22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 05:08

ÉCOUTE


 

 









L’écoute requiert un long travail sur soi, car bien souvent nous ne savons pas, nous ne voulons pas ou nous ne pouvons pas écouter.

 

Nous écoutons le plus souvent à partir de notre cadre de référence : l’écoute plus attentive permet de découvrir le cadre de référence de l’autre, ses attentes, ses besoins, ses convictions.

 

Bien des filtres s’opposent à l’écoute, qui atténuent ou déforment la parole de l’autre.

 


 

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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 03:05

MANAGERS VIOLENTS

 

 








Les managers violents sont ceux qui ont peur de l’homme et qui finalement ne croient pas en lui.

 

Ces attitudes de violence sont des aveux de faiblesse, elles indiquent qu’ils n’ont pas assez d’identité pour pouvoir aborder l’autre.

 

Les violents sont en fait des faibles.

 

Ils n’arrivent pas à obtenir ce qu’ils souhaitent par la confiance.



 

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 05:50

EMMANUEL LEVINAS ET LE MANAGEMENT

 

 






Emmanuel Levinas parle admirablement de la rencontre du visage de l’autre.

 

Il décrit d’une part la solitude de l’être, dont on ne peut sortir par la connaissance ou par l’étude, et d’autre part l’expérience de l’existence d’autrui, de la réalité d’un autre être, dans un visage.

 

La rencontre du visage conduit l’homme à se poser la question proposée par Levinas :

 

« Il est extrêmement important de savoir si la société est une limitation du principe selon lequel l’homme est un loup pour l’homme, ou si au contraire elle résulte du principe selon lequel l’homme est pour l’homme. »

 

Dans le premier cas, lors de la prise courante de décision, les autres seront considérés par le manager comme des moyens pour ses fins.

 

Dans le deuxième cas, s’il place l’homme au même plan que lui-même, ou même plus haut, le manager fera attention à toutes les conséquences de ses actes sur les autres.

 

Emmanuel Levinas fait renoncer à la domination, il ouvre à la relation et à la responsabilité.

 

 

 

 

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 03:29

SEMBLABLE ?

 

 






Il existe souvent en l’homme une prétention secrète à ce que sa vie, ses idées, ses privilèges vaillent plus que ceux de celui qu’il appelle alors abusivement son semblable.

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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 03:32

SEPT ERREURS A ÉVITER

 

 







Voici quelques erreurs qu’un manager doit absolument éviter :

 

. Oublier le caractère primordial du profit.

 

Un manager ne doit jamais faire passer au second plan l’impérieuse et permanente nécessité financière de son entreprise.

 

Toute dérive par rapport à cette règle première fait courir un danger qui peut être fatal à toute l’entreprise.

 

Une entreprise qui ne fait pas de profit disparait.

 

. Ne pas assumer ses responsabilités jusqu’au bout.

 

Même si le manager est fondé à reprocher une erreur à tel ou tel collaborateur, il doit avoir pour principe de toujours admettre qu’il est responsable en dernier ressort.

 

. Trop se consacrer au quotidien.

 

La tentation est grande de courir du four au moulin, comme on dit.

 

On néglige d’autant les missions plus difficiles et plus stratégiques qui sont, justement, l’exclusivité des managers.

 

. Négliger les détails.

 

Dans les conditions actuelles de la compétition, l’à-peu-près n’est plus du tout de mise et c’est souvent par les détails que se fait la différence.

 

. Entretenir des relations antagonistes avec ses collaborateurs, basées sur la force, la menace ou le chantage.

 

. Se cantonner dans un rôle matérialiste, préoccupé exclusivement du résultat à atteindre et faisant abstraction des considérations humaines.

 

L’entreprise est un édifice humain et, sous prétexte d’efficacité, vouloir la « déshumaniser » ne peut que conduire à l’affrontement et à l’échec.

 

. Etre trop souvent familier et égalitaire.

 

Dans une entreprise, chacun à son rôle.

 

Ce qui ne signifie pas qu’il faut proscrire le respect, la convivialité, le naturel, l’empathie et la chaleur humaine. Bien au contraire.

 

 

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19 juin 2008 4 19 /06 /juin /2008 03:47

ÉLOGE DE L'ÉTHIQUE

 





L’éthique, tout le monde en parle, c’est à la mode, çela fait vendre.

 

Pourtant quand il s’agit de passer du discours à la réalité effective, bien des réticences se font jour, insignifiance pour les uns, « l’éthique, pas la peine d’en parler, tout le monde sait faire, à l’instar de M. Jourdain qui sait faire de la prose ».

 

Danger pour les autres : l’expertise éthique pourrait avoir une prétention de vérité, d’exigence, de remise en cause.

 

Mais… « seuls les poissons morts vont toujours dans le sens du courant… »

 

 Les vivants, eux, apprennent et choisissent où ils veulent aller.

 

Ainsi l’éthique peut être, par la justesse de sa parole comme de sa mise en oeuvre, un chemin de tolérance, un chemin de vie, et de vérité de l’humain.

 

Notre société est complexe et pluraliste, belle mais aussi déconcertante parfois.

 

Les nouvelles technologies promettent beaucoup mais tout cela humanise-t-il ?

 

De nouveaux chemins s’ouvrent, franchissant des frontières jusque là inconnues et menant vers de nouvelles contrées.

 

Parler d’éthique c’est alors parler de passeurs.

 

Non pas des porteurs de certitudes qui disent où il faut aller et comment s’y prendre exactement.

 

Mais des passeurs qui fournissent une carte, une boussole ou un GPS, et qui accompagnent c'est-à-dire mangent avec l’autre le pain du chemin.

 

La carte, elle permet de lire notre société, et l’interdisciplinarité éthique en fournit des approches variées, cartes sociologiques, juridiques, médicales, philosophiques, etc.

 

Les repères, les valeurs, la dignité de tout être humain, permettent de signaler une route ; de baliser un chemin, d’éviter de s’égarer ; à deux conditions cependant :

 

- d’abord, de rester en contact avec le réel, même et justement parce qu’il est éminemment complexe.

 

Des repères purement théoriques ne sont que spéculation dans le vide.

 

Le risque est de planer, de s’évader dans un monde purement virtuel. Comme l’a écrit Xavier Thévenot, « Toute recherche éthique, si elle ne veut pas s’enfermer dans un ciel de principes (…), doit se confronter aux tendances profondes, complexes et multiples de la société dans laquelle elle s’élabore. ».

 

Mais « le risque qui guette alors est de devenir un prophète de malheur, sensible aux seules déviances sociales et s’enfermant dans un discours purement pessimiste sur «le monde»... »

 

- Ensuite, et c’est la même logique, il faut savoir où l’on veut aller, quel but l’on se fixe ; mais quand notre société relègue les racines dans la sphère du privé, propose-t-elle encore des étayages de sens, des panneaux indicateurs ?

 

Car si l’on ne sait pas où l’on doit aller, le foisonnement de repères ne fournit aucune indication, au contraire.

 

Le voyageur n’a plus alors sous les yeux qu’un enchevêtrement de panneaux qui n’indiquent plus.

 

Et il entre dans la nuit.

 

L’éthique n’a pas le secret du jour, mais elle le pointe du doigt comme la lumière au bout de l’horizon, grâce à ses outils propres. Grâce au langage, ce médium culturel, dans quoi et par quoi le sujet est institué et le monde montré.

 

Ce langage qui permet de parler, d’argumenter, de partager des points de vue.

 

Grâce aux analyses rigoureuses du réel dans ses différentes facettes.

 

Grâce au désir, désir d’humanisation, d’accomplissement, désir d’authenticité, de vie plus forte que la mort et le néant.

 

Et une vie qui a du sens s’élève et élève le monde.

 

« Que fais-tu là ? », demande un sage à des ouvriers peinant dans une carrière sous la chaleur du jour.

 

Le premier lève vers lui un regard morose et déclare : «Tu le vois bien, je casse des pierres» ; le second le regarde avec une certaine fierté : «Tu le sais, je gagne ma vie». Le troisième, les yeux pleins de lumière, lui dit : «Ne le devines-tu pas ? Je bâtis une maison où hommes et femmes pourront vivre ensemble, s’aimer, rendre grâces. »

 

L’éthique en se donnant comme objectif l’humanisation des personnes ne sait pas tout, mais elle stimule ce désir de faire bien, de faire au mieux, de faire advenir des sujets libres, responsables, autonomes, vivants, malgré les coups du boutoir du réel.

 

Car l’éthique n’est pas naïve, elle a d’ailleurs souvent les mains sales à force de tripoter la complexité situationnelle, mais comme disait Péguy, il vaut mieux avoir les mains sales que pas de main.

 

Car l’éthique n’est pas prétentieuse : l’humus de son action la tire vers cette humilité qui s’évanouit dès lors qu’on prétend la détenir.

 

Car l’éthique n’est pas austère, son humour apporte légèreté parfois jusque dans le tragique, contribuant ainsi à le traverser pour aller de l’avant malgré tout.

 

L’éthique, en définitive ?

 

Un chemin de passage pour passeurs d’humanité.

 

Un chemin de vie pour susciter la vie.

 

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 03:40

AUTORITÉ DU MANAGER

 

 





Spécifiquement, le rôle du manager est d’exercer l’autorité.

 

Tous les groupes humains requièrent de l’autorité.

 

L’autorité doit être comprise comme la capacité de diriger en accord avec un raisonnement juste ; ce n’est pas une force exempte de tout contrôle.

 

Elle est exercée légitimement uniquement si elle est utilisée comme un moyen de parvenir au bien commun, et uniquement si des moyens moralement corrects sont mis en œuvre ; ce n’est donc pas un privilège, mais un souci de servir.

 

Les principes ci-dessus peuvent être lus comme qualifiant à la fois les fins pour lesquelles l’autorité devrait être exercée (par exemple, la dignité humaine, le bien commun, la solidarité) et comment l’autorité devrait être exercée (par exemple, la subsidiarité, la participation).

 

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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 03:31

PERFECTION

 

 






Au fil du temps, l’homme se forge des convictions sur les comportements « acceptables » ou « non acceptables » chez les autres.

 

Cela lui évite de regarder les petits et les grands désordres qu’il porte en lui.

 

Les incohérences, les contradictions, les personnes qu’il blesse volontairement ou involontairement.

 

Personne n’est parfait, mais comme l’homme a du mal à l’accepter.

 

Il préfère critiquer les autres.

 

Car, c’est sûr : le problème, c’est les autres.

 

Il relève mille défauts qui sautent aux yeux chez les autres.

 

De quoi parlent-ils ces défauts ?

 

Essentiellement de lui, de sa peur d’avoir les mêmes travers, de sa jalousie, de son besoin de pouvoir.

 

 

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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 03:20

LE MOT PHILOSOPHIE

 

 

 






« Explique-moi le mot philosophie :

C’est l’amour de la sagesse et du savoir.

 

En philosophie, on apprend à penser tout en étudiant ce que les Anciens ont déjà découvert et écrit.

 

C’est utiliser la raison pour penser avec méthode et savoir où va sa vie. »

 

(Tahar Ben Jelloun)

 

Dans l’Antiquité, la philosophie n’était pas un discours, mais un apprentissage de la sagesse, une quête de la vie bonne.

 

Aristote, Spinoza, Kant ou Nietzsche : tous cherchaient à comprendre le monde pour y trouver les voies d’une vie lucide et bonne.

 

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15 juin 2008 7 15 /06 /juin /2008 05:42

FRAGILITÉ DE L’HOMME


 






Les conditions de vie d’aujourd’hui dépossèdent l’homme radicalement : il n’est plus capable d’intégrer sa vie dans une histoire.

 

Il est déstructuré, sa vie est morcelée, il n’y a pas de continuité ni de stabilité.

 

Ce n’est pas lui qui maîtrise son devenir, c’est un système anonyme, de forces, comme le marché, qui domine sa vie.

 

Son apparente liberté se change en profonde dépendance.

 

Il devient de plus en plus fragile.

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Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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