8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 20:33

undefinedCENTRE DU MONDE

 






Reconnaître que nous ne sommes pas le centre du monde.


Reconnaître que c’est l’autre qui est source de la vie et du bonheur.


Le reconnaître dans son expérience humaine et le dire.


Il s’agit de se libérer de l’enfant qui centre tout sur lui, afin de devenir l’adulte qui reconnaît que sa vie passe par l’autre et qui est prêt à assumer en conséquence sa responsabilité d’homme ou de femme dans la société.


C’est le signe de la liberté d’un être face à l’histoire, qui est son histoire, et face à l’autre.


C’est grandir et devenir plus homme.

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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 21:33

undefinedCOMMENT TENIR ?

 






Comment tenir ?


Comment marcher dans un désert sans étoiles ?


Comment traverser une nuit dont on ignore si elle cédera enfin le pas à une aube incertaine ?


Comment tenir ?


Peut-être en se tenant humblement aux autres, comme on se retient, au bord du précipice à une épaule amie.


Comment tenir ?


Peut-être aussi en tenant, en retenant celles et ceux que la vie nous confie et qui traversent d’autres fragilités, qui hurlent dans d’autres déserts, qui errent dans d’autres nuits.


Tenir en se décentrant de sa propre nuit.


Tenir malgré l’obscurité apparente de ce monde.


Oser espérer.
 

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4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 20:49

UNE VIE RÉFLÉCHIE

 






Une vie réfléchie est une vie qui n’accepte pas la fatalité et qui dit : l’homme est mis sur la terre, non pas pour subir les forces cosmiques, y compris écologiques, mais pour les dominer, pour les maîtriser et pour les infléchir par son industrie et son intelligence.


Cela doit nous aider à comprendre que nous avons une liberté à faire fonctionner, que nous ne pouvons pas vivre en suivant le plus grand nombre et en écoutant les slogans médiatiques.


Mener une vie réfléchie, cela veut dire user de notre capacité de décider par nous-mêmes et de ne pas nous laisser conduire par l’air du temps.


Mener une vie raisonnable et juste.

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3 février 2008 7 03 /02 /février /2008 17:12

XXè SIECLE

 

 





Le grand malheur du XXè siècle, ce sera d’avoir été celui où l’idéal de la liberté aura été mis au service de la tyrannie, l’idéal de l’égalité au service des privilèges, toutes les forces sociales embrigadées au service de l’appauvrissement et de l’asservissement.

 

Cette immense imposture a falsifié tout le siècle, en partie par la faute de quelques uns de ses plus grands intellectuels.

 

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3 février 2008 7 03 /02 /février /2008 09:50

DIALOGUE

 






A l’heure où se développent dans les Entreprises ce que l’on appelle l’entretien individuel, nous avons un urgent besoin de réapprendre l’art du dialogue, car la vie en commun, pour être sereine, doit passer par là.


Il faut réapprendre une culture du dialogue.


La première étape consiste à suspendre son jugement pour considérer l’autre avec sympathie. Tout commence par là.


Dans leur altérité, les autres sont vraiment « différents », voire capables de nous contredire.


Avoir une attitude de sympathie signifie – dans un premier temps – accepter de ne pas comprendre l’autre tout en partageant ses sentiments.


La vérité de l’autre a la même légitimité que la mienne.


Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de vérité ou que toutes les vérités se valent.


Chacun peut manifester sa propre vérité avec humilité et doit être disposé à recevoir de l’autre la vérité qui, toujours, nous précède et nous dépasse.


La sympathie implique l’empathie : elle n’est pas un élan qui nous pousserait vers l’autre, mais la capacité de se mettre à sa place, de le comprendre de l’intérieur.


Elle se fonde sur notre dimension humaine, qui nous rend semblable.


L’empathie permet de percevoir que l’existence par nature, n’est jamais isolée ; elle n’existe que dans la communication et dans la conscience de l’existence des autres.


L’égocentrisme, l’indifférence, le cynisme, la rancœur sont vaincus par ce sentiment : on fait ainsi place à l’autre.


Mais la sympathie et l’empathie ne sont que les conditions pour que le dialogue soit possible, fécond de transformations et d’enrichissements réciproques, on ne sort jamais comme on y était entré et le défi du dialogue implique la disponibilité à entreprendre ce chemin.


Dans le dialogue émergent des visions inédites de l’autre ; la fin des préjugés se fait proche : on découvre ce que l’on a en commun mais aussi ce qui manque à chacun.


Dans le dialogue, deux visages se trouvent face à face.


Cet autre que je situais dans une dimension reculée se révèle beaucoup plus proche et semblable à moi que je ne l’imaginais.


La frontière demeure, tout en n’étant plus un lieu de conflits ou de malentendus, mais de pacification et de rencontre.


Si l’on n’attend rien de l’autre, le dialogue meurt avant même sa naissance.


Mais si l’on est disposé à l’accueillir comme un « hôte intérieur », alors se déclenche l’étincelle du dialogue authentique : on offre du temps à l’autre et les paroles qui s’échangent deviennent des dons réciproques.


Les questions de l’autre deviennent les miennes, ses doutes dérangent mes certitudes, ses convictions interpellent les miennes.


On arrive à exprimer des pensées que l’on n’avait encore jamais eues.


Avec la perception fascinante de les sentir à la fois inouïes et familières, on finit par découvrir que l’on possède depuis longtemps des réalités qu’on était convaincu d’ignorer.


Le dialogue avec l’autre permet la découverte inédite de notre propre existence.


Par des mots et des gestes, il fait apparaître l’intériorité qui nous habite. 

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 20:02

ARGENT ET POUVOIR

 

 





Aucune société ne peut vivre durablement et se développer sans cette antique et nécessaire invention qu’est l’argent, ni aucune collecti­vité sans pouvoir.

 

Il en va de l’argent comme du pouvoir : ils rendent fou.

 

Le pouvoir, c’est connu, rend fou, le pouvoir absolu, absolu­ment fou.

 

L’argent, de même, cela se vérifie chaque matin, rend fou.

 

Et, ces jours-ci, absolument fou.

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 06:59

ÉGOISME

 

 






Certains sociologues nous disent que notre style de vie, de plus en plus centré sur la personne, ses besoins, ses préférences de consommation, banalise l’égoïsme.

 

Il devient presque normal de dire « ça ne me convient pas, donc je ne le fais pas. » ou « je n’ai pas eu le temps, donc j’ai laissé tomber ».

 

La fiabilité, le respect d’autrui, la responsabilité ?... Passés au second plan.

 

Les autres ?...Ils se débrouilleront bien.

 

Et, après on déplore la dégradation de l’ambiance !

 

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1 février 2008 5 01 /02 /février /2008 20:58

CONVICTION

 

 







Notre conviction personnelle doit être fondée sur la valeur intrinsèque et irremplaçable de la personne humaine quelle que soit sa race, sa condition sociale.

 

Apprendre aux jeunes à parler vrai, c’est leur apprendre à respecter l’autre comme une personne qui a autant de mérites que soi parce qu’elle existe et est unique en son genre, c’est les amener à reconnaître l’autre sans l’écraser ou le terroriser tout en apprenant de lui et en cherchant à lui apprendre : c’est la base d’une éducation moderne caractérisée par un échange permanent et respectueux entre celui qui sait et celui qui cherche à apprendre.

 

 

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31 janvier 2008 4 31 /01 /janvier /2008 20:53

CONSCIENCE

 

 






Conscience du travail bien fait.

 

Conscience…

 

Il arrive encore qu’on entende prononcer -  de manière fort timide, atténuée- ce mot mystérieux, ancien et indéfinissable.

 

Il lui arrive de se frayer un modeste chemin dans le tohu-bohu des mots dominants (modernité, sécurité, argent, croissance, puissance, fermeté…).

 

On est parfois tenté de baisser les bras devant le tsunami des «efficaces», des «pragmatiques», des «modernes».

 

Hardi, la conscience ! Que serait l’humanité, sans toi ?

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30 janvier 2008 3 30 /01 /janvier /2008 20:06

CHANGEMENT DE MONDE

 

 

.





En 2 générations, tout a changé.

 

Nous sommes passés d'une société relativement stable et sure, dans laquelle les places et les rôles sociaux étaient bien définis, ou l'on pouvait se projeter dans l'avenir sans grand risque de se tromper et ou quelques valeurs phares étaient largement partagées, à un monde fluctuant, dans lequel les certitudes n'ont plus cours, ou les choix individuels ont remplacé les parcours tracés d'avance et ou les repères traditionnels ont disparu.

 

Les rapports d'autorité ont ainsi fait place à la négociation.


L'injonction d'épanouissement personnel s'impose à tous et un mouvement d'individualisation irréprecible a conduit à de profondes transformations du couple, de la famille et, au delà, de la manière de conduire sa vie.

 

. Le monde a changé de règles. Elles ne sont plus obéissance, discipline, conformité à la morale, mais flexibilité, changement, rapidité de réaction.

 

Maitrise de soi, souplesse psychique et affective, capacités d'action font que chacun doit endurer la charge de s'adapter en permanence à un monde qui perd précisément sa permanence, un monde instable, provisoire.

 

. L'éducation n'est plus conçue comme l'apprentissage de règles inculquées sur un monde autoritaire, mais comme une mise en valeur unique de l'enfant.

 

. Avant, c'était tout simple d'être une personne, il suffisait de se laisser porter par les institutions. A présent, c'est un véritable travail qui peut être éreintant.

 

Chacun veut être sujet de sa vie. On ne veut pas rater son bonheur.

 

. L'individualisation est le point central, la caractéristique de notre époque.

 

. Mais aujourd'hui, on n'existe plus par soi- même.

 

On ne pense plus par soi-même mais on est pensé par l'autre.

 

Cette perte de soi dans l'autre est une tendance centrale, qui marque de plus en plus la vie quotidienne.

 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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