16 mai 2008 5 16 /05 /mai /2008 05:49

CENTRE DU MONDE

 






Après 50 ans ?


"Mûrir, cela prend une vie entière.


Je suis comme tout le monde : certains matins, je déteste ce que je vois dans le miroir. Certains autres, je me sens bien dans ma peau.


Il y a beaucoup d'avantages à vieillir : on est plus sage, on se regarde moins le nombril, on juge moins les autres.


Et on apprend à ne pas répéter les mêmes erreurs.


Je préfère infiniment ma vie aujourd'hui à celle que j'avais autrefois.


Je me sens beaucoup plus libre....


Cultiver sa singularité tout en s'arrêtant de croire qu'on est le centre du monde.


Je me dis sans cesse : arrête de t'écouter, Kim !"


(Kim Basinger, lu dans l'Express Style octobre 2007)

Partager cet article
Repost0
16 mai 2008 5 16 /05 /mai /2008 03:42

THEODORE MONOD : DÉSERT

 

 






Ami de Teilhard de Chardin, ce savant chercheur d’étoiles, aventurier d’un astre perdu, Théodore Monod, a arpenté plus de cinquante fois le désert mauritanien, quinze fois plus grand que notre hexagone.

 

La grande leçon du désert ?

 

« C’est la patience, l’humilité, la soumission au réel. »

 

Partager cet article
Repost0
15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 03:13

ETERNITÉ DE L’HOMME

 

 






L'aspiration à l'éternité est aussi vieille que l'humanité nous rappelle Nicole Aubert, sociologue.

 

"Elle est une tentative de réponse à cette absence de sens à laquelle conduit l'angoisse du néant."

 

Cette quête d'éternité demeure : chacun est devenu "l'artisan de sa propre sphère de sens et forge lui-même le sens qu'il entend donner à sa vie".

 

Tout se passe comme si "d'une certaine façon, le dieu auquel on se réfère, c'est soi-même".

Grâce aux progrès médicaux, l'individu a reculé les limites d'acceptation de la souffrance.

 

La santé est un droit.

 

Grâce à la libéralisation des moeurs, il a grandi en poussant les barrières (supposées) trop contraignantes à son épanouissement.

 

Le divorce est un droit.

 

Grâce aux recettes diétético-alimentaires, son corps ne connaît plus (disons presque plus) les outrages du temps.

 

Vieillir sans rides est un droit. Etc.


Passé les bornes de l'individualisation, et de ses nouveaux droits afférents, il n'y a plus de limites.


Comment, dans ces conditions, ne pas se sentir (espérer) immortel ?


Comment ne pas saliver sur ce désir d'éternité ?


Peut-être faut-il voir dans cette avancée permanente sans limites la source de l'aspiration des contemporains à se "dépasser" dans des activités baptisées "extrêmes" : ces sports, qui n'ont de sport que le nom, où la mort qu'on frôle et la survie électrisent.


Comme dit l'anthropologue David Le Breton, dans cette zone où les sens permettent d'"éprouver physiquement un monde qui se dérobe symboliquement".


Tout cela pour s'inquiéter d'une autre problématique : la question de la transmission aux futures générations.


Car quand l'homme en son miroir est à ce point dieu ou roi, qu'il s'adonne au culte de l'instant présent, qu'il fait si peu de cas du futur (qu'il craint), que le désir d'enfant paraît parfois si narcissique (comme la garantie d'un accomplissement de soi), qu'advient-il de la chaîne qui nous unit dans l'histoire de l'humanité ?


"L'absence de transmission est aujourd'hui tout aussi violente qu'a pu l'être autrefois l'autorité des maîtres et des pères", estime Nathalie Sarthou-Lajus.


On ne peut s'empêcher de rapprocher ces réflexions actuelles du propos, un brin pessimiste, de Jean-Pierre Dupuy, professeur de philosophie sociale et politique à l'Ecole polytechnique et à l'université Stanford, qui milite pour un "catastrophisme éclairé" (Pour un catastrophisme éclairé).


Pour Jean-Pierre Dupuy, "le temps est venu de mener une réflexion sur le destin apocalyptique de l'humanité. Il nous faut apprendre à affronter la catastrophe, à ne plus l'imaginer dans un futur improbable, mais à la penser au présent".


Cela peut-il se faire en concertation avec les futures générations ?


Pour peu qu'on suive le philosophe sur ce chemin de lucidité, nécessairement.


"Le catastrophisme éclairé, explique celui-ci, consiste à penser la continuation de l'expérience humaine comme résultant de la négation d'une autodestruction (notre mort ou celle de l'humanité). Avec l'espoir que cet avenir, bien qu'inéluctable, n'ait pas lieu."


Avançons que cela peut se faire, hors des schémas rationnels économiques ambiants, en promouvant et en transmettant avant tout des valeurs et des principes non marchands : de la dignité, par exemple, de la droiture, du respect.


Pourquoi ?


Pour donner un sens partagé à notre aventure collective, peu banale.

Partager cet article
Repost0
14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 03:36

MESSAGE DE LA SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION

 

 

 





La consommation est devenue un mode de vie, effet miroir de la prospérité.

 

Désormais, l’homme moderne n’achète plus seulement pour répondre à des besoins, mais pour se distraire, pour passer le temps ou pour le simple plaisir narcissique de posséder.

 

Et dans une société d’abondance qui pourvoit depuis longtemps au strict nécessaire, l’homme est de plus en plus conduit à consommer du superflu, du gadget, de l’éphémère.

 

L’homme moderne est gourmand de confort, de paraître, de divertissement, de plaisirs égoïstes, et dès qu’il s’agit de se priver, quelle douleur !

 

L’homme achète, jette et gâche.

 

Gavé de biens, jamais satisfait, toujours avide.

 

Il construit autour de sa vie un château de richesses futiles, qui l’isole de toute intériorité et lui fait perdre le goût et le sens de la vie. 

 

Cette accumulation de biens disponibles, et pourtant superflus, devient par la même dangereuse, voire immorale, dans la mesure où elle écarte l’homme de ses véritables finalités.

 

 

Partager cet article
Repost0
13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 05:21

 

CLAUDE RAULT : MESSAGE DU SAHARA

 

 




« Il s’appelait Brahim, et il avait bâti sa maison à la lisière du Grand Erg Oriental, entre El Oued et Touggourt.

 

Usé par le travail, dans cette rude région du Sahara, il avait élevé une famille de sept enfants, maintenant bien lancés dans la vie.

 

Il est décédé voici près de trois ans.

 

Son épouse, compagne attentive et fidèle, ne lui a pas survécu : elle l’a suivi sur le même chemin un mois jour pour jour après son départ.


Si je parle de Brahim c’est parce que cet ami m’a dévoilé les secrets de la marche au désert, et ceci par tous les temps.


Avant de se sédentariser, il était nomade et sillonnait les grands espaces. Il m’a ouvert son grand savoir par une belle nuit d’été.

 

Couché sur le dos, face à la Voie Lactée, Brahim me décrivait le ciel.

 

Avec passion, il me dévoilait les étoiles et les constellations, tout particulièrement celles qui sont indispensables au voyageur de la nuit.

 

" Celui qui ne connaît pas les étoiles ne marche pas dans la nuit " me dit-il.

 

Les identifiant les unes après les autres, il me disait leur nom : celles qui sont immobiles, celles qui bougent, les fiables et les trompeuses.

 

Quel festival céleste !

 

La nuit avançait et je n’avais plus envie de dormir.

 

Brahim s’est alors mis à me raconter comment il avait appris à marcher dans le vent de sable et dans la nuit obscure. 

 

La nature du sable palpé au creux de la main, les plantes spéciales à telle région du désert, la température du vent, lui faisaient reconnaître sa route.

 

Sinon, il laissait aller les chameaux et se fiait à leur flair.

 

Et si tout cela venait à manquer… eh bien, me dit-il, " on s’arrêtait, et l’on prenait patience ! "
   
Le récit nocturne de Brahim me semble une sage invitation à plus de sérénité.

 

Aurions-nous perdu le chemin ?

 

Revenons au ras du sol !

 

Palpons cette terre humaine qui nous est devenue si familière et si chère.

 

Elle est jalonnée de signes dont la nature nous dit une amitié et une fidélité aussi vivaces que les plantes du désert.

 

Notre ciel non plus n’est pas sans vivantes étoiles.

 

Si certaines sont trompeuses, d’autres nous indiquent fidèlement le chemin.

 

Et si nous pensons que tout appui humain nous manque, alors, arrêtons-nous, et prenons patience.


Surtout ne quittons pas le terrain fiable de notre quotidien et de nos motivations les plus profondes. »

 

(Claude Rault, Evêque du Sahara. 9/5/08)

 

Partager cet article
Repost0
13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 03:25

 

SENS DU TRAVAIL POUR UN MANAGER



 

 



Dans l’entreprise, la recherche du sens est très présente.


Il est impossible aujourd’hui de susciter des énergies sans expliquer le pourquoi et le comment.


La sincérité partagée, en exprimant ce qui anime en vérité, provoque souvent un retour identique.


La parole engage voire différencie.


Le socle des valeurs de nombreuses entreprises, en référence au respect, à l’initiative responsable, à la subsidiarité n’est pas éloigné de ce à quoi il faut croire.


Pour obtenir une adhésion, beaucoup de responsables ne négligent pas l’homme dans leur stratégie et déclinent les valeurs de désintéressement et de partage.


L’entreprise est un lieu de décisions et d’adaptations permanentes.


Il y a quotidiennement des « grands écarts » entre risque et besoin de sécurité, encouragement de l’initiative individuelle et solidarité…


L’unité recherchée entre la parole, la pensée et l’acte oblige la conscience.


Les conseils de pairs, les avis extérieurs guident pour que la justice soit au rendez-vous des compromis évolutifs qu’il faut gérer en permanence.


L’entreprise peut ainsi conjuguer création de richesses et développement humain. 


Le manager est simplement renvoyé à la singularité de sa vocation humaine, assumée librement. Celle-ci prend une autre dimension quand le manager sait prendre du recul, prendre conseil et…faire silence.

 

Partager cet article
Repost0
12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 05:40

 

 

CHANGER LA VIE

 







Qu’est-ce qui peut changer la vie ?


Qu’est-ce qui peut donner de la confiance en soi, du bonheur et de la joie ?


Qu’est-ce qui peut, dans ce milieu cynique où il est de bon ton de tout dénigrer, rendre fier de son travail ?


Qu’est-ce qui permet de prendre du recul, ce qui est particulièrement difficile dans un univers professionnel où le temps tombe comme un verdict sans appel ?


Qu’est-ce qui permet, dans ce monde si propice à la dilatation des ego, d’apprendre à éteindre son narcissisme ?


Qu’est-ce qui remet tout en perspective, dans une société qui valorise la performance et la réussite et laisse peu de place à la bonté, à la compassion et à l’espoir ?


« Le Chemin, la Vérité et la Vie. »

Partager cet article
Repost0
12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 03:36

 

ABSURDE DANS LA VIE



 





On se heurte à l’absurde, c’est inévitable, en toute vie, même la plus privilégiée, la mieux protégée.


Quand l’espérance est rognée par la répétition sans fin des jours qui se suivent et n’en peuvent plus de se ressembler.


Quand l’homme marche dans le désert de la solitude, de la maladie, de la désespérance, du deuil et des larmes.


Y a-t-il un sens à toutes ses errances ?


Y a-t-il un chemin pour ses pas ?

Partager cet article
Repost0
11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 07:26

 

DÉSERT DANS LES VILLES






Au cœur des villes, un nouveau désert surgit.


Anonymat.


Indifférence.


Solitude.


Un prieur de chartreux écrit :


« Les vrais déserts sont aujourd’hui dans les grandes villes. »


Charles de Foucauld écrivait, depuis Tamanrasset, au début du siècle déjà :


« Jamais je ne me suis trouvé aussi en solitude qu’à Paris. »

Partager cet article
Repost0
11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 03:22

 

ÉTHIQUE DANS L'ENTREPRISE



 



Ethique, éthique, éthique.


Le mot revient à tous les étages.


Sur tous les sujets.


Comme le signe d'une quête de valeurs et de repères, trop changeants.


Comme le risque aussi, à n'y prendre garde, d'une notion globalisante et fourre-tout.


Paul Ricoeur, lorsqu'il parlait d'éthique, évoquait d'ailleurs plutôt "l'intention éthique", quelque chose sur le chemin de la loi morale, mais toujours bien en amont, qui peut éventuellement s'inscrire un jour dans la loi tout court, mais toujours très en aval.


Interrogé par la revue Etudes, le sociologue Jean-Pierre Le Goff invite précisément à se méfier des bonnes intentions et "à sortir des discours généraux et généreux sur l'amour et la fraternité, pour considérer les pratiques et leurs effets, que l'on ne maîtrise pas avec (celles-ci)".


Le propos du sociologue s'inscrit dans la poursuite de l'analyse critique qu'il avait faite au début des années 1990 de l'entrée en force du discours éthique dans l'entreprise (Le Mythe de l'entreprise).


Il convient volontiers que l'éthique "a sa place dans l'entreprise", mais que, "si l'éthique oublie les finalités bien spécifiques de celle-ci (la production de biens et de services destinés à la vente sur le marché), elle se trompe de registre". 

Partager cet article
Repost0

Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

English

Principal Auteur Cité

AUTRES AUTEURS CITÉS

ALBERT CAMUS : BONHEUR
ALBERT CAMUS : DIGNITÉ DE VIVRE ET DE MOURIR
ALBERT CAMUS : HAINE ET MÉPRIS
ALBERT CAMUS : JUGEMENT
ALBERT CAMUS : LE DROIT ET LA FORCE
ALBERT ROUET : CHEMIN VERS SOI
ALBERT ROUET : COMPLEXITÉ DES RELATIONS A L’AUTRE
ALBERT ROUET : L’AUTRE
ALBERT ROUET : RIGIDITÉ
ALBERT ROUET : TRAVAIL, LIEU DES CONTRADICTIONS D’UNE SOCIÉTÉ
ALBERT SCHWEITZER : CIVILISATION ET ÉTHIQUE
ANDRÉ COMTE-SPONVILLE : BONHEUR
ANDRE COMTE-SPONVILLE : MORALE ET CAPITALISME
ANDRÉ COMTE-SPONVILLE : MORALE ET ÉTHIQUE
ANDRÉ COMTE-SPONVILLE : PETIT TRAITE DES GRANDES VERTUS
ARISTOTE : BONHEUR
ARISTOTE : HEUREUX
ARISTOTE : PRUDENCE
AUGUSTIN : BONHEUR
AUGUSTIN : COMPRENDRE
AUGUSTIN : DOMINATION
AUGUSTIN : ETRE GRAND
AUGUSTIN : VOIR, SUPPORTER, ACCEPTER
AXEL KAHN : ALTÉRITÉ
AXEL KAHN : DÉFINITION DU BIEN
AXEL KAHN : SPLENDEUR DE L’HUMANITÉ
BADEN POWEL : POUR UN MONDE MEILLEUR
BERNANOS : INFIRMITÉ
BERNANOS : LE SECRET DU BONHEUR
BERNANOS : OBLIGATIONS
BERNANOS : PATIENCE
BERNANOS : RECONCILIÉ AVEC SOI MEME
CAMUS : ASPIRATIONS ESSENTIELLES DE L’HOMME
CAMUS : DIRECTION DES HOMMES
CAMUS : MONDE INSUPPORTABLE
CAMUS : NE RIEN ENVIER
CHARLES DE FOUCAULD : PARFAITE OBÉISSANCE
CHARLES DE FOUCAULD : RENAÎTRE
CHARLES JOURNET : LE MAL
CHARLES PEGUY : LE MAL
CHRISIAN DE CHERGÉ : COEUR
CHRISIAN DE CHERGÉ : L’AUTRE
CHRISTIAN DE CHERGÉ : COURAGE !
CHRISTIAN DE CHERGÉ : DE RICHES VERTUS
CHRISTIAN DE CHERGÉ : ENGAGEMENT
CHRISTIAN DE CHERGÉ : LA VIE
CHRISTIAN DE CHERGÉ : MERCI
CHRISTIAN DE CHERGÉ : SIMPLICITÉ
CHRISTIAN DE CHERGÉ : SIMPLICITÉ
CLAUDE LÉVI STRAUSS
CLAUDE RAULT : DESERT 
CLAUDE RAULT : DESERT 
CLAUDE RAULT : HUMILITÉ
CLAUDE RAULT : MESSAGE DU SAHARA 
CLAUDE RAULT : REFROIDISSEMENT 
DESCARTES : CE QU’EST L’HOMME
DESCARTES : LE BON SENS
DESCARTES : LES QUATRES PRÉCEPTES
DOSTOIEVSKI : RICHESSE
EDGAR MORIN : LUMIÈRE
EDGAR MORIN : LUMIÈRE
EDITH STEIN : ETRE
EDITH STEIN : INTÉRIORITÉ ET ALTÉRITÉ
EDITH STEIN : QU'IL EST BEAU ET BON DE VIVRE 
EDITH STEIN : RESPONSABILITÉ
EDITH STEIN : SA PERSONNALITÉ
EDITH STEIN : SA VIE
EDITH STEIN : SERVICE
EDITH STEIN : TOUT SUR SA VIE
EDITH STEIN ET L’EMPATHIE
EDITH STEIN ET L’EMPATHIE
EDITH STEIN ET L’INDIVIDUALISME
EDITH STEIN ET LA RESPONSABILITÉ
ELIE WIESEL : BIEN OU MAL
ELIE WIESEL : IDÉE DE L’HOMME
EMMANUEL LEVINAS ET SARTRE : LIBERTÉ
ÉRASME : HOMME DEBOUT
ERIK ORSENNA : VALEUR TRAVAIL
ERNEST HEMINGWAY : HUMILITÉ
ETTY HILLESUM : BONHEUR
ETTY HILLESUM : ÊTRE
ETTY HILLESUM : FONDS COMMUN
ETTY HILLESUM : LA VIE EST BELLE
ETTY HILLESUM : PAROLE
ETTY HILLESUM : S’AGUERRIR
ETTY HILLESUM : UN SENS A LA VIE
ETTY HILLESUM : UN SENS DE LA VIE
ETTY HILLESUM : UNE VIE BOULEVERSÉE
FRANCOIS VARILLON : DÉSESPOIR
FRANCOIS VARILLON : JOYEUX
GANDHI : CUPIDITÉ
GRÉGOIRE DE NYSSE : CELUI QUI MONTE
HANNAH ARENDT
HANNAH ARENDT : ACTIVITÉS HUMAINES
HANNAH ARENDT : AUTORITÉ
HANNAH ARENDT : BONTÉ
HANNAH ARENDT : CHAQUE HOMME EST UNIQUE
HANNAH ARENDT : COMMENCEMENT
HANNAH ARENDT : COMMENCEMENT
HANNAH ARENDT : ÉCONOMIE DE GASPILLAGE
HANNAH ARENDT : ÉDUCATION
HANNAH ARENDT : LE MIRACLE QUI SAUVE LE MONDE
HANNAH ARENDT : LIBERTÉ
HANNAH ARENDT : PARDON
HANNAH ARENDT : PAROLE
HANNAH ARENDT : PENSER LE TOTALITARISME
HANNAH ARENDT : POUVOIR
HANS JONAS : ÉTHIQUE DE LA RESPONSABILITÉ
HANS JONAS : RESPONSABILITÉ
HANS JONAS : RESPONSABILITÉ ET ESPÉRANCE
HANS KÜNG : GRANDEUR ET MISÈRE DE L’HOMME
HANS URS VON BALTHASAR : STRUCTURE DE L’HOMME
HANS URS VON BALTHASAR : VÉRITÉ
HEIDEGGER : ÊTRE ET ÉTANT
HEIDEGGER : HUMANISME
HEIDEGGER : HUMANISME
HEIDEGGER : LE MÉTIER DE LA PENSÉE
HEIDEGGER : LE MIRACLE DES MIRACLES
HEIDEGGER : PENSÉE
HENRI de LUBAC : IGNORANCE
HENRI de LUBAC : MÉPRIS
HENRI de LUBAC : PARADOXES
HENRI de LUBAC : PATIENCE
HENRI DE LUBAC : SOLEIL
HENRI de LUBAC : SOUFFRANCE
HENRI QUINSON : NOUVELLE SOCIÉTÉ
HENRI TEISSIER : UN MODÈLE A SUIVRE
HUSSERL : SENS DE CETTE EXISTENCE HUMAINE
JACQUES MARITAIN : ÉLOGE DU DON
JACQUES MARITAIN : ESSENTIEL
JACQUES MARITAIN : PAROLE DE SAGE
JAURES : DIRIGER
JEAN CHRYSOSTOME : BONHEUR INFINI
JEAN CHRYSOSTOME : HUMILITÉ
JEAN GIONO : CARACTÈRE INOUBLIABLE
JEAN GUITTON : DANS LE VENT
JEAN GUITTON : LA MORT
JEAN GUITTON : OBÉISSANCE
JEAN GUITTON : ORGUEIL
JEAN LUC MARION : LE PROPRE DE L’HOMME
KANT : ACTION ÉTHIQUE
KANT : ACTIONS BONNES OU MAUVAISES
KANT : CONTRAINTE
KANT : EXIGENCES DE LA PENSÉE
KANT ET LE MANAGEMENT
KARL BARTH : L’ESSENCE DU MAL
KARL JASPERS : ANONYMAT
KARL JASPERS : AUTORITÉ ET RAISON
KARL JASPERS : CONDUITE SENSÉE
KARL JASPERS : LIBERTÉ
KARL JASPERS : RACINES
KARL JASPERS : VÉRITÉ ET COMMUNICATION
KARL RAHNER : L'ÉTANT FINI
KHALIL GIBRAN : ÉLOGE DU TRAVAIL
KIERKEGAARD : ANGOISSE
KIERKEGAARD : COMPRENDRE
KIERKEGAARD : INCOMPRÉHENSIBLE
KIERKEGAARD : POUR UNE VIE NOUVELLE
KIERKEGAARD : SOUFFRANCE
KIERKEGAARD : SUR LE CHEMIN DE LA VIE
KIM EN JOONG
LA BRUYERE : MODESTIE
LACAN : LUMIÈRE
LACAN ET L’INCOMPLÉTUDE
LOUIS MARIE BILLÉ : UN MODÈLE POUR NOUS
MALRAUX : JUGER
MARCEL GAUCHET : EXTRAORDINAIRE BOULEVERSEMENT
MARCEL MAUSS : ESSAI SUR LE DON
MAURICE BELLET : LE LIEU DU COMBAT
MAURICE BLONDEL : ÉLOGE DE L’ACTION
MAURICE BLONDEL : EXIGENCE
MAURICE ZUNDEL : CONQUÊTE DE SOI
MAURICE ZUNDEL : CROYEZ-VOUS EN L’HOMME ?
MAURICE ZUNDEL : DIGNITÉ HUMAINE
MAURICE ZUNDEL : ÉCOUTE ET SILENCE
MAURICE ZUNDEL : HUMAIN
MAURICE ZUNDEL : LIBERTÉ
MAURICE ZUNDEL : RENCONTRE VÉRITABLE
MAURICE ZUNDEL : SENS DE L’EXISTENCE
MAURICE ZUNDEL : SENS DE LA DESTINÉE
MAURICE ZUNDEL : SILENCE 
MAURICE ZUNDEL : TRAVAIL
MAURICE ZUNDEL : VIE INACCOMPLIE
MAURICE ZUNDEL : VOCATION DE L’HOMME
MAX WEBER : ÉTHIQUE
MICHEL ALBERT : BONNE SANTÉ
MICHEL-MARIE ZANOTTI-SORKINE : DÉMOCRATIE ET LIBERTÉ
MICHEL-MARIE ZANOTTI-SORKINE : ÉTERNITÉ
MONTESQUIEU : MÉPRIS
MONTESQUIEU : POUVOIR
NEWMAN : CONDITION HUMAINE
NEWMAN : ÉVOLUTION DE L’HOMME
NEWMAN : NÉANT DE CE MONDE
NEWMAN : VRAI GENTLEMAN
NIETZSCHE : APPRÉCIATION
NIETZSCHE : AVENIR
NIETZSCHE : CERTITUDE
NIETZSCHE : CRUAUTÉ
NIETZSCHE : ÉLOGE DU SILENCE
NIETZSCHE : FINITUDE DE L’HOMME
NIETZSCHE : MÉPRIS DE SOI
NIETZSCHE : MONDE DÉSTRUCTURÉ
NIETZSCHE : TRISTE SOCIÉTÉ
NIETZSCHE : VÉRITÉ
NIETZSCHE ET TEILHARD DE CHARDIN
NORBERT SEGARD
NORBERT SEGARD : BONHEUR
NORBERT SEGARD : UN MODÈLE
PASCAL : DIVERTISSEMENT
PASCAL : MOI
PASCAL : MORT
PASCAL : PARAÎTRE
PASCAL : PUISSANCE
PASCAL : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
PAUL CLAUDEL : VRAI ET RIEN
PAUL RICOEUR : ACTION
PAUL RICOEUR : ÉTHIQUE
PAUL RICOEUR : L’AUTRE
PAUL RICOEUR : MAL ET BONTÉ
PAUL RICOEUR : PARDON
PAUL RICOEUR : VALEUR DE L’HOMME
PAUL TILLICH : ANGOISSE
PAUL VALADIER : HOMME, ANIMAL MALADE
PÉGUY, BERNANOS, CLAUDEL : ARGENT 
PIERRE CLAVERIE
PIERRE CLAVERIE : L’AUTRE
PIERRE, PAUL ET JEAN
PLATON : AUTORITÉ
RABELAIS : DÉSESPOIR
RENÉ GIRARD : DÉSIR MIMÉTIQUE
RENÉ GIRARD : HOMME MAÎTRE DU MONDE
RENÉ GIRARD : OPTIMISME
RENÉ GIRARD : ORIGINE DES CONFLITS
RENÉ GIRARD : RIVALITÉ MIMÉTIQUE
RENÉ GIRARD : TERRORISME
RENÉ GIRARD : URGENCE
ROMAIN ROLLAND : BATAILLE DE L’HOMME
ROUSSEAU ET AUGUSTIN
SAINT EXUPERY : SILENCE
SAINT-EXUPERY : BUT COMMUN
SAINT-EXUPERY : CATHÉDRALE
SAINT-EXUPERY : CITATIONS POUR MANAGER
SAINT-EXUPERY : DÉSERT
SAINT-EXUPERY : HAINE
SAINT-EXUPERY : HUMILITÉ
SAINT-EXUPERY : HUMILITÉ
SAINT-EXUPERY : JUSTICE
SAINT-EXUPERY : L’ART DES PETITS PAS
SAINT-EXUPERY : L’ESSENTIEL OUBLIÉ
SAINT-EXUPERY : LE PETIT PRINCE
SAINT-EXUPERY : LE TEMPS
SAINT-EXUPÉRY : MOZART ASSASSINÉ
SAINT-EXUPERY : PAROLE DE SAGE POUR UN MANAGER
SAINT-EXUPERY : QUALITÉ DE LA CIVILISATION
SAINT-EXUPERY : RACINES
SAINT-EXUPERY : RESPONSABLE
SAINT-EXUPERY : STABILITÉ
SAINT-EXUPERY : TOURNÉ VERS SOI
SAINT-EXUPERY : VANITÉ DE L’HOMME
SAINT-EXUPERY : VOYAGE
SARTRE : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
SERGE DASSAULT : GESTION PARTICIPATIVE
SPINOZA : JUSTICE
TEILHARD DE CHARDIN : APPARITION DE L’HOMME
TEILHARD DE CHARDIN : AVENIR
TEILHARD DE CHARDIN : DÉFI A LA PENSÉE
TEILHARD DE CHARDIN : DÉSORDRE
TEILHARD DE CHARDIN : EFFORT
TEILHARD DE CHARDIN : LE MONDE SE CONSTRUIT
TEILHARD DE CHARDIN : MANTEAU D’HUMANITÉ
TEILHARD DE CHARDIN : MONDE STUPIDE
TEILHARD DE CHARDIN : OEUVRE
TEILHARD DE CHARDIN : PAIX
TEILHARD DE CHARDIN : PRENDRE DE LA HAUTEUR
TEILHARD DE CHARDIN : RÉFLEXIONS SUR LA CRISE
TEILHARD DE CHARDIN : RÉUSSITE
TEILHARD DE CHARDIN : SOUFFRANCE
TEILHARD DE CHARDIN : VALEUR ABSOLUE
TEILHARD DE CHARDIN : VIE FONTALE
TEILHARD DE CHARDIN : VISION DU MONDE
TEILHARD DE CHARDIN : VIVE LA VIE !
TEILHARD DE CHARDIN : VOLONTÉ DE VIVRE
THEODORE MONOD
THÉODORE MONOD : LE PROPRE DE L’HUMAIN
THEODORT MONOD : DÉSERT 
THOMAS D’AQUIN
THOMAS D’AQUIN : ÉQUITÉ
THOMAS HOBBES : RIRE
THOMAS JEFFERSON : UN VISIONNAIRE !
THOMAS MANN : BONHEUR
TOCQUEVILLE : RELATIVISME
TOLSTOÏ : FORMER SA RAISON
VOLTAIRE : CUPIDITÉ ET ORGUEIL
YVES CONGAR : ESPRIT POSSESSIF