17 mai 2008 6 17 /05 /mai /2008 05:56

DONNER DU SENS AU TRAVAIL

 

 







Le rôle du manager est-il vraiment de donner du sens ?

 

Souvent employée, cette expression peut porter à confusion.

 

S’il s’agit de donner du sens aux personnes, ce n’est pas le rôle du manager.

 

En voulant le faire, il outrepasserait son champ de responsabilité.

 

En effet, c’est à chacun de répondre à cette question et de trouver dans sa vie personnelle et professionnelle ce qui le motive, lui tient à cœur et lui donne le sentiment de mener une existence valable, à la hauteur de ses aspirations et valeurs.

 

Personne ne peut se substituer à la personne pour mener ses réflexions personnelles.

 

En revanche, s’il s’agit de donner du sens au travail demandé, dans ce cas, le rôle du manager est fondamental.

 

Pourquoi davantage aujourd’hui qu’hier ?

 

Simplement parce que l’entreprise est devenue trop complexe pour que les réponses soient évidentes.

 

Dans la vie de tous les jours, le salarié travaille sur une petite partie d’un processus et, bien souvent, sans posséder la vision globale.

 

La spécialisation poussée des métiers n’arrange rien , les décisions censées donner des repères changent souvent.

 

A quelle œuvre contribue-t-il ?



En quoi la qualité de son travail est-elle importante ?

 

Conclusion : les managers doivent communiquer beaucoup plus qu’avant, en encourageant chaque personne dans son effort.

 

Donner du sens au travail de chacun revient à identifier ensemble une cause extérieure à soi pour laquelle on a envie de se dépasser.

 

 

 

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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 03:25

 

SENS DU TRAVAIL POUR UN MANAGER



 

 



Dans l’entreprise, la recherche du sens est très présente.


Il est impossible aujourd’hui de susciter des énergies sans expliquer le pourquoi et le comment.


La sincérité partagée, en exprimant ce qui anime en vérité, provoque souvent un retour identique.


La parole engage voire différencie.


Le socle des valeurs de nombreuses entreprises, en référence au respect, à l’initiative responsable, à la subsidiarité n’est pas éloigné de ce à quoi il faut croire.


Pour obtenir une adhésion, beaucoup de responsables ne négligent pas l’homme dans leur stratégie et déclinent les valeurs de désintéressement et de partage.


L’entreprise est un lieu de décisions et d’adaptations permanentes.


Il y a quotidiennement des « grands écarts » entre risque et besoin de sécurité, encouragement de l’initiative individuelle et solidarité…


L’unité recherchée entre la parole, la pensée et l’acte oblige la conscience.


Les conseils de pairs, les avis extérieurs guident pour que la justice soit au rendez-vous des compromis évolutifs qu’il faut gérer en permanence.


L’entreprise peut ainsi conjuguer création de richesses et développement humain. 


Le manager est simplement renvoyé à la singularité de sa vocation humaine, assumée librement. Celle-ci prend une autre dimension quand le manager sait prendre du recul, prendre conseil et…faire silence.

 

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11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 03:22

 

ÉTHIQUE DANS L'ENTREPRISE



 



Ethique, éthique, éthique.


Le mot revient à tous les étages.


Sur tous les sujets.


Comme le signe d'une quête de valeurs et de repères, trop changeants.


Comme le risque aussi, à n'y prendre garde, d'une notion globalisante et fourre-tout.


Paul Ricoeur, lorsqu'il parlait d'éthique, évoquait d'ailleurs plutôt "l'intention éthique", quelque chose sur le chemin de la loi morale, mais toujours bien en amont, qui peut éventuellement s'inscrire un jour dans la loi tout court, mais toujours très en aval.


Interrogé par la revue Etudes, le sociologue Jean-Pierre Le Goff invite précisément à se méfier des bonnes intentions et "à sortir des discours généraux et généreux sur l'amour et la fraternité, pour considérer les pratiques et leurs effets, que l'on ne maîtrise pas avec (celles-ci)".


Le propos du sociologue s'inscrit dans la poursuite de l'analyse critique qu'il avait faite au début des années 1990 de l'entrée en force du discours éthique dans l'entreprise (Le Mythe de l'entreprise).


Il convient volontiers que l'éthique "a sa place dans l'entreprise", mais que, "si l'éthique oublie les finalités bien spécifiques de celle-ci (la production de biens et de services destinés à la vente sur le marché), elle se trompe de registre". 

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9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 03:09

 

LASSITUDE FACE AU TRAVAIL



 



On parle souvent de la lassitude de nos contemporains, de désenchantement dans leur travail.


Ce qui est en jeu dans cette lassitude, aujourd’hui, c’est beaucoup moins l’excès de charge, que l’insuffisance de sens.


Aux managers de savoir redonner un sens, une espérance.


De savoir maîtriser la tension créatrice entre le nécessaire combat économique et la finalité humaine.

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8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 09:11

 

DÉCIDER

 






Olivier Lecerf, qui a succédé à Marcel Demonque pour développer Lafarge, disait :


« La légitimité des dirigeants, c’est le pouvoir de servir ».


L’autorité ce n’est pas un pouvoir, c’est un service.


Le service de la décision, que nous rendons à la collectivité humaine que nous dirigeons. 


Dans une équipe, chacun a ses priorités, ses idées, son tempérament.


Il faut que quelqu’un décide, pour que tous puissent avancer.


Décider, en ayant écouté chacun en amont, en expliquant à tous en aval…mais c’est ainsi que l’on « fait grandir » la collectivité, et chaque personne qui la compose avec ses talents et ses limites.

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8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 03:38

 

 

PAROLE DE SAGE POUR UN MANAGER

 

 

 





« Quiconque abaisse, c’est qu’il est bas. »



(Antoine de Saint-Exupéry dans Citadelle)

 

On peut en déduire : Quiconque fait grandir, c’est qu’il est grand.

 

 

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7 mai 2008 3 07 /05 /mai /2008 15:27

 

L’ENTREPRISE, POUR QUOI FAIRE ?

 

 





Disons-le nettement : la première finalité de l’entreprise, c’est la production de richesses ; rien ne se fait sans l’exigence d’efficacité économique : pousser les ventes, optimiser les coûts, innover et donc changer les habitudes, l’entreprise doit le faire, animée de la volonté de gagner dans la compétition économique.

 

A l’inverse, une entreprise qui s’endort sur ses lauriers ne rend service ni à ses clients…ni à ses collaborateurs, parce qu’elle mourra tôt ou tard.

 

Il faut le faire bien sûr dans le respect honnête des lois, des droits des salariés, ceux des consommateurs.

 

L’entreprise est faite d’abord pour l’efficacité, mais elle n’est pas faite que pour cela.


L’économiste François Perroux le disait avec force :


« L’échec d’une activité se révèle par une efficacité insignifiante ou par une signification inefficace. »


L’entreprise, sauf à échouer de cette autre façon, doit donc aussi monter dans l’ordre des finalités : et sa finalité, c’est de faire du profit mais d’être aussi un lieu de relations, et un lieu de création.


Un lieu de relations, parce que c’est une communauté humaine, de dizaines ou de milliers de personnes, qui s’y engagent et s’y construisent : il faut qu’ils aient envie d’y donner le meilleur d’eux-mêmes.


Ce peut être par l’exigence, ou par la confiance – et il y a toujours les deux, mais c’est la confiance qui fait le plus grandir dans la durée.


Un lieu de création, parce que l’entreprise a une mission ; le travail a un sens créateur.


Nous coopérons, chacun dans le secteur qui nous est confié, à un monde un peu meilleur.


Le nec plus ultra aujourd’hui chez les dirigeants, au-delà des chiffres, c’est de parler vision : au-delà des besoins de la communication, cela traduit une aspiration profonde de la communauté de travail.


 Dire pour quoi, pour qui, elle se bat chaque matin.

 

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2 mai 2008 5 02 /05 /mai /2008 03:11

 

EMPATHIE

 

 

 


Un manager doit développer sa faculté d’empathie, celle de ressentir avec d’autres leurs peurs, leurs attentes et leurs espoirs.

 

L’empathie se révèle essentielle pour le comportement social de l’homme.

 

 

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28 avril 2008 1 28 /04 /avril /2008 03:11

 

PATIENCE

 

 







On ne le dira jamais assez : la patience est la première des qualités exigées d’un manager.

 

La patience n’exclut pas l’audace et le courage, la compétition et l’engagement, la prise de risque et même l’échec, la rigueur et l’exigence ; elle en serait plutôt un compagnon, utile voire indispensable, au contraire de l’empressement ou de l’agitation stérile qui génèrent un stress inutile et dévastateur.

 

« Patience et longueur de temps /Font plus que force ni que rage », concluait déjà Jean de La Fon­taine, dans Le Lion et le Rat.

 

Est-ce à dire que la patience devrait aussi accompagner l’usage que nous faisons du principe de précaution ?

 

On peut le penser, si nous n’oublions pas, avec Emanuel Levinas, que la patience a partie liée avec l’attente, une attente plus orientée vers un probable encore à préciser que vers des certitudes fébrilement désirées.

 

Non pas que nous puissions nous passer d’un but à atteindre, d’une mission à accomplir, mais la patience est là pour nous permettre de leur accorder la place, la valeur qu’ils méritent, d’introduire la part d’aléas et d’histoire propre à toute entreprise vraiment humaine.

Mais respectueuse de l’autre.

 

Qu’il sonne juste, le proverbe du Sahara qui explique :

 

« La patience est un arbre.

 

Amères sont ses racines, mais très doux ses fruits.

 

 Au bout de la patience, il y a le ciel. »

 

Le ciel n’est ouvert qu’à la condition que soient posées au préalable quelques qualités, quelques vertus.

 

La patience, aux racines amères et aux fruits doux, est l’une d’entre elles.

 

Le respect de ses collaborateurs est l’autre.

 

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23 avril 2008 3 23 /04 /avril /2008 05:49

 

PERSONNE

 

 





Derrière chaque salarié existe une personne.

 

Chaque personne est unique.

 

Quel que soit son niveau social, elle a en elle quelque chose d'inestimable, de magnifique, une parcelle de vérité unique qui aspire à croître et que le manager doit aider à découvrir.

 

Avoir la certitude que chaque homme est porteur de quelque chose - quelque chose à développer pour devenir ce qu’il est.

 

Si vous ne le faites pas, vous refusez en quelque sorte ce que la Providence a mis devant vous.

 

Réussir dans une entreprise, c’est savoir écouter l’autre dans ce qu’il est.

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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