26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 20:13
REGARD SUR  L’ANTHROPOLOGIE

 

 

 

 

 

 

 

L’anthropologie désigne l’étude de l’homme en général.

Elle se divise en anthropologie physique - l’étude de l’homme sous son aspect biologique - et en anthropologie sociale et culturelle. C’est cette dernière, qui envisage la façon dont les organisations économiques, sociales se développent au cours des temps qui nous intéresse ici.

L’ensemble des méthodes, des observations et des analyses de l’anthropologie peut aider à expliquer la complexité d’un monde contemporain en proie aux mouvements contradictoires d’une prolifération des diversités et d’une abolition des barrières.

Les outils de l’anthropologie peuvent aider à comprendre la diversité du monde actuel.

L’anthropologie est une discipline - carrefour. Les frontières extérieures de l’anthropologie rejoignent celles de la sociologie. L’une comme l’autre s’attachent à comprendre la conception que les acteurs se font du monde social.

Aborder tout le champ anthropologique c’est étudier rien moins que la condition humaine, c’est essayer de comprendre le monde contemporain. 

L’anthropologie sociale étudie les êtres humains sous tous leurs aspects.

L’anthropologie a démontré l’intime solidarité du corps individuel et de la relation sociale, l’impossibilité de penser l’homme seul ; l’homme ne se pense qu’au pluriel. Toute pensée de l’homme est sociale et, donc, toute anthropologie est aussi sociologie.

L’anthropologie étudie les rapports entre les personnes.

Ces rapports d’altérité et d’identité ne sont pas donnés une fois pour toutes, ils sont en constante recomposition.

Comment, en un lieu donné - une entreprise, par exemple -, la relation entre les uns et les autres est-elle conçue par les uns et les autres ?

Voilà l’objet propre de l’anthropologie, car cette relation revêt nécessairement un sens, elle révèle souvent des rapports de force, elle est symbolisée.

La spécificité du point de vue anthropologique réside dans cet intérêt central pour l’étude de la relation à l’autre tel qu’il se construit dans son contexte social.

La question du sens, c’est à dire des moyens grâce auxquels les êtres humains qui habitent un espace social - l’entreprise par exemple - s’accordent sur la manière de le représenter et d’y agir, est l’horizon de la démarche anthropologique.

La notion d’altérité se situe au centre de la démarche anthropologique.


Actuellement, une crise du sens frappe notre société et cette crise se traduit par un emballement des quêtes identitaires. A l’heure où les informations se transportent à la vitesse électronique d’un bout à l’autre de la planète, chaque personne se trouve confronté à l’image du monde. 

La conception de la personne humaine et les relations entre l’homme et son environnement ne sauraient restées inaltérées par toutes les évolutions récentes de la science et de leurs conséquences. Cette nouvelle situation constitue pour l’anthropologie un nouvel objet d’étude.

La description minutieuse des comportements humains fonde la capacité d’analyse propre à l’anthropologie.

Les sujets qui intéresse l’anthropologie sont très divers : anthropologie de l’éducation, du développement, de la maladie, de l’habitat, de la ville.

L’anthropologie étudie la parenté, les formes de la famille, l’économie, l’environnement, la performance, les sciences. Elle observe les comportements et analyse les discours. Elle porte ses recherches sur les rapports entre science et société. 

L’anthropologie analyse la souffrance physique, morale ou sociale.

 

Elle aborde la question de la mort.

Parler de la mort, n’est-ce pas aussi s’interroger sur le sens de la vie ?

Elle réfléchit sur les formes dernières du développement de l’individualisme dans notre société, l’impact considérable des médias et l’affaiblissement des institutions créatrices de lien social comme la famille, l’Etat, l’Ecole...

Elle aide à appréhender la logique interne, les déterminants externes et la signification générale.

Au fond l’anthropologie aide à répondre à la question :

« Qu’est-ce que l’homme ? ». 


L’anthropologie est la science des comportements.

Il est étonnant que les managers férus  en mathématiques, physique, informatique... n’aient jamais eu une heure de formation en anthropologie !

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 04:25

RESPECT MUTUEL

 

 

 

 

 

 

 

Dans toute situation où il y a vie commune, le travail par exemple, il est important de développer et d’encourager la politesse, le respect mutuel, l’écoute, les salutations, le fait de laisser passer les anciens les premiers, se lever quand un ancien passe et lui proposer la place, la discrétion sur la santé des autres…

 

Rien à voir avec l’amertume, le mépris, la haine, la jalousie…

Partager cet article
Repost0
25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 04:09

EXISTER ENSEMBLE

 

 

 

 

 

 

L'évolution de fond de notre société, c'est la difficulté qu'ont aujourd'hui les hommes, dans toute organisation, à "exister ensemble".

 

En entreprise, les salariés, les syndicats en connaissent la difficulté.

 

Les managers aussi.

 

Dans une société individualiste, où chacun fait comme il peut avec les injonctions reçues, l'homme cherche surtout un sens propre à son action.

 

Celui-ci est de moins en moins axé sur celui du voisin, du chef ou de l'équipe.

 

Et la multiplicité des sens ne fait pas nécessairement un sens commun.

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 04:02

PAROLE DE SAGE

 

 

 

 

 

 

 

 

« Si tu veux construire un bateau ne rassemble pas des hommes pour aller chercher du bois, préparer des outils, répartir les tâches, alléger le travail, mais enseigne aux gens la nostalgie de l’infini de la mer. »

 

 

Antoine de Saint-Exupéry (Citadelle)

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 04:09

L’HOMME NUMÉRIQUE

 

 

 

 

 

 

 

En observant notre société, nous avons vu passer l’homme moderne d’une culture analogique à une culture numérique en un temps record.

 

Les spécialistes nous le disent de manière saisissante :

 

Cinq cents ans furent nécessaires entre l’invention de l’imprimerie et la première imprimante personnelle.

 

Cinquante ans entre la conception téléphonique et le premier appareil à domicile.

 

Trente ans entre le premier ordinateur et le premier PC à la maison.

 

Quinze ans entre l’invention de l’internet à l’Université et le bas débit à domicile.

 

Dix ans entre le premier téléphone mobile et les mobiles 3G d’aujourd’hui.

 

Quatre ans entre le deuxième et le troisième milliard d’abonnés à cette téléphonie mobile…

 

Aussi vertigineuses que soient ces comparaisons, tout ne réside pas non plus dans l’accélération temporelle.

 

Un véritable changement d’ère comportementale voit le jour.

 

Émergent donc des questionnements paradoxaux : abondance de moyens techniques sophistiqués, mais qualité réelle de la communication ?

 

Séduction de puissance indéniable, mais accompagnée par quelle structuration de la pensée ?

 

Potentiel virtuel inouï, mais au bénéfice de quelle connaissance de soi et d’autrui ?

 

Immédiateté fascinante de l’accessibilité aux sources, mais dans quel rapport psychologique à la temporalité ?

 

La question apparemment basique entre le quantitatif des techniques et le qualitatif d’une communication semble une problématique grossière.

 

Elle traduit cependant le défi anthropologique et culturel : quel homme nouveau se dessine à travers cette fulgurance ?

 

 

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 10:14
LE NOUVEAU RÔLE DU MANAGER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le manager donneur d'ordres se doit de s'accomplir dans le rôle d'homme ressource et porteur de sens.

 

Il ne s'agit pas de prôner béatement et naïvement un seul mode de gestion, mais bien au contraire, pour le manager, d'assumer les ambiguïtés permanentes et les paradoxes dans lesquels il est totalement partie prenante.

Premier paradoxe : aider les autres à se débrouiller seuls.

Deuxième paradoxe : diriger des personnes qu'il invite à se responsabiliser.

 

Troisième paradoxe : plus il veut de la participation, plus il veut une vision partagée, plus il doit jouer son rôle de dirigeant.

 

En effet, le management moderne s'exerce suivant trois pôles intégrés :

 

. Le pôle de l'expertise et de la hiérarchie est celui de l'identité de donneur d'ordres, de stratège, d'expert et de contrôleur, de coordinateur que doit avoir tout manager.

. A ce rôle s'ajoute celui d'homme ressource, c'est à dire celui qui donne des protections et des permissions, qui donne des moyens, qui gère des processus éducatifs et des processus de changement, invitant les acteurs de son équipe à passer dans une logique de libération, puis dans une logique de responsabilité.

L'homme ressource est éveilleur de libertés par la confiance et la responsabilisation, responsable des relations de travail, tant externes qu'internes, tant hiérarchiques qu'au sein des équipes : l'exemplarité, la transparence, l'échange sur les valeurs et les représentations sont ici des facteurs de progrès.

. Enfin le manager porteur de sens, qui au départ, incarne par sa seule présence le sens, en étant celui que l'on suit, se doit d'évoluer vers celui qui permet aux acteurs de percevoir directement les enjeux, de se les approprier et de construire eux-mêmes le sens : en effet, par la mise en intelligence collective de l'organisation, chaque acteur est invité à enrichir sa propre vision et à construire des visions partagées ; ainsi, tous les acteurs peuvent être contributifs de l'intelligence et du sens de l'entreprise.

Cette nouvelle donne fait évoluer l'identité managériale et amène les managers à intégrer et accomplir des tâches qui, auparavant, pouvaient relever de l'expert et du hiérarque.

 

Le manager doit exercer dans son identité d'homme ressource et de porteur de sens, toute sa compétence d'expert.

Dernier paradoxe : l'homme seul est devenu homme-orchestre, mais doit justement renoncer à ses instruments pour créer les conditions où l'orchestre pourrait même jouer sans lui.

Enfin, question pour tout manager : de tous ces salariés dont j'ai la charge, combien sont-ils qui peuvent vivre le meilleur d'eux-mêmes ?

 

C’est la première responsabilité de tout manager envers l'entreprise.

C’est à la fois simple à énoncer et très exigeant à vivre. Simple, parce que favoriser la vie c’est créer cet espace de liberté, de confiance réciproque, d’authenticité, de respect mutuel pour que chaque salarié puisse se réaliser, grandir et s’épanouir.

Eteindre la vie, c’est laisser se développer la contrainte, l’irrespect, la non-reconnaissance et la méfiance.

Et cela se joue à chaque instant, dans chaque attitude, dans chaque regard, dans chaque parole, dans chaque décision.

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 04:06

INDIVIDUALISME

 

 

 

 

 

 

 

On n'a jamais autant exalté l'individu, encouragé une vision hédoniste de la société, fondée sur la satisfaction des seuls besoins individuels.

 

En même temps, on n'a jamais autant mesuré les inconvénients de cet individualisme : l'émiettement, la parcellisation des relations dans le travail, dans la famille, les associations, la non-participation à un engagement de type social….

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 04:18

VALEURS FONDATRICES

 

 

 

 

 

 

 

 

- En premier lieu, la personne humaine : homme, cœur et âme de la société.

 

Le respect de la dignité de la personne humaine n’est-il pas un défi ?

 

« Le caractère social de l’homme fait apparaître qu’il y a interdépendance entre l’essor de la personne et le développement de la société elle-même »

 

La personne humaine, qui de sa nature même a absolument besoin d’une vie sociale, est et doit être le principe, le sujet et la fin de toute institution.

 

La vie sociale n’est donc pas pour l’homme quelque chose de surajouté.

 

Aussi, c’est par l’échange avec autrui, par la réciprocité des services, par le dialogue avec les autres, que l’homme grandit selon toutes ses capacités et peut répondre à sa vocation.

 

Ceci s’applique particulièrement dans le domaine de la vie économique, la vie économico-sociale.

 

Il faut honorer et promouvoir la dignité de la personne humaine, sa vocation intégrale et le bien de toute la société.

 

C’est l’homme en effet qui est l’auteur, le centre et le but de toute vie économico-sociale.


Il ne suffit pas de le dire, il faut le vivre concrètement.

 

C’est là que les recherches de dialogue social sont essentielles.

 

Il faut créer des lieux de dialogue social, à condition d’être en confiance avec cette société.

 

Il n’y a rien de pire que de diaboliser le monde, arriver en « donneur de leçon » et vouloir « exorciser » ce monde !

 

Dénoncer : oui !

 

Mais en gardant confiance.

 

Respecter l’homme, tous les hommes et chaque homme.

 

- Le bien commun. C’est un enjeu au niveau socio-économique.

 

Le bien commun est une recherche ; Est-ce que cette recherche est un compromis ou est-ce qu’elle fait progresser le sens de la dignité humaine : c’est tout l’enjeu des débats !

 

Le bien commun est aussi une discussion, un dialogue.

 

En éthique, il n’y a jamais de solution toute faite et toute simple.

 

- La subsidiarité et fait partie maintenant de tous les cours de management !

 

Le principe de subsidiarité engage chaque élément de la société humaine à reconnaître les éléments dont il a la responsabilité comme ayant une capacité d’autonomie propre qui doit être favorisée et détendue.

Il y a derrière une notion de "faire confiance".

 

Comment déléguer son travail, comment vivre la délégation ?

En fait, nous sommes touchés humainement parce que ça touche à notre pouvoir, à notre manière d’être en relation, à notre degré de confiance.

 

Ces valeurs sont des "horizons"…

Si on n’a pas d’horizon, c'est-à-dire un élan pour aller vers du bien, du bon, du constructif, de la dignité humaine… on n’est plus homme !

 

Nous devons faire attention au contre témoignage.

 

Ce qui nous appartient, c’est d’accompagner des démarches vers cet horizon, être des accompagnateurs le plus possible à l’intelligence de cet horizon.

 

En éthique, on apprend à porter des jugements sur des faits, jamais sur des personnes.

 

Il nous faut trouver une source qui doit nous aider à alimenter notre réflexion…

 

Cette source nous conduit vers un horizon, qui est un élan de positivité, de bonheur et d’enthousiasme, elle nous permet de prendre du recul, et de ne pas faire l’amalgame entre les situations et les sujets.

 

N’oublions pas de nous y abreuver, elle est inépuisable !

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 04:13

BON SENS

 

 






La raison a besoin de processus lents.

 


Il faut du temps pour faire accepter le changement.

 


Mais il faut croire à la rationalité de l’être humain.

 


Einstein disait : «La science n’est que le prolongement du bon sens. »


Le bon sens est une dimension fondamentale de l’être humain.

 


Et ce n’est pas une notion vague : le bon sens revient à adopter un nouveau système de raisons dès lors qu’on le perçoit comme meilleur que celui auquel on croyait précédemment.

 


Cela ne veut pas dire que tout le monde, tout de suite, immédiatement, a la vérité sur tous les sujets et sera convaincu par les arguments !

 


Au contraire, le bon sens suppose des systèmes d’arguments qui se développent à travers le dialogue.

 


La sélection des idées se passe dans le temps, dans des contextes plus ou moins favorisants, avec des périodes de conflits et de parasitages des raisons par les intérêts.

 

Partager cet article
Repost0
19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 04:21

CRISE FINANCIÈRE (SUITE)

 




La crise qui affecte le monde n'est pas uniquement financière, la solution ne peut donc être seulement d'ordre financier.

 


Quand un système économico-financier entre en crise, ce n'est jamais pour des motifs économiques ou financiers, mais parce qu'une faille s'est produite en amont dans le système moral global.


A l'origine de la situation, il y a une crise de confiance : on n'entend parler que de confiance, de relancer la confiance mutuelle pour résoudre cette crise ; or la confiance n'est pas d'abord un élément économique et financier, c'est une attitude éthique.


Lorsque le marché pervertit cette attitude éthique, il n'est plus en mesure à lui seul de la rétablir.


Aujourd'hui, il faut trouver un équilibre entre la dérégulation des marchés que l'on a connue ces derniers temps et la tentation de conférer un poids excessif à l'Etat.


Ce sont trois acteurs qui ont un rôle à jouer : le marché d'une part, l'Etat de l'autre, mais aussi la société civile. Là précisément se trouve la réponse aux exigences et aux inspirations qui découlent du principe de subsidiarité.


Il faut considérer avec une plus grande sagesse le marché et le rôle qu'il peut jouer.


Nous n'en serions pas là si nous avions traité le marché comme un moyen et non comme une fin.


La crainte que l’on peut également avoir est que la crise financière actuelle sape les efforts ou les engagements pris par les Etats et par la communauté internationale pour financer le développement et l'aide aux pays pauvres.

 

 

Partager cet article
Repost0

Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

English

Principal Auteur Cité

AUTRES AUTEURS CITÉS

ALBERT CAMUS : BONHEUR
ALBERT CAMUS : DIGNITÉ DE VIVRE ET DE MOURIR
ALBERT CAMUS : HAINE ET MÉPRIS
ALBERT CAMUS : JUGEMENT
ALBERT CAMUS : LE DROIT ET LA FORCE
ALBERT ROUET : CHEMIN VERS SOI
ALBERT ROUET : COMPLEXITÉ DES RELATIONS A L’AUTRE
ALBERT ROUET : L’AUTRE
ALBERT ROUET : RIGIDITÉ
ALBERT ROUET : TRAVAIL, LIEU DES CONTRADICTIONS D’UNE SOCIÉTÉ
ALBERT SCHWEITZER : CIVILISATION ET ÉTHIQUE
ANDRÉ COMTE-SPONVILLE : BONHEUR
ANDRE COMTE-SPONVILLE : MORALE ET CAPITALISME
ANDRÉ COMTE-SPONVILLE : MORALE ET ÉTHIQUE
ANDRÉ COMTE-SPONVILLE : PETIT TRAITE DES GRANDES VERTUS
ARISTOTE : BONHEUR
ARISTOTE : HEUREUX
ARISTOTE : PRUDENCE
AUGUSTIN : BONHEUR
AUGUSTIN : COMPRENDRE
AUGUSTIN : DOMINATION
AUGUSTIN : ETRE GRAND
AUGUSTIN : VOIR, SUPPORTER, ACCEPTER
AXEL KAHN : ALTÉRITÉ
AXEL KAHN : DÉFINITION DU BIEN
AXEL KAHN : SPLENDEUR DE L’HUMANITÉ
BADEN POWEL : POUR UN MONDE MEILLEUR
BERNANOS : INFIRMITÉ
BERNANOS : LE SECRET DU BONHEUR
BERNANOS : OBLIGATIONS
BERNANOS : PATIENCE
BERNANOS : RECONCILIÉ AVEC SOI MEME
CAMUS : ASPIRATIONS ESSENTIELLES DE L’HOMME
CAMUS : DIRECTION DES HOMMES
CAMUS : MONDE INSUPPORTABLE
CAMUS : NE RIEN ENVIER
CHARLES DE FOUCAULD : PARFAITE OBÉISSANCE
CHARLES DE FOUCAULD : RENAÎTRE
CHARLES JOURNET : LE MAL
CHARLES PEGUY : LE MAL
CHRISIAN DE CHERGÉ : COEUR
CHRISIAN DE CHERGÉ : L’AUTRE
CHRISTIAN DE CHERGÉ : COURAGE !
CHRISTIAN DE CHERGÉ : DE RICHES VERTUS
CHRISTIAN DE CHERGÉ : ENGAGEMENT
CHRISTIAN DE CHERGÉ : LA VIE
CHRISTIAN DE CHERGÉ : MERCI
CHRISTIAN DE CHERGÉ : SIMPLICITÉ
CHRISTIAN DE CHERGÉ : SIMPLICITÉ
CLAUDE LÉVI STRAUSS
CLAUDE RAULT : DESERT 
CLAUDE RAULT : DESERT 
CLAUDE RAULT : HUMILITÉ
CLAUDE RAULT : MESSAGE DU SAHARA 
CLAUDE RAULT : REFROIDISSEMENT 
DESCARTES : CE QU’EST L’HOMME
DESCARTES : LE BON SENS
DESCARTES : LES QUATRES PRÉCEPTES
DOSTOIEVSKI : RICHESSE
EDGAR MORIN : LUMIÈRE
EDGAR MORIN : LUMIÈRE
EDITH STEIN : ETRE
EDITH STEIN : INTÉRIORITÉ ET ALTÉRITÉ
EDITH STEIN : QU'IL EST BEAU ET BON DE VIVRE 
EDITH STEIN : RESPONSABILITÉ
EDITH STEIN : SA PERSONNALITÉ
EDITH STEIN : SA VIE
EDITH STEIN : SERVICE
EDITH STEIN : TOUT SUR SA VIE
EDITH STEIN ET L’EMPATHIE
EDITH STEIN ET L’EMPATHIE
EDITH STEIN ET L’INDIVIDUALISME
EDITH STEIN ET LA RESPONSABILITÉ
ELIE WIESEL : BIEN OU MAL
ELIE WIESEL : IDÉE DE L’HOMME
EMMANUEL LEVINAS ET SARTRE : LIBERTÉ
ÉRASME : HOMME DEBOUT
ERIK ORSENNA : VALEUR TRAVAIL
ERNEST HEMINGWAY : HUMILITÉ
ETTY HILLESUM : BONHEUR
ETTY HILLESUM : ÊTRE
ETTY HILLESUM : FONDS COMMUN
ETTY HILLESUM : LA VIE EST BELLE
ETTY HILLESUM : PAROLE
ETTY HILLESUM : S’AGUERRIR
ETTY HILLESUM : UN SENS A LA VIE
ETTY HILLESUM : UN SENS DE LA VIE
ETTY HILLESUM : UNE VIE BOULEVERSÉE
FRANCOIS VARILLON : DÉSESPOIR
FRANCOIS VARILLON : JOYEUX
GANDHI : CUPIDITÉ
GRÉGOIRE DE NYSSE : CELUI QUI MONTE
HANNAH ARENDT
HANNAH ARENDT : ACTIVITÉS HUMAINES
HANNAH ARENDT : AUTORITÉ
HANNAH ARENDT : BONTÉ
HANNAH ARENDT : CHAQUE HOMME EST UNIQUE
HANNAH ARENDT : COMMENCEMENT
HANNAH ARENDT : COMMENCEMENT
HANNAH ARENDT : ÉCONOMIE DE GASPILLAGE
HANNAH ARENDT : ÉDUCATION
HANNAH ARENDT : LE MIRACLE QUI SAUVE LE MONDE
HANNAH ARENDT : LIBERTÉ
HANNAH ARENDT : PARDON
HANNAH ARENDT : PAROLE
HANNAH ARENDT : PENSER LE TOTALITARISME
HANNAH ARENDT : POUVOIR
HANS JONAS : ÉTHIQUE DE LA RESPONSABILITÉ
HANS JONAS : RESPONSABILITÉ
HANS JONAS : RESPONSABILITÉ ET ESPÉRANCE
HANS KÜNG : GRANDEUR ET MISÈRE DE L’HOMME
HANS URS VON BALTHASAR : STRUCTURE DE L’HOMME
HANS URS VON BALTHASAR : VÉRITÉ
HEIDEGGER : ÊTRE ET ÉTANT
HEIDEGGER : HUMANISME
HEIDEGGER : HUMANISME
HEIDEGGER : LE MÉTIER DE LA PENSÉE
HEIDEGGER : LE MIRACLE DES MIRACLES
HEIDEGGER : PENSÉE
HENRI de LUBAC : IGNORANCE
HENRI de LUBAC : MÉPRIS
HENRI de LUBAC : PARADOXES
HENRI de LUBAC : PATIENCE
HENRI DE LUBAC : SOLEIL
HENRI de LUBAC : SOUFFRANCE
HENRI QUINSON : NOUVELLE SOCIÉTÉ
HENRI TEISSIER : UN MODÈLE A SUIVRE
HUSSERL : SENS DE CETTE EXISTENCE HUMAINE
JACQUES MARITAIN : ÉLOGE DU DON
JACQUES MARITAIN : ESSENTIEL
JACQUES MARITAIN : PAROLE DE SAGE
JAURES : DIRIGER
JEAN CHRYSOSTOME : BONHEUR INFINI
JEAN CHRYSOSTOME : HUMILITÉ
JEAN GIONO : CARACTÈRE INOUBLIABLE
JEAN GUITTON : DANS LE VENT
JEAN GUITTON : LA MORT
JEAN GUITTON : OBÉISSANCE
JEAN GUITTON : ORGUEIL
JEAN LUC MARION : LE PROPRE DE L’HOMME
KANT : ACTION ÉTHIQUE
KANT : ACTIONS BONNES OU MAUVAISES
KANT : CONTRAINTE
KANT : EXIGENCES DE LA PENSÉE
KANT ET LE MANAGEMENT
KARL BARTH : L’ESSENCE DU MAL
KARL JASPERS : ANONYMAT
KARL JASPERS : AUTORITÉ ET RAISON
KARL JASPERS : CONDUITE SENSÉE
KARL JASPERS : LIBERTÉ
KARL JASPERS : RACINES
KARL JASPERS : VÉRITÉ ET COMMUNICATION
KARL RAHNER : L'ÉTANT FINI
KHALIL GIBRAN : ÉLOGE DU TRAVAIL
KIERKEGAARD : ANGOISSE
KIERKEGAARD : COMPRENDRE
KIERKEGAARD : INCOMPRÉHENSIBLE
KIERKEGAARD : POUR UNE VIE NOUVELLE
KIERKEGAARD : SOUFFRANCE
KIERKEGAARD : SUR LE CHEMIN DE LA VIE
KIM EN JOONG
LA BRUYERE : MODESTIE
LACAN : LUMIÈRE
LACAN ET L’INCOMPLÉTUDE
LOUIS MARIE BILLÉ : UN MODÈLE POUR NOUS
MALRAUX : JUGER
MARCEL GAUCHET : EXTRAORDINAIRE BOULEVERSEMENT
MARCEL MAUSS : ESSAI SUR LE DON
MAURICE BELLET : LE LIEU DU COMBAT
MAURICE BLONDEL : ÉLOGE DE L’ACTION
MAURICE BLONDEL : EXIGENCE
MAURICE ZUNDEL : CONQUÊTE DE SOI
MAURICE ZUNDEL : CROYEZ-VOUS EN L’HOMME ?
MAURICE ZUNDEL : DIGNITÉ HUMAINE
MAURICE ZUNDEL : ÉCOUTE ET SILENCE
MAURICE ZUNDEL : HUMAIN
MAURICE ZUNDEL : LIBERTÉ
MAURICE ZUNDEL : RENCONTRE VÉRITABLE
MAURICE ZUNDEL : SENS DE L’EXISTENCE
MAURICE ZUNDEL : SENS DE LA DESTINÉE
MAURICE ZUNDEL : SILENCE 
MAURICE ZUNDEL : TRAVAIL
MAURICE ZUNDEL : VIE INACCOMPLIE
MAURICE ZUNDEL : VOCATION DE L’HOMME
MAX WEBER : ÉTHIQUE
MICHEL ALBERT : BONNE SANTÉ
MICHEL-MARIE ZANOTTI-SORKINE : DÉMOCRATIE ET LIBERTÉ
MICHEL-MARIE ZANOTTI-SORKINE : ÉTERNITÉ
MONTESQUIEU : MÉPRIS
MONTESQUIEU : POUVOIR
NEWMAN : CONDITION HUMAINE
NEWMAN : ÉVOLUTION DE L’HOMME
NEWMAN : NÉANT DE CE MONDE
NEWMAN : VRAI GENTLEMAN
NIETZSCHE : APPRÉCIATION
NIETZSCHE : AVENIR
NIETZSCHE : CERTITUDE
NIETZSCHE : CRUAUTÉ
NIETZSCHE : ÉLOGE DU SILENCE
NIETZSCHE : FINITUDE DE L’HOMME
NIETZSCHE : MÉPRIS DE SOI
NIETZSCHE : MONDE DÉSTRUCTURÉ
NIETZSCHE : TRISTE SOCIÉTÉ
NIETZSCHE : VÉRITÉ
NIETZSCHE ET TEILHARD DE CHARDIN
NORBERT SEGARD
NORBERT SEGARD : BONHEUR
NORBERT SEGARD : UN MODÈLE
PASCAL : DIVERTISSEMENT
PASCAL : MOI
PASCAL : MORT
PASCAL : PARAÎTRE
PASCAL : PUISSANCE
PASCAL : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
PAUL CLAUDEL : VRAI ET RIEN
PAUL RICOEUR : ACTION
PAUL RICOEUR : ÉTHIQUE
PAUL RICOEUR : L’AUTRE
PAUL RICOEUR : MAL ET BONTÉ
PAUL RICOEUR : PARDON
PAUL RICOEUR : VALEUR DE L’HOMME
PAUL TILLICH : ANGOISSE
PAUL VALADIER : HOMME, ANIMAL MALADE
PÉGUY, BERNANOS, CLAUDEL : ARGENT 
PIERRE CLAVERIE
PIERRE CLAVERIE : L’AUTRE
PIERRE, PAUL ET JEAN
PLATON : AUTORITÉ
RABELAIS : DÉSESPOIR
RENÉ GIRARD : DÉSIR MIMÉTIQUE
RENÉ GIRARD : HOMME MAÎTRE DU MONDE
RENÉ GIRARD : OPTIMISME
RENÉ GIRARD : ORIGINE DES CONFLITS
RENÉ GIRARD : RIVALITÉ MIMÉTIQUE
RENÉ GIRARD : TERRORISME
RENÉ GIRARD : URGENCE
ROMAIN ROLLAND : BATAILLE DE L’HOMME
ROUSSEAU ET AUGUSTIN
SAINT EXUPERY : SILENCE
SAINT-EXUPERY : BUT COMMUN
SAINT-EXUPERY : CATHÉDRALE
SAINT-EXUPERY : CITATIONS POUR MANAGER
SAINT-EXUPERY : DÉSERT
SAINT-EXUPERY : HAINE
SAINT-EXUPERY : HUMILITÉ
SAINT-EXUPERY : HUMILITÉ
SAINT-EXUPERY : JUSTICE
SAINT-EXUPERY : L’ART DES PETITS PAS
SAINT-EXUPERY : L’ESSENTIEL OUBLIÉ
SAINT-EXUPERY : LE PETIT PRINCE
SAINT-EXUPERY : LE TEMPS
SAINT-EXUPÉRY : MOZART ASSASSINÉ
SAINT-EXUPERY : PAROLE DE SAGE POUR UN MANAGER
SAINT-EXUPERY : QUALITÉ DE LA CIVILISATION
SAINT-EXUPERY : RACINES
SAINT-EXUPERY : RESPONSABLE
SAINT-EXUPERY : STABILITÉ
SAINT-EXUPERY : TOURNÉ VERS SOI
SAINT-EXUPERY : VANITÉ DE L’HOMME
SAINT-EXUPERY : VOYAGE
SARTRE : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
SERGE DASSAULT : GESTION PARTICIPATIVE
SPINOZA : JUSTICE
TEILHARD DE CHARDIN : APPARITION DE L’HOMME
TEILHARD DE CHARDIN : AVENIR
TEILHARD DE CHARDIN : DÉFI A LA PENSÉE
TEILHARD DE CHARDIN : DÉSORDRE
TEILHARD DE CHARDIN : EFFORT
TEILHARD DE CHARDIN : LE MONDE SE CONSTRUIT
TEILHARD DE CHARDIN : MANTEAU D’HUMANITÉ
TEILHARD DE CHARDIN : MONDE STUPIDE
TEILHARD DE CHARDIN : OEUVRE
TEILHARD DE CHARDIN : PAIX
TEILHARD DE CHARDIN : PRENDRE DE LA HAUTEUR
TEILHARD DE CHARDIN : RÉFLEXIONS SUR LA CRISE
TEILHARD DE CHARDIN : RÉUSSITE
TEILHARD DE CHARDIN : SOUFFRANCE
TEILHARD DE CHARDIN : VALEUR ABSOLUE
TEILHARD DE CHARDIN : VIE FONTALE
TEILHARD DE CHARDIN : VISION DU MONDE
TEILHARD DE CHARDIN : VIVE LA VIE !
TEILHARD DE CHARDIN : VOLONTÉ DE VIVRE
THEODORE MONOD
THÉODORE MONOD : LE PROPRE DE L’HUMAIN
THEODORT MONOD : DÉSERT 
THOMAS D’AQUIN
THOMAS D’AQUIN : ÉQUITÉ
THOMAS HOBBES : RIRE
THOMAS JEFFERSON : UN VISIONNAIRE !
THOMAS MANN : BONHEUR
TOCQUEVILLE : RELATIVISME
TOLSTOÏ : FORMER SA RAISON
VOLTAIRE : CUPIDITÉ ET ORGUEIL
YVES CONGAR : ESPRIT POSSESSIF