18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 01:05

de-laidet-107.jpgRÔLE DU CHEF

 

 

 

 

 

 

 

A un "chef" incombe la responsabilité d'organiser, de commander, de diriger un certain nombre d'hommes et de femmes dans un certain nombre de circonstances et pour un certain nombre d'actes donnés.

 

Il n'est pas un "maître" au sens où il n'est pas propriétaire de quoi que ce soit, mais plutôt le dépositaire d'une autorité à mettre au service du projet qu'il "entreprend", qu'il veut créer et faire avancer.

 

 

Voir également :

 

BON CHEF

 

QUALITÉS D'UN BON CHEF

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 01:00

 

 

PATIENCE

 

 







On ne le dira jamais assez : la patience est la première des qualités exigées d’un manager.

 

La patience n’exclut pas l’audace et le courage, la compétition et l’engagement, la prise de risque et même l’échec, la rigueur et l’exigence ; elle en serait plutôt un compagnon, utile voire indispensable, au contraire de l’empressement ou de l’agitation stérile qui génèrent un stress inutile et dévastateur.

 

« Patience et longueur de temps /Font plus que force ni que rage », concluait déjà Jean de La Fon­taine, dans Le Lion et le Rat.

 

Est-ce à dire que la patience devrait aussi accompagner l’usage que nous faisons du principe de précaution ?

 

On peut le penser, si nous n’oublions pas, avec Emanuel Levinas, que la patience a partie liée avec l’attente, une attente plus orientée vers un probable encore à préciser que vers des certitudes fébrilement désirées.

 

Non pas que nous puissions nous passer d’un but à atteindre, d’une mission à accomplir, mais la patience est là pour nous permettre de leur accorder la place, la valeur qu’ils méritent, d’introduire la part d’aléas et d’histoire propre à toute entreprise vraiment humaine.

Mais respectueuse de l’autre.

 

Qu’il sonne juste, le proverbe du Sahara qui explique :

 

« La patience est un arbre.

 

Amères sont ses racines, mais très doux ses fruits.

 

 Au bout de la patience, il y a le ciel. »

 

Le ciel n’est ouvert qu’à la condition que soient posées au préalable quelques qualités, quelques vertus.

 

La patience, aux racines amères et aux fruits doux, est l’une d’entre elles.

 

Le respect de ses collaborateurs est l’autre.

 

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 01:20

DANS L’ENTREPRISE ON NE FAIT PAS DE PHILOSOPHIE !

 

 



C'est une expérience à faire "chez soi", comme disent les pages sciences des revues pour enfants.


Réunissez un panel représentatif de plusieurs générations, installez confortablement les heureux élus et posez lentement la question : "la philo au lycée, c'était comment ? "


La question déclenche invariablement une foule de réactions (le plus souvent très émotives) et de témoignages divers...


Succès garanti.


Le débat déborde très vite sur le maintien, ou non, de la philo en terminale... de sa pertinence et de son utilité, etc.


Eh bien, en matière de philo, il en va comme des goûts et des couleurs : on aime ou on n'aime pas.


"C'était d'un ennui... à mourir" dit l'un ;


"Comment ? Impossible ! Pour moi, la philo fut une révélation" dit l'autre ;


"Comme j'étais en math-élèm on n'a fait que de la logique pendant une année entière, dur, dur" se souvient un troisième.


Il y a ceux qui ont adoré les cours sur Kierkegaard, ceux qui ont détesté Bergson.


Enfin, il y a la phrase qui tue : « Dans l’entreprise, on ne fait pas de philosophie ! »


Et pourtant !


Si nos managers avaient un peu plus de connaissance en anthropologie - la science du comportement -, cela changerait tout !

 

Les collaborateurs seraient plus heureux.

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 01:10

chagall04.gifFINITUDE DE L’HOMME

 

 

 

 

 

 

 

 

L’homme est un être dont il faut savoir reconnaître, et comprendre la finitude.

 

Il ne maîtrise pas son existence.

 

N’ayant pas désiré être, il ne peut se maintenir indéfiniment.

 

Accessible à la maladie, à la dégradation de l’âge, il chemine inexorablement vers la mort.

 

Sa volonté, sa liberté subissent la pesanteur des conditionnements – matériels, psychiques, culturels – installés au fil de son histoire personnelle.

 

Il est vain de se lamenter sur cette finitude.

 

Elle constitue l’homme, tout simplement.

 

Aspirer à une perfection contre nature constitue une erreur, voire une faute d’orgueil. 

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 01:05

chagall00.gifANOMIE

 

 

 

 

 

 

 

 

Souffrons-nous d’un retour en force de l’éthique ou, à l’inverse, de son déclin ?

 

Que penser et qui croire ?

 

Et n’est-ce pas, de fait, l’anomie, concept forgé par le sociologue Émile Durkheim, qui caractérise au mieux notre époque ?

 

Se définissant comme la situation où se trouvent les individus lorsque les règles sociales qui guident leurs conduites et leurs aspirations perdent leur pouvoir, l’anomie ne constitue-t-elle pas, en effet, la principale cause du développement de l’hyper-individualisme, de l’hédonisme matérialiste et du relativisme sceptique qui laisse accroire que si tout se vaut, alors rien ne vaut vraiment ?

 

 

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 01:00

PRENDRE LE TEMPS

 

 

 




Pour se retrouver soi-même et quitter ses habitudes de consommation, voire de surcon­sommation.

 

Pour quitter ses relations médiocres avec autrui, ses égoïsmes et ses rancunes.

 

Pour avoir de meilleures relations avec autrui, comme avec soi-même.

 

Prendre un temps de retrouvailles, de calme intérieur, de combat, cer­tes, mais surtout d’unification personnelle.

 

Aimer se taire.

 

Pour approfondir, consolider.

 

Cultiver l’intériorité.

 

C’est un chemin difficile, mais pour quel bonheur !

 

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 01:10

ALAIN 9BON MANAGER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est quelqu’un qui cultive toutes les potentialités humaines qu’il a reçues.

 

Donc : penser, raisonner, décider.

 

Mais également quelqu’un qui sait faire montre d’imagination, de responsabilité, d’attention aux autres.

 

Mais donc pas quelqu’un qui ne fait fonctionner que son intelligence pure.

 

 

 

 

Voir également : 

 

Bon manager  

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 01:05

ALAIN 8

MOI D’ABORD

 

 

 

 

 

 

 

La société actuelle divinise l’homme.

 

Elle lui confère un pouvoir de décision quasi-divin sur lui-même et sur les autres.

 

Dans le meilleur des cas, l’homme ne sera qu’une idole.

 

Un ‘’moi’’ qui devient tellement important tue la solidarité humaine.

 

Le ‘’moi’’ devait avoir ses droits, cela ne fait pas l’ombre d’un doute et depuis les Lumières, il les a.

 

Il y a longtemps que ce ‘’moi’’ n’est plus perdu dans le ‘’nous’’.

 

Sur ce plan, on a assisté à des avancées extraordinaires

 

Mais maintenant, nous sommes en train de gonfler le ‘’moi’’ jusqu’à des proportions hors normes.

 

Nous sommes dans une culture ou le ‘’moi’’ domine tout et où l’on en vient à se dire qu’il faut à peine tenir un peu compte de l’autre, de manière à ce qu’il n’y ait pas de chocs.

 

Mais cette culture où il n’y a plus fondamentalement de sens de la famille dérive sur une mauvaise civilisation.

 

L’homme évolue vers un être renfermé et isolé.

 

Un être humain qui deviendrait totalement narcissique, qui ne cesse de regarder son propre ‘’moi’’ et d’envisager son petit bonheur à soi et qui n’aurait dès lors plus aucune perspective sur les autres et sur l’avenir.

 

L’absence de sens conduit l’homme replié sur lui-même, à limiter son existence à la satisfaction, finalement frustrante, de plaisirs.

 

« L’homme peut tout, mais que fait-il avec son génie ? » (Marek Alter)

 

 

 

 

Voir égalelement :

 

 

Ego

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 01:00

BIEN COMMUN

 

 

 

 




 

L’homme moderne croit avoir achevé de recouvrer le pouvoir sur lui-même.

 

Sauf que cette ultime conquête métaphysique a pris un visage social inattendu.

 

Elle a achevé d’émanciper nos contemporains.

 

Elle les a affranchis de ces encadrements qui perpétuaient l’empreinte de l’ordre ancien.

 

Elle les a délivrés de ce qui pouvait subsister de contraintes envers des traditions.

 

Elle les a déliés de ce qui pouvait leur faire obligation envers des collectifs de référence, de la Famille à la Nation.

 

Elle les a dégagés de la révérence hiérarchique et des liens d’obédience envers l’autorité, même consentie.

 

En un mot, elle leur a donné, ou elle tend à leur donner, les pleins pouvoirs sur eux-mêmes.

 

Mais ce faisant, elle a vidé de substance la perspective d’un pouvoir collectif.

 

L’homme moderne croit jouir d’une liberté inégalée de se gouverner lui-même dans son coin et pour son compte.

 

Mais l’horizon du bien commun, lui, s’est évanoui.

 

Le monde se ferme sur lui-même.

 

L’homme est même devenu – au quotidien – un inconnu pour lui-même.

 

C’est le vrai chemin de la déshumanisation du monde.

 

 

 

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 01:10

De-Laidet-904-copie-1.jpgPOUR BIEN MANAGER TROUVER DES ESPACES DE GRATUITÉ

 

 

 

 

 

 

 

On  constate chez beaucoup de managers un ‘’surtravail’’,  causé par la recherche de performances toujours supérieures.

 

Quelle est la source de ce ‘’surtravail’’ ?

 

Trop souvent des « sources troublées » : une ambition individuelle, pour se valoriser soi-même, ou la pression qu’ils s’imposent sous le regard des autres.

 

Ils veulent tout faire à la perfection dans le but d’éviter la moindre critique.

 

Alors, dans cette quête jamais atteinte d’identité parfaite, l’épuisement et l’insatisfaction les menacent.

 

Comment faire face à ce monde dominé par la course à l’efficacité ?

 

Il faut découvrir des espaces de gratuité permettant une prise de recul, pour y retrouver le vrai sens du travail.

 

C’est dans le silence que l’on peut discerner l’essentiel au cœur du monde : une attente, un creux.

 

On y gagne paradoxalement en efficacité – et il ne s’agit pas de renoncer à cette exigence qui fait grandir professionnellement et humainement.

 

C’est à partir de ces espaces que le manager peut œuvrer autrement, en étant moins stressé, plus inventif, plus imaginatif et plus attentif aux autres. 

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Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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