28 décembre 2013 6 28 /12 /décembre /2013 02:00

KIM623.jpgMAL ET SOUFFRANCE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la suite de sa finitude, la raison ne parvient pas à donner des ‘’raisons’’

satisfaisantes aux plus grands problèmes de l’histoire humaine, car il y a une limite à l’intelligibilité.

 

Il n’est pas étonnant que peu de philosophes tâchent de scruter le caractère angoissant du mal, ou bien celui de la mort, ou encore celui de la souffrance.

 

La raison ne semble pas capable d’apporter seule une réponse au scandale du mal et de la souffrance.

 

Pour l’intelligence, ceux-ci restent un mystère.

 

Voir également :

 

Souffrance 

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 02:00

KIM602.jpgLA PLUS ÉLÉMENTAIRE DES POLITESSES 

 

 

 

 

 

 

Savoir vivre avec les autres est un enfer… parfois.

 

Nous faisons partie d’un drôle de monde, un monde suractif et ce n’est pas nouveau.

 

On est si bousculé, si débordé que l’on oublie parfois la plus élémentaire des courtoisies.

 

Mais savez-vous que, avec un peu d’entraînement, il est beaucoup plus facile d’être poli que de ne pas l’être ?

 

Il suffit juste de quelques instants.

 

Dire bonjour, s’excuser ou remercier prend, au grand maximum, deux petites secondes.

 

Pas plus.

 

Pourquoi donc s’en priver ?

 

Et qu’on ne vienne pas me dire que ces simples codes ne servent plus, que Mai 68 est passé par là, que ces valeurs sont d’un autre siècle, essayez donc, ouvrez-vous aux autres, vous serez toujours gagnant.

 

Dans le milieu de l’entreprise, ne pensons jamais qu’être trop aimable est mauvais pour son image.

 

La gentillesse n’a jamais été synonyme de faiblesse.

 

Ne croyons pas non plus que féliciter un collaborateur pour son travail ne sert à rien.

 

C’est même tout le contraire.

 

Les cyniques devraient se pencher sur la question.

 

Des études très sérieuses ont rapporté qu’une ambiance chaleureuse dans une équipe rend les salariés plus productifs.

 

 Alors, pourquoi se gêner ?

 

 

Voir également :

 

Politesse 

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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 02:00

 

 

JOYEUX NOEL



Noël est à notre porte et nous avançons vers cette fête, préoccupés par des préparatifs de toutes sortes.


Dans un monde qui change si vite, Noël demeure malgré tout un signe dressé de l’espérance.


C’est bien cela qu’il ne faut pas écarter ou enfuir sous des amoncellements de biens matériels ou de superficiels divertissements.


Résister à toute banalisation ou dérive, à tout affaiblissement du véritable sens de cette fête.


La joie de Noël ne peut se confondre avec un bonheur factice procuré par les courses effrénées à la consommation – consumation - et aux plaisirs immédiats.


Quels que soient les nombreux défis de notre temps, rien n’est impossible à réaliser s’il s’agit de faire surgir, à l’horizon de chaque existence et du monde, l’indestructible espérance.


Noel : c’est la nuit que naît le jour.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 02:05

 

DE L’EFFERVESCENCE A L’ESSENTIEL








C’est plus fort que nous, chaque année, quand la grisaille des jours vacille à nouveau sous les étoiles de Noël et que les rues se retrouvent brodées de lumières, que les lumières et les décorations s’emparent des rues et des magasins, nous sommes rattrapés par l’ambivalence qui nous habite à l’approche des fêtes.


On dirait que tout se met en fête.

Pour qualifier ces journées de fête, on parle souvent de fête de famille, de fête des enfants. Comment ne pas s’en réjouir ?

Quel plus grand bonheur que de retrouver ses enfants et ses petits enfants ?

Bien évidemment, il n’échappe à personne que c’est aussi le moment le plus dur de l’année pour ceux et celles qui, marginalisés, isolés, en difficulté, ressentent plus encore leur épreuve ou leur solitude.

Soyons attentifs à ceux qui, autour de nous, ont besoin d’un signe d’amitié bien humaine, de partage, de solidarité.

Des initiatives sont prises en leur faveur. Il n’y en aura jamais assez.

Pour beaucoup d’entre nous, compte – encore ou à nouveau – la dimension traditionnelle de la fête en famille, des enfants, ou simplement de la générosité.

Des attentions spécifiques se font jour, en liaison avec les urgences de notre temps : exclus, immigrés, personnes handicapées, âgées ou seules.

Nous avons intégré la nécessité de faire quelque chose pour eux en ce temps favorable.

Le sens de Noël n’est pas étranger à ces préoccupations.

En observant nos grands magasins, la fête de la pauvreté et du don gratuit a été transformée en la fête de l’achat compulsif. 

Ne laissons pas le mystère de Noël étouffé sous les tonnes de caviar, les wagons de dindes, les cadeaux enrubannés, les boîtes de foie gras ou les chapelets de boudins blancs.

Trouver le juste équilibre !

Mais n’hésitons pas à vivre cette période dans la convivialité d'un bon repas, et dans la gentillesse de cadeaux réciproques.

En nous, il y a tout à la fois du rêve et de l’indignation, de l’excitation et de l’appréhension, mais surtout le désir de traverser ce temps d’effervescence forcée, en gardant le cap sur l’essentiel.

L’essentiel ?

Le plus simple...et le plus difficile à vivre !

C’est ce qui voit le jour non dans le papier-cadeau des apparences, mais dans la paille de notre humanité en devenir.

C’est la vie qui survient à même l’épreuve de vivre, dans la rudesse d’un quotidien mal habitué au spirituel.

C’est un feu d’espérance qui embrase le cœur des petits.. nous tous, à un titre ou à un autre ! 

Et qui enrichit d’abord ceux qui le donnent.

A nous de le découvrir !

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 02:00

 

MAL ÊTRE







Dans notre société, c’est la fonction symbolique du pouvoir comme pôle de référence assumant des orientations et des choix clairs, permettant à chacun de se situer, qui est mise en cause.

N’ayant plus de vis-à-vis solide auquel il puisse faire face, ni de collectif intermédiaire protecteur, nos contemporains sont placés dans des situations paradoxales : ils sont renvoyés à eux-mêmes et rendus responsables de la réussite ou de l’échec d’orientations confuses, souvent incohérentes et mal assumées.

Le collectif se délite et les rapports sociaux dégénèrent en rapports
« interindividuels » où le face-à-face ne parvient plus à se distancier et à se réguler en référence à une instance tierce permettant un désinvestissement salutaire.

Sont ainsi créées des conditions favorables à l’expression débridée des affects et des pulsions. D’où l’origine de la violence que l’on voit monter autour de nous.

Ce qu’on dénomme le « mal-être » est révélateur de cette psychologisation des rapports sociaux, symptomatique d’une crise des pouvoirs et des institutions qui ont de plus en plus de mal à assumer leur rôle. Et les thérapies en tout genre forment une sorte d’infirmerie sociale et d’accompagnement à cette crise dont nous n’avons pas fini de subir les effets.

Les difficultés actuelles du management sont révélatrices de ce phénomène qui engendre un mal-être existentiel et social que la croissance économique ne pourra pas, à elle seule, dissiper.

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 02:00
ANTHROPOLOGIE DE L’HOMME MODERNE







L’homme moderne vit en surface de lui-même, de plus en plus délibérément, comme dans une fuite en avant.

Il prône des idéaux extérieurs, des comportements superficiels ou narcissiques, une existence dénuée de sens profond, où le factice devient souverain, où le temps n’est plus vécu qu’au présent, mais en aliénation au passé ou au futur, où le dernier gadget à la mode devient idole.

Sa santé, elle-même, malgré les prodigieuses avancées de la médecine, se détériore, au plan moral et psychologique en tout cas, puisqu’apparaissent de nouveaux troubles générés par l’évolution d’une société fébrile et craintive, toujours plus individualiste et angoissée.

Les médecins sont de plus en plus confrontés aux symptômes dit noogènes, c’est à dire ayant pour origine l’esprit humain. Autrement dit, le déclin du sens de l’existence, la confusion intérieure, le manque de confiance en autrui et en soi-même, la perte du respect de la vie et de la personne humaine engendrent des maux de tout genre que la meilleure médecine aurait bien du mal à soigner efficacement.

L’homme moderne qui fonde son existence sur la recherche, lucide ou non, d’un intérêt individuel, égocentrique, est atteint d’une espèce de « syndrome d’irréalité », lequel n’a jamais été décrit par la psychiatrie moderne, mais dont les effets sont redoutables, déprimants, voire destructeurs pour la santé.

L’homme moderne, de plus en plus, fait de sa vie un but en soi, et son existence devient égocentrique, fermée sur elle-même. D’où une perte de tous repères, un émoussement du sens de la vérité et du sens de l’homme.

L’homme moderne devient beaucoup plus vulnérable, plus fragile qu’il ne l’était il y a quelques années. Cette considération ne vise pas que la santé physique mais également psychique.

Autour de nous, de nombreuses personnes se plaignent de plus en plus de mal-être, d’épuisement. L’origine de ce malaise vient que nous nous reposons pour résoudre nos difficultés sur nos propres forces. Comme si on pouvait à soi seul, faire face à l’immensité de sa tâche.

Nous vivons dans un monde moderne de plus en plus artificiel où l’homme a été transformé en machine à gagner de l’argent pour assouvir de faux besoins, pour de fausses joies. L’homme se laisse avoir par ce qu’il possède alors que son premier besoin est d’être estimé et reconnu.

Nous assistons à une sorte de dé-moralisation généralisée, source de beaucoup de désarroi et de souffrances, une crise sociale due au vide de sens, à la perte des valeurs et à la morosité générale. Tout le monde s’accorde à reconnaître qu’il existe un « déficit de sens ».

Ils sont de plus en plus nombreux ceux qui sont sans avenir professionnel, ceux qui sont marqués par la solitude et le mal de vivre, ceux qui voient leur couple se briser, ceux qui vont se noyer dans des paradis artificiels. Il y a péril ! Comment se fait-il qu’on en soit si peu conscient ?
 
On annonçait le règne de l’athéisme, mais c’est la prolifération des sectes qui est venue ainsi que les groupements d’inspiration ésotérique, les pratiques orientales, ou le recours à l’astrologie et aux jeux d’argent.

L’homme moderne ne pourra s’en sortir qu’en retrouvant ses véritables racines : les valeurs qui ont fondé notre société depuis 2000 ans.

Ces valeurs cautionnaient, assuraient la cohérence d’une société et régulaient son fonctionnement.

Elles ne sont plus transmises aux jeunes générations.

Cette panne de transmission est le plus grand drame de notre civilisation.

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20 décembre 2013 5 20 /12 /décembre /2013 02:00
OUVERTURE D’ESPRIT








Comment développer ce « sens du relationnel » qui paraît bien mystérieux, ce « plus » qui bien souvent fait la différence à compétences techniques semblables ?



Plutôt que des méthodes, il faut dit-on développer le goût pour les relations humaines, une ouverture d’esprit qui permette de se décentrer et de comprendre les réactions des uns et des autres avant de les juger.


Avoir des qualités dans les contacts humains, dans les relations humaines, cela veut dire être capable d’écouter les personnes et d’anticiper ce qu’elles attendent, par exemple, en matière d’amélioration des conditions de travail dans leur activité quotidienne.

L’ouverture d’esprit, c’est être capable de comprendre et de bien comprendre les autres, y compris si les autres s’intéressent à des choses qui ne nous intéressent pas.

Il faut commencer par se faire humble et petit pour devenir grand.

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19 décembre 2013 4 19 /12 /décembre /2013 02:00
DÉPRESSION








Les jours raccourcissent sans cesse et les cieux s’assombrissent.


Les matinées débutent dans la nuit noire et les journées s’achèvent dans l’obscurité.

Entre aube et couchant, à peine le temps d’un soupir que la chape retombe, comme le rideau de fer, au théâtre, avant la pièce. On a beau savoir que cela n’a qu’un temps, chaque fois c’est la hantise et la question : quand donc le ciel retrouvera-t-il le minimum syndical de lumière qu’on est en droit d’exiger ? Quand les jours mériteront-ils à nouveau de s’appeler jours ?

L’on sait bien que dans un mois à peine nous renaîtrons à l’espoir, quand les choses se stabiliseront avant d’amorcer la lente remontée. Il n’empêche, la mi décembre, creux des jours, fait toujours le même effet sur les sensibles et les engourdis : celui d’une glissade dans le noir.

Le malaise des milieux d’après-midi qui ressemblent à des débuts de soirée, les envies de terrier, le regret que l’hibernation soit interdite à l’espèce humaine : à force on a compris que l’on ne s’en libérerait jamais.

Il paraît que certains y sont indifférents qui vaquent en sifflotant. Le soleil est en eux, sans doute.

Où ont-ils trouvé la source ?

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 02:00
FRATERNITÉ : UN MOT A LA MODE ?







Fraternité. C'est un joli mot. Qui sonne, chante, éclaire, ouvre sur le monde et enveloppe son prochain.



Fraternité. N'est-ce pas là cependant un mot dont on cherche parfois le sens, à regarder la masse dans les transports en commun, où s'entassent, baladeurs aux oreilles, des individualités soumises à leurs décibels personnels, indifférentes aux nuisances résiduelles, à regarder la violence qui se développe autour de nous, à observer l’évolution de notre société ?


C'est un mot qu'on voit partout sur les frontons républicains : Fraternité.
Ah ! la devise, alphabet premier de la République !

Liberté ? Tout le monde sait : nos ancêtres se sont battus pour cela.

Egalité ? Tout le monde croit savoir, quoiqu'on préfère de nos jours évoquer l'équité, ce qui semble plus juste puisqu'elle intégre la contribution.

Mais fraternité ? C'est comme si le mot était en quête d'académiciens pour jeter les bases d'une consistance et d'une chair nouvelles, d'une actualisation, d'une redéfinition.

Fraternité. Le mot redevient à la mode. La valeur de 2014 ?

Avançons deux raisons : d'abord parce qu'en nous, quand bien même, bien enfoui, sommeille tout de même, à des degrés divers, le souci de l'autre, notre double, si irritant et attachant, tellement le même et tellement un autre.

Ensuite parce que nous rentrons dans une ère fortement marquée par la vulnérabilité et la dépendance - intergénérationnelle, notamment - qui conduit à nous interroger sur notre propre vulnérabilité.

Qui ne s'interroge pas façe à un Parent, malade, en fin de vie ?

Les Anglais ont un verbe, care, pour dire tout à la fois "s'occuper de", "faire attention", "prendre soin". Et un substantif, qui conduit à désigner la sollicitude. Le "care", qui désigne donc l'aptitude à se soucier des autres.

Là où nos sociétés occidentales n'aspiraient jusqu'à présent essentiellement qu'à du juste (un idéal de justice universel et abstrait), le care bouscule nos priorités.

L'important se concrétise, avec des questions du type : qui fait quoi ? qui prend en charge et comment ?

Pour lutter contre la dépendance et la vulnérabilité, l'attention, l'empathie, le respect du prochain deviennent des valeurs premières. L'important devient le geste, ici et maintenant, envers le faible ou celui qui souffre.

C'est la main tendue. L'écoute. Moins que la justice. Ce qui n'empêche pas sa quête.

Alors, trinquons à la fraternité !

Et tâchons d'être, sinon justes, déjà plus sensibles.

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 02:00
CADEAUX ?






Pas cadeau, les cadeaux ! Il est toujours trop tard pour y penser, et c’est souvent la panique. Peu d’idées, pas de talent pour ça.


Rien que des banalités (ou des doublons : « Si tu l’as déjà, n’hésite pas à l’échanger ») qui seront déballées à grands cris joyeux et vite remisées dans un cagibi, sur un rayonnage, dans une pile. Les rangements les exhumeront parfois, couverts d’une fine couche de remords.

Et si l’on offrait des biens immatériels, pour une fois ?

De ces biens qui nous manquent tant, que sont les idées justes, les pensées positives, le bon sens, un brin d’optimisme ?

C’est peut - être cela qui manque le plus à nos contemporains.

Ils regorgent d’objets vains qu’ils ne « savent pas où mettre » alors que dans leur coeur, dans leur intelligence, il reste beaucoup de place pour loger des réflexions, des considérations nouvelles, quitte à dégager de l’espace en chassant idées fausses, idées noires, préjugés et vieilleries nés des automatismes ou de la lassitude, en prenant du recul par rapport au « toujours plus » de cette grande foire commerciale qu’est devenu Noël.

« Qu’est - ce que c’est ? – Une idée juste et neuve. Ça vient de sortir. – Mais où avez ­ vous trouvé ça ? Dans quelle boutique ? »

Je vous laisse chercher !

Retrouvons le vrai sens de Noël !

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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TEILHARD DE CHARDIN : SOUFFRANCE
TEILHARD DE CHARDIN : VALEUR ABSOLUE
TEILHARD DE CHARDIN : VIE FONTALE
TEILHARD DE CHARDIN : VISION DU MONDE
TEILHARD DE CHARDIN : VIVE LA VIE !
TEILHARD DE CHARDIN : VOLONTÉ DE VIVRE
THEODORE MONOD
THÉODORE MONOD : LE PROPRE DE L’HUMAIN
THEODORT MONOD : DÉSERT 
THOMAS D’AQUIN
THOMAS D’AQUIN : ÉQUITÉ
THOMAS HOBBES : RIRE
THOMAS JEFFERSON : UN VISIONNAIRE !
THOMAS MANN : BONHEUR
TOCQUEVILLE : RELATIVISME
TOLSTOÏ : FORMER SA RAISON
VOLTAIRE : CUPIDITÉ ET ORGUEIL
YVES CONGAR : ESPRIT POSSESSIF