EMPATHIE  

 

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 01:10

Ouessant1.jpgBONHEUR AU TRAVAIL

 

 

 

 

 

 

L’homme travaille pour gagner sa vie mais travailler seulement pour de l'argent, c'est renoncer à un grand défi de l’existence.

 

L'une des grandes sources de satisfaction du travail est le sentiment que l’homme change le cours de la vie.

 

Qu’il a, à la fin de notre journée, amélioré, même humblement, le monde.

 

Le bonheur au travail n’est pas une illusion, loin de là.

 

Mais ce bonheur est improbable.

 

Il est rare.

 

C'est un cadeau plus qu'un droit.

 

La prétention au bonheur quotidien par le travail est une idée moderne.

 

Quand l’activité professionnelle déçoit, il est utile de se rappeler que l’identité dépasse largement le contenu de la carte de visite.

 

Que l’homme est une personne avant d'être un travailleur et continuera à l'être une fois ses outils déposés.

 

J'aime beaucoup cette injonction d’Augustin affirmant que juger un homme sur son statut ou sa position sociale est une faute grave.

 

La valeur de l’homme est au-delà de ce qu’il accomplit.

 

 

Voir également :

 

Heureux au travail

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 01:05

soulages.jpgHOMME BLESSÉ

 

 

 

 

 

 

 

 

Cela peut paraître superflu de dire que chaque personne est importante et unique.

 

Mais, hélas, l’homme n’agit pas toujours comme si cela était vrai.

 

L’homme a un cœur vulnérable : il a besoin d’être estimé et reconnu et d’avoir confiance en lui.

 

L’homme est souvent blessé, écrasé même d’une façon ou d’une autre.

 

Des peurs lui sont inculquées, qui font qu’il a du mal à être et à vivre avec d’autres.

 

En chaque personne se trouve un fond d’angoisse, un chaos caché, susceptible de surgir en violence.

 

Il en résulte des sentiments de supériorité ou d’infériorité qui lui collent à la peau.

 

Chaque homme a blessé d’autres personnes et a été blessé.

 

Il faut en prendre conscience.

 

 

 

 

Voir également :

Blessure au travail

Blessure au travail

 

Nul ne doit être blessé, nul ne doit être conduit à la tristesse. La tristesse ne fait que…

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 01:00

 

CONSEILS POUR LES JEUNES

 

 



Quelques conseils pour de jeunes diplômés :

 

« Il faut savoir dire non.

 

Il faut accepter l’échec.

 

La vie professionnelle est faite de petits détails.

 

Soyez rigoureux.

 

Soyez à l’écoute des autres.

 

Dès que vous sentez le moindre problème, le moindre conflit, désamorcez-le aussi vite que possible.

 

En étant des êtres de vérité et en restant vigilant, vous avancerez et vous construirez, au fil des opportunités et des rencontres.

 

Soyez entrepreneur de votre vie ! »

 

 

 

 

Voir également : 

 

Conseils pour les jeunes

 

 

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 01:10

soulages.jpgUNE ÉQUIPE QUI MARCHE BIEN

 

 

 

 

 

 

Une équipe qui marche bien, c’est une équipe où les salariés sont heureux de faire ce qu’ils font.

 

Une pause dans votre emploi du temps, un instant de réflexion pour répondre à une question : vos salariés sont-ils heureux ?

 

 

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 01:05

Soulages7-.jpgGRAND ART DU MANAGER

 

 

 

 

 

 

Le grand art du manager est de concilier l’efficience et ce principe de base de la relation humaine :

 

« Personne ne peut décider de ce que les autres doivent penser, faire ou éprouver, dans le bonheur comme dans le malheur. Mais tous, nous pouvons essayer d’en comprendre le sens, sans jugement. »

 

 

 

Voir également :

 

MANAGEMENT AU SERVICE DE LA PERSONNE
MANAGEMENT ET LEADERSHIP
MANAGEMENT ÉTHIQUE
MANAGEMENT ÉTHIQUE

MANAGEMENT VÉCU

BIEN DIRIGER 
BIEN MANAGER
BIEN MANAGER ET SOUCI DES AUTRES
BON CHEF
BON ET MAUVAIS MANAGER 
BON MANAGER
BON MANAGER 

 

MANAGER : ÊTRE DEBOUT
MANAGER HEUREUX
MANAGERS A EVITER
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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 01:00

undefinedCONDITION HUMAINE

 

 





La question la plus importante qui existe actuellement ; la question fondamentale : celle de la condition humaine.

 

Somme-nous, comme le pense Jacques Monod, des « paquets de neurones perdus dans l’immensité indifférente de l’Univers » ?

 

Ou existe-t-il un autre niveau de réalité que celui dans lequel nous vivons actuellement ?

 

Jacques Monod, dans Le hasard et la nécessité décrit le « désenchantement du monde » en ces termes :

 

« L’homme ne peut se leurrer de l’espoir qu’il participe à quoi que ce soit qui le dépasse. Il sait enfin qu’il est seul dans l’immense indifférence de l’Univers d’où il a émergé par hasard. »

 

Le désenchantement du monde débouche sur celui de l’homme.

 

Le prix Nobel Steven Weinberg, qui a exprimé ce désenchantement dans une phrase célèbre : « Plus nous comprenons le Monde, plus il nous semble dépourvu de signification. » abonde en ce même sens et cite un autre astrophysicien, Jim Peebles, de Princeton : « Je suis porté à croire que nous ne sommes que des débris de bois flottant à la surface de la mer. »

 

Car si l’Univers n’a pas de sens, peut-on vraiment affirmer que l’homme peut s’en inventer un à lui-même ?

 

Un « paquet de neurones » peut se modifier et se détruire à volonté, ainsi, au nom de quoi le respecterait-on ?  

 

Un garde-fou essentiel vient de disparaître.

 

L’un de ceux qui avaient le mieux perçu cette idée, il y a déjà plus d’un demi-siècle, est Antoine de Saint-Exupéry, dans Pilote de Guerre :

 

« L’homme de ma civilisation ne se définit pas à partir des hommes.

 

Ce sont les hommes qui se définissent par lui.

 

Il est en lui, comme en tout être, quelque chose que n’expliquent pas les matériaux qui la composent.

 

Une cathédrale est bien autre chose qu’une somme de pières. Elle est géométrie et architecture. Ce ne sont pas les pierres qui la définissent, c’est elle qui enrichit les pierres de sa propre signification. »

 

Il perçoit avec une acuité extraordinaire le drame de l’humanisme contemporain :

l’impossibilité de trouver un fondement solide à l’homme dans un monde où il ne serait « rien d’autre que… ».

 

Il poursuit :

 

« On ne dit rien d’essentiel sur la cathédrale si l’on ne parle que de pierres.

 

On ne dit rien d’essentiel sur l’Homme si l’on cherche à le définir par des qualités d’homme.

 

Nous avons glissé, faute d’une méthode efficace, de l’Humanité qui reposait sur l’Homme, vers cette termitière qui repose sur la somme des individus.

 

Si notre société pouvait encontre paraître souhaitable, si l’homme y conservait quelque prestige, c’est dans la mesure où la civilisation véritable, que nous trahissons par notre ignorance, prolongeait encore sur nous son rayonnement condamné, et nous sauvait malgré nous-mêmes. »

 

 

L’image employée par Saint-Exupéry (le « rayonnement condamné ») est terrible : celle d’une étoile qui nous réchauffe de sa lumière, mais qui est déjà morte, qui a déjà explosé.

 

Comme elle est située très loin de nous, sa lumière nous parvient encore un peu, longtemps après sa mort.

 

Mais viendra inexorablement le moment où cette lumiére s’éteindra.

 

Nous sommes ainsi condamnés à l’obscurité complète, sauf si, dans le temps qui nous reste, nous pouvions retrouver cette source de lumière ; retrouver le Chemin, la Vérité et la Vie.

 

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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 01:10

soulages6.jpgVIVRE

 

 

 

 

 

 

 

L’homme ne peut vivre qu’en aimant les personnes et les choses qui l’entourent.

 

Personne ne vit pour soi : cette phrase est un peu la clé du bonheur.

 

 

 

 

Voir également :

 

BONHEUR

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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