9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 02:00
LETTRE A UN JEUNE DE NOTRE TEMPS






Tu entres dans un nouveau siècle qui est déjà une société

nouvelle. C'est une chance et c'est une charge.

Etudie le message transmis de générations en générations, depuis deux mille ans, par des hommes qui en portent témoignage.

Notre engagement dans la société n'est pas facultatif. Il nous a été confié le soin de gérer la nature. L’homme ne peut pas être seulement un témoin. Il doit agir.

Pourquoi tant de désarroi, tant de conflits, tant d'exclus ?

Nous ne pouvons pas prendre prétexte des insuffisances de la société, des déceptions dans l'engagement, pour vivre en retrait du monde ou simplement supporter ses contraintes sans prétendre rien y changer.

Nous ne pouvons prendre prétexte des confusions et des abus que nous avons commis à travers les siècles, pour nous exempter d'agir dans la société.

Il est vrai que beaucoup ont réévalué à la baisse les prétentions des révolutions, des réformes de structure et des actions institutionnelles.

Mais ce n'est pas parce que le syndicalisme n'a pas fait disparaître toute forme de difficulté au travail, parce que la Sécurité Sociale n'a pas empêché de nouvelles exclusions, parce que le suffrage universel n'a pas toujours garanti le respect des droits de l'homme, qu'il faut mépriser les acquis du progrès social et de la démocratie politique. Rien de tout cela n'est d'ailleurs irréversible.

Pour un instant de lâcheté ou d'inconséquence, tout peux être compromis. L'un des peuples les plus cultivés d'Europe a élu Hitler. La nation des Droits de l'Homme a accepté Vichy.

Dans ce nouveau siècle, les jeunes ne manquent pas de chantiers. Le travail est à réinventer, dans un nouvel équilibre avec la famille, la formation, l'action sociale et les loisirs.

L'économie de marché cherche des régulateurs. Il va falloir placer le pouvoir politique aux dimensions des problèmes qu'il doit résoudre, c'est-à-dire souvent au-delà des frontières nationales.

La famille est à reconstruire dans une société qui la réduit à l'harmonie passagère d'un couple.

Le mystère de la vie est à protéger contre ceux qui s'autorisent, au nom de la science, à la manipuler.

La nature est à soigner contre ceux qui l'épuisent sans ménagement.

Dans toutes ces actions, le fil conducteur sera l'attention privilégiée aux
pauvres. Pauvres en argent, mais aussi en affectation, en savoir, en convictions.

La politique ne sera pas l'exutoire de nos amertumes mais le lieu du débat
général où se forge une volonté collective.

La tendance naturelle de l'humanité est à fabriquer de faux dieux : jadis la terre, la lune, le soleil ; dans le monde moderne, le pouvoir, l'argent, le sexe.

Libère la société des idoles auxquelles elle s'est asservie ; libère toi.

En fin de compte, c'est la richesse de la vie spirituelle, de la tienne aussi, que dépendra la fécondité - souvent cachée - de toute ta vie.

A toi d'agir.

Mets le cap de ta liberté sur la Vérité. Tu ne la connaîtras jamais parfaitement. Tu n'iras pas seul. Tu trébucheras. Mais, à terme, c'est la Vérité qui épanouira ta liberté.

Je te laisse la découvrir. C’était il y a 2000 ans.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 02:00
PRINCIPE DE COHÉRENCE

 





La cohérence entre les paroles et les actes engage très directement la crédibilité des responsables.


Ce principe n’est guère facile à mettre en œuvre quand on est surchargé de travail :  les exemples d’incohérence sont nombreux.

Les salariés sont sensibles à ces réalités quotidiennes et ne manquent pas d’observer les distorsions qui peuvent exister.

Sachant que les exigences à l’égard de ses subordonnés sont plus fortes qu’auparavant, on ne saurait néanmoins leur demander d’améliorer leur travail si on ne l’améliore pas soi-même dans son propre domaine.

« Si le chef ne montre pas l’exemple, ce n’est pas possible. »

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 02:00

 

LE COURAGE DE DIRE LES CHOSES







« L’éthique, c’est avoir le courage de dire les choses. »



L’importance de ce principe paraît décisif dans l’établissement des rapports de travail avec les chefs, les collègues et les collaborateurs.


Le « courage de dire les choses » à son supérieur hiérarchique ne va pas de soi en regard de la crainte que le jugement porté sur soi soit négatif. Il en va par exemple lorsqu’il y a désaccord sur un jugement porté sur les collaborateurs. Un manager doit défendre son équipe auprès de sa propre hiérarchie. La juste défense de ceux que l’on dirige constitue un pas décisif  de cette éthique en situation. Dans ce domaine, il est des lâchetés qui sapent profondément la confiance et qu’on ne pardonne pas si facilement.

Dans le rapport avec ses collaborateurs, le « courage de dire les choses » est également décisif pour éviter tout malentendu. Il existe souvent une frilosité envers l’autre, et le mot « courage » est bien choisi.

Il faut oser dire à quelqu’un lorsque son comportement dans le travail ou le résultat de son activité ne conviennent pas.

Respecter l'autre c'est lui dire ce qui va mais également ce qui doit être amélioré.

Cette franchise n’exclut pas la fermeté mais elle doit pouvoir se dire avec doigté, dans un langage correct et en respectant la personne.

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 02:00
LA VIE INTÉRIEURE : LUXE OU NECESSITÉ ?







LE MONDE MODERNE EST TRES PORTÉ SUR L’EXTÉRIORITÉ


Monde d’apparences, de modes, de styles de vie venus de l’étranger, de comportements de groupe, de rituels sociaux !

Ces faisceaux d’influence ont tendance à nier la singularité de la personne, son identité unique non asservie à l’influence de modèles imposés, son désir d’une destinée éminemment personnelle : l’époque moderne raisonne de plus en plus en termes de groupe.

Paradoxe de l’individualisme !

LA VIE INTÉRIEURE EST SOUS-EVALUEÉ AUJOURD’HUI

Le monde moderne ne lui laisse guère de place. Il y a plus de bruit que de silence, plus de lieux festifs que de lieux de réflexion, plus d’animateurs mis en vedette que d’homme de pensée, plus de solitude maladive que de solitude d’approfondissement intérieur.

Une tendance psychologique très largement répandue veut que la parole soit libératrice, le silence étant considéré comme un enfermement et, souvent, la source de tous les maux.
 
C’est une vision qui a sa part de vérité, mais qui est un peu trop radicale pour ne pas être simpliste : le silence peut contenir lui aussi une incroyable puissance libératrice.

Que l’on songe au silence du promeneur émerveillé, du lecteur passionné... ou du silence devant la souffrance, la mort.

Il y a des instants où la parole se trouve, pour ainsi dire, disqualifiée.

LA VIE INTÉRIEURE INAUGURE LES RETROUVAILLES AVEC SOI-MËME

En adoptant des rituels de groupe, en mimant des modèles de comportement, on s’éloigne radicalement de soi-même, littéralement : on se déserte.

Le seul moyen de se retrouver  est de s’isoler hors de tout contexte d’influence : le silence et la solitude constituent les deux conditions de l’approfondissement intérieur.

La liberté intérieure - celle de penser selon ses intimes convictions et d’accorder ses actes à ses idéaux, est la première des libertés.

Dans « L’enracinement », Simone Weil soutient que le premier besoin de l’âme humaine, c’est celui de l’ordre. La personne a besoin d’être « en ordre ». Elle a besoin d’ordre afin d’être, comme l’on dit, « bien dans sa peau ». Elle a besoin d’ordre pour discerner et pour agir. On pourrait dire aussi qu’il est plus important de faire le ménage en soi que dans sa maison.

Nous abordons ainsi, par métaphore, le concept de maison intérieure. Quand on parle de « faire l’ordre en soi », qu’est-ce à dire ? C’est faire en sorte que nos actes soient en accord avec nos convictions profondes - nos valeurs -, c’est entrer dans la notion d’engagement : je fais ce que je dis, je dis ce que je fais.

C’est aménager en nous un « intérieur » qui nous ressemble.

Le contraire de l’ordre, c’est la confusion : être en désordre, c’est s’éloigner de soi, et c’est précisément cet écartèlement qui amène souffrances et tribulations.

Dans un monde dominé par le matérialisme, l’utilitarisme, la question est inévitable : « A quoi ça sert ? » La vie intérieure est aussi injustifiable qu’indispensable. C’est quand elle manque qu’on en voit l’importance.

La vie intérieure nécessite un temps de silence, une volonté de retrait, un élan non pas de fuite mais bien plutôt de réflexion. Il convient de réfléchir, au même titre que l’on dit « se retrouver ». Cette expression est curieuse car tout se passe comme si l’on s’était perdu, ou égaré.

Il y a dans les relations humaines - je le constate chaque jour - une fragile harmonie, sans cesse menacée par la pression des événements extérieurs et par les alternances de nos humeurs, l’expression de notre ego, notre manière d’accaparer, de dominer, de vouloir paraître, de prétendre être à l’origine des choses.

Triste prétention ! ! 

L’intériorité, c’est la démarche qui consiste à aller au cœur des choses ou, si l’on veut, à comprendre les choses du dedans.

L’intériorité c’est découvrir que nous ne sommes pas tout seul. Il y a au plus secret de nous une présence.

Un cadeau pour une joie qui dure.
.

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 02:00
EFFICIENCE DE LA PAROLE







« La parole devance tout geste en le signifiant. Elle est le bon compromis de ce qui est à faire » (Paul Ricoeur dans « Travail et Parole »)


Au delà de la dimension technicienne, la parole se révèle déterminante dans la qualité des rapports entre hiérarchie et collaborateurs. La façon dont s’exprime un responsable ne peut seulement être envisagée comme un moyen en vue d’atteindre un objectif ; le langage n’est pas qu’un « outil de communication » dont la maîtrise serait l’affaire d’un simple apprentissage.

Le langage exprime la posture, la manière d’être. En ce sens, il est lié à l’éthique individuelle.

La parole induit des effets sur les autres qui sont loin d’être négligeables.

Il convient d’accorder une attention, un soin particulier à la façon dont on s’exprime, car la qualité de l’expression détermine largement la clarté et la qualité des rapports avec les autres.

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 02:00
ÉLOGE DU SILENCE




   
Faire silence est essentiel : se poser un moment et oser le silence intérieur.


Prendre le risque de faire taire son brouhaha intérieur.


Eviter de trop parler afin d’éviter la superficialité, la médisance, la légèreté.

L’homme sage sait se taire jusqu’au bon moment.

Dompter sa langue, c’est se maîtriser tout entier.

Plus il y a de paroles, plus il y a de vanités. Alors, à quoi bon ?

Le silence en lui-même n’a pas de sens : il peut n’être que vide ou mutisme.

Le silence n’a de sens que s’il est habité, habité par une recherche, une quête.

Le silence est ouverture à la paix.

Il ne suffit pas de faire silence. Il faut le vivre. Non pas le subir, le supporter, ni même l’accepter, mais le vouloir, le rechercher, le sauvegarder.

C’est dans le silence que la personnalité se forme et acquiert une pensée.

Le silence remet de l’ordre en soi quand on est inquiet, fatigué. Il apprend à devenir maître de soi.

Le vrai silence est écoute. Ecoute de ce qui nous fait vivre et ne vient pas de nous mais de plus grand que nous.

Il faut laisser le temps à l’écoute de parvenir jusqu'à l’oreille de notre cœur.

Nous sommes encombrés par les activités, les soucis. Or la parole vraie n’affleure que si on lui laisse du temps.

Le monde d’aujourd’hui vit une persécution de la vie intérieure par le bruit incessant des téléphones, des radios et des télévisions : une vraie Babel où tout le monde parle et où personne n’écoute ni ne comprend.

Il faut que nous apprenions à nous taire. Nous mettons cinq ans à apprendre à parler, et le reste de la vie à apprendre à nous taire.

Il faut s’exercer à écouter. C’est un labeur, il a beaucoup de parasites. Mais c’est possible ! Il faut se laisser apprivoiser, comme le dit le renard du « Petit Prince ».

Il faut apprendre à écouter, à rentrer au plus profond et à s’élever au dessus de soi.

Comment se parler, si l’on ne s’écoute pas ? Comment se parler, si on n’a même plus le droit de « l’ouvrir », si complexe soit le sujet. Comment expliquer que l’on a tout à gagner à entendre un point de vue différent du sien et que c’est même un enrichissement ? La parole de l’autre, souvent, vous modifie, vous déstabilise positivement, vous fait découvrir de nouvelles échappées, à l’écart de vos certitudes.

Mais non, il y a des gens qui érigent face aux autres des murs de mots et de mépris.

Le silence n’a également de sens que par rapport à une Parole.

Il est fait pour découvrir la Lumière.

Le silence guérit : il constitue la voie spirituelle par excellence.

Le silence conduit à la rencontre avec soi-même et à la découverte de la Vérité.

Il est aussi le moyen de se détacher de la tendance à juger les autres. Nous sommes portés, en permanence, à évaluer, à apprécier et à cataloguer les personnes que nous rencontrons. Et le plus souvent nous en arrivons à les condamner. Le silence nous évite d’en arriver là. Il nous confronte à nous-mêmes et nous empêche de projeter notre part d’ombre sur les autres.
 
Plus on est dans le bavardage superficiel et bruyant, moins on a de chance d’entendre les mots qui surgissent de la Source.

La vraie Parole n’empêche pas le silence.

Plus on ose la Parole vraie, moins on a peur du silence.

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3 janvier 2014 5 03 /01 /janvier /2014 02:00
APPRENDRE LE SILENCE






Nous sommes dans un monde où le silence est pauvre, où le silence est vide, où le silence est triste.

Alors les gens le remplissent par du bruit.

Il y a le bruit intérieur, la pensée qui tourne, les rancunes, les idées fixes - le manque de reconnaissance ! ! -  les frustrations et, quand il n’y a pas cela - ou pour oublier cela -, on tourne le bouton de la radio, on ouvre la télévision - 4 heures par jour -, on zappe.

Nous sommes dans un monde de bruit perpétuel, nous sommes tout le temps occupés.

Préoccupés par le regard des autres.

Pour trouver son équilibre, il devient important d’apprendre à faire silence.

Et qu’en même temps, ce silence devienne un silence habité. 

Oubliant les petites et médiocres contingences du temps pour trouver l’Essentiel.

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2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 02:00
VOEUX 2014







En cette période de voeux, je vous propose de conjuguer deux mots : « s’engager » et « évoluer ».


L’engagement doit être double : professionnel et personnel.

L’engagement est signe de responsabilité.

Vous êtes tous responsables de projets importants aux aspects techniques et humains complexes.

Mais n’oubliez pas de développer des qualités humaines sans lesquelles il serait néfaste d‘exercer des responsabilités.

Devenez une personne libre, autonome, capable de réflexion, de synthèse, de jugement, de créativité, ayant le goût du travail en équipe, le désir de servir.

Vous êtes des esprits intelligents, des têtes bien faites. Mais, c’est le sens de votre engagement qui fera que vous serez uniques et différents des autres.

Le courage, l’intégrité, la responsabilité, le respect d’autrui et la priorité donnée aux intérêts de l’entreprise sont les valeurs qui fondent une bonne pratique de l’engagement.

Développez un projet de vie, intégrant le développement professionnel, familial et social : recherchez en permanence le bon équilibre.

Soyez modestes, participatifs, à l’écoute des autres collaborateurs de l’entreprise, soyez compétents dans votre domaine, bien sûr, et le développement de votre carrière suivra !

Je vous le souhaite...

ainsi qu’une bonne et heureuse année 2014 !

Bernard ROMAIN
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30 décembre 2013 1 30 /12 /décembre /2013 02:00
UNE SOCIÉTÉ QUI PROPOSE UN CONFORMISME GÉNÉRALISÉ





La société qui nous est proposée est une société de gens biens policés, qui ne commettent pas d’excès, sont en bonne santé, cherchent en permanence à s’améliorer, qui achètent les mêmes produits dans les mêmes magasins, qui regardent tous la télévision à 20h...


L’individu n’est plus considéré comme une histoire, mais comme un stock de ressources, une micro-entreprise à gérer.

Cette société met en avant le culte de la performance, du « toujours plus haut, plus vite, plus fort ». Et qui n’admet plus le manque, la défaillance, la souffrance, bref, tout ce qui fait le tragique de la condition humaine, mais aussi sa grandeur.

Se demander tous les matins : « Suis-je heureux ? Suis-je en bonne santé ? Est-ce que je progresse ? Suis-je reconnu ? » est-ce le signe d’une bonne santé psychologique ? Cette obsession du bonheur n’est-elle pas au contraire un symptôme d’aliénation ?

La société qui nous entoure est tentée par la satisfaction immédiate du désir qui l’habite, dans la possession des choses ; elle est tentée de se refermer sur ce qu’elle a, au risque d’être possédée par ce qu’elle possède. Elle est tentée par la puissance, le prestige. 

La société renvoie l’individu à lui même, le rendant seul responsable de sa vie, partant de l’idée que quand on veut, on peut. Elle ne permet pas de s’accepter tel qu’on est, avec ses limites, ses angoisses, ses manques et ses contradictions.

Résultat : si l’individu ne parvient pas à atteindre l’objectif assigné, à gérer son stress, à vaincre ses addictions..., il en concevra de la culpabilité ou un profond sentiment d’insuffisance et d’épuisement.

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 02:00

Gence45.gifINCOMPLÉTUDE DES SCIENCES PHYSIQUES

 

 

 

 

 

 

 

 

Les sciences physiques ne nous livrent que la part du réel qu’elles peuvent découvrir par leurs méthodes.

 

Elles ne disent rien sur la singularité des personnes, rien sur le sens ou les finalités, rien de sérieux sur la souffrance morale, le mal, la destinée.

 

Bref, elles ne parlent pas vraiment de l’humain.

 

 

 

Voir également : 

Incomplétude de la science

La science physique n’est qu’un des modes de connaissance dont disposent les hommes. Elle ne nous livre…

Incompletude des sciences

Incomplétude des sciences

Beaucoup considèrent que les sciences ont perdu de leur aura. L'un de…

Au xixè et au début du xxè siècle, les…

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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SAINT-EXUPERY : STABILITÉ
SAINT-EXUPERY : TOURNÉ VERS SOI
SAINT-EXUPERY : VANITÉ DE L’HOMME
SAINT-EXUPERY : VOYAGE
SARTRE : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
SERGE DASSAULT : GESTION PARTICIPATIVE
SPINOZA : JUSTICE
TEILHARD DE CHARDIN : APPARITION DE L’HOMME
TEILHARD DE CHARDIN : AVENIR
TEILHARD DE CHARDIN : DÉFI A LA PENSÉE
TEILHARD DE CHARDIN : DÉSORDRE
TEILHARD DE CHARDIN : EFFORT
TEILHARD DE CHARDIN : LE MONDE SE CONSTRUIT
TEILHARD DE CHARDIN : MANTEAU D’HUMANITÉ
TEILHARD DE CHARDIN : MONDE STUPIDE
TEILHARD DE CHARDIN : OEUVRE
TEILHARD DE CHARDIN : PAIX
TEILHARD DE CHARDIN : PRENDRE DE LA HAUTEUR
TEILHARD DE CHARDIN : RÉFLEXIONS SUR LA CRISE
TEILHARD DE CHARDIN : RÉUSSITE
TEILHARD DE CHARDIN : SOUFFRANCE
TEILHARD DE CHARDIN : VALEUR ABSOLUE
TEILHARD DE CHARDIN : VIE FONTALE
TEILHARD DE CHARDIN : VISION DU MONDE
TEILHARD DE CHARDIN : VIVE LA VIE !
TEILHARD DE CHARDIN : VOLONTÉ DE VIVRE
THEODORE MONOD
THÉODORE MONOD : LE PROPRE DE L’HUMAIN
THEODORT MONOD : DÉSERT 
THOMAS D’AQUIN
THOMAS D’AQUIN : ÉQUITÉ
THOMAS HOBBES : RIRE
THOMAS JEFFERSON : UN VISIONNAIRE !
THOMAS MANN : BONHEUR
TOCQUEVILLE : RELATIVISME
TOLSTOÏ : FORMER SA RAISON
VOLTAIRE : CUPIDITÉ ET ORGUEIL
YVES CONGAR : ESPRIT POSSESSIF