28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 00:55

                       RÉFLEXIONS SUR LE TRAVAIL








LES PARADOXES DU TRAVAIL

La valeur « travail » semble se perdre.

 

La priorité pour de nombreux contemporains est devenue le « temps libre ».

 

Cette situation nouvelle est préoccupante pour l’avenir de notre Société.

 

Peut-on construire un avenir sans travailler ?

 

La mise en œuvre des 35 heures semble être une véritable catastrophe sur le plan économique et sur le plan sociétal.

Quel sens sonner au travail ?

 

Le travail est une réalité pleine d’interrogations et de paradoxes.

 

Pourquoi travailler ?

 

D’ou vient le travail ?

 

Etait-il prévu et programmé dès l’origine ? et, si oui, pourquoi est-il marqué par la difficulté ?

 

Que serait une vie sans travail et qu’est notre vie avec tout ce travail ?

 

Autant de questions qui interpellent la sensibilité, l’intelligence, l’individu et la Société et qui attendent une réponse de la raison et du cœur.

 

Les paradoxes s’entrechoquent à propos du travail.

 

Cette réalité la plus commune est aussi la moins bien partagée.

 

Cette activité la plus courante engendre les plus grandes disparités.

En observant les gens qui m’entourent,- des intellectuels et des manuels, des communicatifs et des silencieux, des impulsifs et des calmes, - l’homme est toujours intéressé par le travail mais il aspire souvent à en sortir. Il peut aussi bien s’y perdre que s’y épanouir.

 

Dans les équipes, il divise autant qu’il rassemble. Il libère et il contraint.

 

Rend fier et malheureux.

 

Fatigue et épanouit.

 

Provoque l’envie et suscite l’ennui.

 

Quand il est absent, on le revendique ; et quand il est présent, on le rejette.

 

Stimulant et fatiguant, agréable et fastidieux, il abat et il exalte.

Pour rien au monde on ne voudrait en manquer ; au moindre prétexte, on se plaint d’en avoir trop.

 

Autant de paradoxes, qui nous interpellent, font du travail une des réalités de la vie qu’on ne se lasse jamais de vivre et d’observer.

UNE JUSTE PLACE POUR LE TRAVAIL

Le travail de l’homme est marqué par la peine et la difficulté. Il est une exigence quotidienne. Il entraîne parfois fatigue et lassitude, et peut-être aussi rivalités et affrontements.

 

Attrayant et contraignant à la fois, gratuit et intéressé en même temps, appelant une participation nécessaire et un salaire obligé, dans une incessante dialectique du travail demandé et de rémunération versée.

 

L'entreprise pour laquelle nous travaillons doit générer du bénéfice, sinon elle disparaît.

 

C'est son objectif principal.

 

Cela doit être notre objectif prioritaire.

 

Ne pas travailler reste un drame et une faute.

 

Le juste équilibre ne sera jamais facile à trouver et à vivre.

 

Le travail nous coûte et nous contraint ; mais il nous libère et nous épanouit. Il nous rend libre.

 

Il y a donc pour l’homme à la fois le travail « contrainte » et le travail « libération ».

 

Le travail, qui est un bien, doit rester un moyen.

 

Il ne saurait jamais être une fin ; le but du travail est de gagner sa vie et non pas d’accumuler des avoirs.

 

Le travail doit trouver sa place.

 

Toute sa place.

LA DIGNITE DU TRAVAIL

Le travail constitue une dimension fondamentale de l’existence humaine.

 

Le premier fondement de la valeur du travail et son but doivent être l’homme lui-même : le travail est avant tout pour l’homme, et non l’homme pour le travail.

Quelles sont les réalités qui confèrent au travail humain sa dignité ?

· La dimension personnelle. C’est par le travail que l’homme se construit, se forme et devient « plus homme ».

· La dimension familiale : le travail est le fondement sur lequel s’édifie la vie familiale.

· La dimension sociale : la société humaine est le fruit du travail de toutes les générations. Nous devons en être reconnaissant.

 

Pour être digne, le travail doit avoir une raison d’utilité et de service, il doit permettre à ses acteurs de vivre avec décence et dignité, il ne doit pas porter atteinte à la santé et à l’intégrité de la personne, il doit comporter les dimensions d’autonomie, de créativité, d’initiative, il doit permettre, enfin, un compagnonnage qui unit plutôt qu’il ne sépare.

 

Le travail est un chemin de croissance lorsqu’il relie à soi-même et aux autres.

 

Il est moins dans ce qu’il nous permet de gagner mais dans ce qu’il nous permet de devenir en humanité.

TOUJOURS GARDER LE RESPECT DE L’HOMME

La reconnaissance sur le lieu de son travail est souvent une question posée.

 

On juge chacun au travail qu’il fait.

 

La grande difficulté de l’homme est de prendre du recul par rapport au regard des autres.

 

Il a toujours tendance à estimer ses actions en fonction du fait qu’il a été reconnu ou non.

 

Qui peut nous aider à prendre du recul et avoir un regard objectif sur son action ?

 

Se situer en liberté ?

 

Le travail est un sujet de fierté, de reconnaissance par les autres, mais il est aussi la prise de conscience de ses limites.

 

Il faut les accepter et sans cesse se former.

 

Sous la pression des uns et des autres, du temps, il ne faut pas perdre le respect de l’homme au profit de la tâche à accomplir.

 

La tentation la plus grande est le manque de patience, vouloir faire tout en vitesse, et si cela ne réussit pas, le faire brusquement et brutalement.

 

Voir cela chez d’autres attriste, le déceler en soi-même blesse profondément.

 

Le travail s’avère aussi une école d’humilité : le monde peut tourner sans soi.

 

S’en rendre compte aide à donner, dans sa vie, toute sa place au travail, mais rien que sa place.

Apprendre également l’humilité du service ; service du client sans qui l’entreprise n’existe pas, service de ses collaborateurs, sans qui la tâche est impossible ; mais service qui fait grandir et qui apporte le vrai bonheur.

Développer le goût du travail bien fait dans l’intérêt du bien commun, qui apaise et réconforte.

LE TEMPS LIBRE

Nos contemporains ont souhaité voir développer leur temps libre.

 

Quel bilan en tirer ?

 

Tout naturellement se pose une question : qu’est ce que l’homme en dehors ou après son travail ?

Depuis des millénaires, on envisage l’homme principalement sous l’angle du travail.

 

Que sert à l’homme de gagner sa vie par le temps imparti au travail, s’il vient à la perdre par un temps de loisirs qui serait aliénant !

 

Le temps passé devant la télévision laisse songeur (quatre heures en moyenne par jour).

 

Ce spectacle permanent d’images forment maintenant la pensée.

 

Les termes de « grille » et de « chaînes » en disent long sur la relation entre le téléspectateur et son petit écran.

Le temps libre, temps de liberté, devrait favoriser la créativité et la rencontre des autres et de soi-même.

 

Oui, temps privilégié pour se trouver soi-même, en prenant de la distance par rapport au temps, pour se reposer la question du sens de son existence et d’être disponible aux autres.

Trouver le temps nécessaire pour une vie productive mais aussi paisible et équilibrée.

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27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 01:10

Manessier 11TRAVAILLER, CONSOMMER, MOURIR

 

 

 

 

 

 

Travailler : eh oui !, il faut travailler, c’est de tout temps, et ceux qui n’ont pas de travail en voudraient bien un. Quel sens donner à son travail ?

 

Consommer : certes, il y a abus, tournis des ventes, des soldes, des crédits, de l’inutile, mais on peut aussi assagir sa consommation, la rendre intelligente, sobre. Comment la rendre utile aux autres ?

 

Mourir : oui, on va tous mourir un jour. Rien de neuf de ce côté-là.

 

Parlons en : comment on y va vers la mort ? Et après, qu’est-ce qu’on fait ? Qu’est-ce qu’on espère ?

 

La civilisation, c’est se poser des questions.

 

 

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27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 01:05

Manessier 10VIE ÉQUILIBRÉE

 

 

 

 

 

 

Chercher à mener une vie aussi équilibrée que possible en donnant le temps qu’il faut à sa famille et à ses proches est tout à fait normal.

 

C’est une des recettes de la durée en toute matière.

 

 

 

 

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27 juin 2010 7 27 /06 /juin /2010 01:00

undefinedPRINCIPES FONDAMENTAUX DE MANAGEMENT

 

 

 


.
T
oute personne a une égale dignité, quels que soient son origine, sa place dans la société, mais aussi les actes ou les erreurs qu’elle a pu commettre.

 

. Le progrès social et la performance économique sont complémentaires et interagissent l’un sur l’autre pour aller vers le moyen et le long terme. Ce sont comme les deux jambes qui permettent d’avancer. Toute personne qui est « bien dans sa peau » peut devenir plus performante et cela a un impact aussi au-delà de son travail.  


. Il faut s’efforcer de porter une égale attention à toute personne quel que soit son statut.

 

. Il faut donner la priorité aux plus fragiles.

 

. Il faut faire attention à porter un jugement sur les actes, les résultats, mais non sur les personnes.

 

. Il faut croire à la possibilité de chacun de changer, sans s’enfermer dans un personnage.

 

. Il faut appliquer le principe de subsidiarité, qui consiste à faire prendre les décisions au plus bas niveau compétent.

 

 

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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 01:10

ManessierÉCONOMIE DE MARCHÉ

 

 

 

 

 

 

Nos compatriotes se méfient de l’économie de marché.

 

Peu de gens comprennent bien ses fondamentaux.

 

L’élément fondamental de l’économie n’est pas la production, comme cela devrait être, mais la vente. Celle-ci est l’acte au cours duquel le consommateur exerce son jugement et sa responsabilité.

 

Quand on vit quotidiennement l’économie de marché, on comprend très vite que le pouvoir n’est pas chez le PDG de l’entreprise, mais chez le client à qui la concurrence a donné la main.

 

Vu sous cet angle, le responsable de l’entreprise est d’abord au service des clients puis des collaborateurs et des actionnaires.

 

Sa responsabilité est pourtant de s’assurer que ces trois groupes croissent et prospèrent aussi harmonieusement que possible, sachant que la perfection n’est pas de ce monde.

 

 

 

Voir également :

 

Client 

 

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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 01:05

jenkinks1L'ESSENTIEL C'EST LA RELATION

 

 

 

 

 

 

 

 

D'où vient qu'en effet, dans nos existences, des événements aboutissent à un bouleversement de la "hiérarchie" des soucis, des préoccupations, de l'importance relative des choses ?

 

D'où vient qu'une nouvelle, privée ou publique produise un choc qui aboutit à une remise en ordre des valeurs ?

 

Dans les sociétés, comme dans les cœurs, il y a de ces résonances qui vous changent soudain la perception de ce qui vaut la peine (ou la joie) et de ce qui ne vaut, finalement, pas grand-chose ?

 

Sans doute cela vient-il de notre propre fragilité face aux risques du "manque" quand des attachements sont menacés, quand des souvenirs font irruption, quand l'enfantine peur du noir s'installe.

 

C'est toujours au fond de soi qu'il faut aller rechercher la cause de cette révolution.

 

Tout ce qui bouleverse révèle qu'on n'est pas seul au monde et cela donne le vertige. 

 

Vertige de vérifier que le principe d'humanité, c'est la relation.

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26 juin 2010 6 26 /06 /juin /2010 01:00

EMMANUEL LEVINAS : ÉTHIQUE

 






Emmanuel Levinas a toujours travaillé à la frontière de plusieurs domaines : éthique, phénoménolo­gie, anthropologie, esthétique, philosophie politique.


Il ne s’est guère installé dans un lieu privi­légié, tout en ne désertant pas les enjeux de son temps.


Phi­losophe de l’excès, du « non-lieu », Levinas a aussi cherché des points de convergence, de recouvrement.


Il a, sans cesse, tenté de redessiner un paysage où l’éthique ne serait plus une branche de la philoso­phie, mais bien la philosophie première.


Selon Levinas, la philosophie n’est peut-être que « cette exaltation du langage où les mots, après coup, se trouvent une condition à laquelle les sciences et les techniques doivent leur équilibre de sens ».


Un sens qui excède la signification.

 

 

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 01:10

Kim801TOCQUEVILLE : RELATIVISME

 

 

 

 

 

 

 

Tocqueville s’est demandé d’où venait cette tyrannie possible de l’opinion dans l’état social démocratique.

 

Et il a démasqué la confusion suivante : puisque l’un est statutairement l’égal de tous les autres, chacun peut être amené à croire qu’alors, sa pensée vaut bien toutes celles des autres.

 

C’est ainsi que le relativisme vient de l’état de l’opinion en démocratie.

 

 

 

 

Voir également :

 

RELATIVISME

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 01:05

Kim800TOLÉRANCE



 

 

 

 

 

 

Avec la tolérance, il s’agit de tolérer les personnes et leur liberté, ce qui ne signifie pas être d’accord avec elles sur toutes leurs idées.

 

Le signe du respect pour quelqu’un peut résider dans la capacité à lui exprimer un désaccord avec ses idées.

 

La tolérance n’a rien à voir avec l’idée que « tout se vaut ».

 

Il n’y a pas de lien entre tolérance et relativisme car si la tolérance est fondée sur le relativisme, c’est l’indifférence.

 

Voir également :

 

Tolérance

 

 

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 01:00

RIEN

 

 






Il n'y a jamais "rien" à penser, à voir, à lire, à écouter, à méditer.

 

C'est quand le silence se fait que l'on entend le mieux les bruits venus des "lointains", les invites à tendre mieux l'oreille.

 

"Le silence éternel des espaces infinis, m'effraie", disait Pascal.

 

Mais il parlait du cosmos, pas de la terre humaine qui est polyphonique.

 

Lorsque "rien" ne semble venir, c'est que l'essentiel approche.

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Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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