21 octobre 2007 7 21 /10 /octobre /2007 12:58

OSER L'ÉCOUTE

 

 






Que demandent les personnes autour de nous ?

 

Avant tout d'être écoutés.

 

Or, paradoxalement, beaucoup parlent et peu écoutent. Et pourtant, chacun désire être écouté.

 

Tous, nous avons besoin pour exister, pour nous mettre debout, d'une oreille qui sache nous percevoir en vérité quand nous essayons de nous dire nous-mêmes.

 

Etre écouté permet de prendre conscience de soi en tant qu'être humain. C'est en fait la condition de base de la croissance psychique.

 

C'est le fondement de la confiance en soi et de la créativité.

 

Mais qu'est-ce qu'écouter ?

 

Rien de plus personnel, de plus mystérieux aussi, que ce pouvoir qui nous est donné de permettre à autrui de devenir lui-même en disant sa difficulté ou son aspiration, et de prendre ainsi conscience de sa propre valeur.

 

Personnel, parce que la véritable écoute – à l'inverse de cette attention distraite que nous prêtons aux flots des paroles que véhiculent les médias – est l'offrande d'une attention singulière à un être unique.

 

« Il sait écouter », disons-nous d'une personne qui possède cette heureuse capacité d'être « tout à vous », de s'abstraire de son travail ou de ses soucis le temps qu'il faut pour vous consacrer, parfois sur le champ, son attention bienveillante et exclusive.

 

C'est par cette ouverture, qui nous déloge de notre suffisance, qu'est rendue possible l'écoute de l'autre.

 

L'art de l'écoute suppose cette décentration de soi-même. Quel travail !!

 

Cela exige aussi un calme et une attention que ne viennent pas perturber ses propres réactions spontanées. Enervement intérieur, attitude réprobatrice, culpabilisante, ne sont pas de mise dans la première phase de l'écoute.

 

Ecouter la voix de quelqu'un, c'est davantage que d'entendre les mots de son discours. C'est se faire attentif à ce qu'il est en train de dire, ce qu'il vit d'unique.

 

Aussi l'écoute, fut-elle la plus familière, implique un travail intérieur de désencombrement et de disponibilité.

 

Elle suppose encore que l'on accepte d'être changé par l'autre, que l'on soit suffisamment en confiance pour consentir à être affecté par sa différence.

 

Deux choses essentielles empêchent d'écouter l'autre : le manque de disponibilité et le fait de ne pas trouver la bonne distance vis-à-vis de lui.

 

Le manque de disponibilité peut avoir diverses origines. Le manque de temps, d'abord, qui peut aussi bien relever d'un sentiment interne que de la réalité extérieure : on est envahi par tout ce que l'on a à faire, pris par un activisme, qui laisse peu de place à la réceptivité.

 

L'encombrement de soi-même, ensuite, le poids de ses propres soucis : on sait bien que, dans les moments difficiles, on est moins ouvert à l'autre. A un niveau plus inconscient, on peut craindre d'être ébranlé, dérangé dans son propre fonctionnement.

 

Ecouter quelqu'un, c'est en effet être confronté à la différence : c'est accepter d'entendre des choses hors de son système de référence habituel, en marge de sa zone de sécurité. Notre système d'auto-protection est donc en alerte et peut peser plus ou moins sur notre capacité d'écoute, la limiter.

 

La qualité d'écoute suppose un véritable travail sur soi-même.

 

Chacun devrait pouvoir s'interroger de temps en temps sur sa façon d'écouter et prendre plus ou moins conscience de sa subjectivité.

 

Reconnaître qu'on enferme l'autre dans une certaine image, c'est du même coup lui donner la possibilité de montrer plus facilement d'autres facettes de sa personnalité.

 

Mais il faut aussi préserver sa propre identité, tout en accueillant l'autre qui, par sa différence, permet de se renouveler.

 

C'est la difficulté, mais aussi toute la richesse de la communication.

 

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19 octobre 2007 5 19 /10 /octobre /2007 19:45

VIRTUEL

 

 






On écrit beaucoup, on se raconte beaucoup par mail, on parle de soi, on s'expose, on transfert volontiers, on arrose la terre entière et l'on prête finalement peu attention à l'autre, à celui qui reçoit, cantonné dans sa virtualité : ce moi exposé, aseptisé et rationalisé.

 

"Les gens ont fini par penser qu'il suffit d'avoir des échanges verbaux pour se connaître soi-même et se faire connaître d'autrui, constate la sociologue Eva Illouz (Sciences humaines, juillet 2007). Ils oublient une chose très importante en matière de relations humaines : leur dimension physique d'une part, et intuitive d'autre part. L'intuition est une faculté de sentir qui porte sur un savoir accumulé mais qui n'est pas formulé explicitement."

 

N'oublions pas que la vraie communication, c'est le regard et la parole.

 

Le reste n'est que virtuel.

 

Alors privilégions en premier la rencontre, puis le téléphone, enfin le mail.

 

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18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 19:11

BON GRAIN ET IVRAIE

 

 





Il y a, tout à la fois, dans le champ du monde, le « bon grain et l'ivraie ».

 

Face à cela, la sagesse nous dit d'attendre, de patienter, de ne rien arracher.

 

On comprend d'emblée l'appel en faveur de la miséricorde, de la tolérance, du respect de l'autre, y compris dans ses faiblesses.

 

Mais on peut aussi se demander à quoi cette attitude peut conduire.

 

Le laxisme ?

 

Évidemment, non !!!

 

Faut-il en effet pour autant se résigner à tout laisser faire, à tout laisser aller, à tout laisser proliférer ?

 

D'où une série de questions que nous aimerions bien éclairer : d'où vient, tout d'abord, cette ivraie et qu'est-elle donc ?

 

Pourquoi ne faudrait-il pas l'arracher ?

 

Quelle attitude observer, pour préserver la justice et l'équité ?

 

Rudes questions pour tout manager, lorsque surgit l'inacceptable.

 

La réponse est évidente : on ne peut l'accepter.

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17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 19:57

MOTIVATION

 

 

 






Vers la moitié du 20è siècle, Maslow, Herzberg et d'autres ont mis en évidence une hiérarchie des besoins, selon laquelle des besoins de plus en plus sophistiqués émergent dès lors que les besoins plus basiques sont satisfaits.

 

Ainsi, selon Maslow, une fois les besoins physiologiques – se nourrir, se loger – assurés par un salaire régulier et suffisant, venaient successivement les besoins de sécurité, de liens sociaux, puis d'estime de soi et enfin de développement.

 

Motiver durablement un collaborateur suppose donc d'être capable de suivre l'évolution de ses besoins.

 

Des recherches plus récentes ont montré que la motivation est un équilibre fragile qui repose non pas sur la satisfaction d'un élément essentiel, mais sur la satisfaction d'un ensemble de critère.

Elles ont mis en évidence, par exemple, trois registres d'attentes qui doivent chacun être remplis pour qu'un salarié puisse s'estimer réellement satisfait de son travail : l'équité, le sentiment d'accomplir quelque chose et la fraternité. 

 

 

L'équité c'est être traité de façon équitable sur les aspects importants de ses conditions de travail : besoins physiologiques (sécurité, confort), rémunération, stabilité professionnelle, évolution, respect, compréhension, écoute.

 

Le sentiment de réalisation c'est accomplir quelque chose de valorisant par son travail : relever un défi, acquérir de nouvelles compétences, développer sa performance, effectuer un travail perçu comme important, mériter une reconnaissance pas obligatoirement financière, éprouver de la fierté pour l'activité de son entreprise.

 

La fraternité  c'est développer des relations satisfaisantes avec son entourage professionnel, des relations chaleureuses voire amicales, des interactions enrichissantes, intéressantes, une atmosphère d'entraide et de coopération.

 

Ces facteurs qui conditionnent la motivation ne sont pas objectifs : c'est la façon dont chacun perçoit ce qu'il vit qui détermine sa motivation.

Confiez un nouveau projet à un collaborateur : certains y verront une marque d'estime et de confiance et leur motivation s'en trouvera renforcée ; d'autres percevront une charge supplémentaire non compensée par une augmentation de rémunération et leur motivation en sera diminuée.

 

La façon dont nous percevons notre environnement dépend aussi de notre humeur, du contexte, de l'influence de notre entourage. 

 

Croire que les salariés ont des besoins homogènes : rien de plus faux a fortiori dans des contextes de plus en plus diversifiés.  Différentes personnes peuvent être motivés ou non par des facteurs notablement différents.

 

C'est pourquoi il est important non seulement de conduire des discussions approfondies avec ses collaborateurs pour comprendre ce qui les motive réellement, mais aussi de les observer pour repérer leurs motivations inconscientes. 

 

N'oublions pas enfin que les collaborateurs que leurs supérieurs jugent peu performants voient leur performance décroître, alors que ceux que leurs supérieurs estiment plus performants que la moyenne ont tendance à faire les efforts nécessaires pour progresser encore.

 

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16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 19:18

RESPECT ... ENCORE

 

 

 





Les entreprises ont besoin de managers efficaces et la plupart d'entre elles déclarent mettre l'homme au cœur de leurs préoccupations.

 

Or, dans l'action et l'urgence, ce qui apparaît comme assez naturel et devant aller de soi peut passer au second plan.

 

Entre les déclarations d'intentions et les réalités, soyons attentifs à ne pas créer des écarts incompréhensibles.

 

L'expérience nous montre qu'il est possible de réduire cet écart en changeant de regard et de méthode.

 

Le moteur de ce changement, c'est le respect des personnes au travail considéré comme un impératif qui doit s'imposer concrètement à tous, tout comme l'impératif d'efficacité.

 

Attention, soyons encore plus attentif à nos collaborateurs !

 

La «  bottom line » en dépend !

 

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 19:12

UN MANAGER RECONNU

 

 






Dans les points importants de la reconnaissance du manager il y a :

 

-    la compétence : pour être reconnu, il faut être compétent dans son activité professionnelle ; passer du « cause toujours » au « il nous le dit, on y va ».

 

-   l'engagement personnel : il ne faut pas faillir.

 

-   l'autorité,  à ne pas confondre avec l'autoritarisme.

 

-   le parler vrai : pas de langue de bois.

 

-   la capacité à tenir ses engagements : le collaborateur sait que l'on tiendra ses engagements.

 

-   la pédagogie : en expliquant les situations, on peut amener le collaborateur à comprendre la situation.

 

-   le pari de l'intelligence : il y a très peu de choses qui doivent rester confidentielles. Donner une information factuelle, objective et vérifiable permet d'établir des relations de confiance.

 

-   l'acceptation des divergences en encourageant le dialogue : quand on tend la main et qu'on discute, ça a du sens.  On écoute d'abord, puis seulement après on décide.

 

-   la présence sur le terrain à l'écoute et au partage pour décider ensuite plus rapidement.

 

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14 octobre 2007 7 14 /10 /octobre /2007 19:09

L'ART DU MANAGEMENT

 

 

 




Dans l'entreprise, il faut concilier l'intérêt personnel de chacun et l'intérêt général de la société.

 

Cela d'autant plus que le bien commun de l'entreprise passe par sa prospérité et donc par le bon service au client qui.... n'est pas membre de l'entreprise.

 

S'il est vrai que l'intérêt de l'entreprise n'est pas la somme des intérêts particuliers de chacun de ses salariés, il n'en est pas moins vrai que l'art du management est de faire en sorte que, dans l'exercice de son activité professionnelle, l'intérêt personnel de chacun concorde avec celui de l'entreprise.  

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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 19:44

25 QUESTIONS POUR UN MANAGER

 

 







Sommes-nous animés par des valeurs essentielles qui inspirent nos choix personnels ?

 

Sommes-nous attentifs à la cohérence entre notre discours et nos actes ?

 

Regardons-nous chacun de nos collaborateurs comme un sujet en croissance ?

 

Les encourageons-nous à prendre conscience de leurs talents et à les développer ?

 

Faisons-nous volontiers confiance ?

 

Déléguons-nous le plus possible ?

 

Prenons-nous le temps de dialoguer ?

 

Notre échange d'informations est-il satisfaisant ?

 

Dans nos prises de décision, pratiquons-nous la concertation ?

 

Savons-nous valoriser les qualités de chacun ?

 

Les missions et responsabilités de chacun de nos collaborateurs sont-elles clairement définies ?

 

Savons-nous remettre en cause nos idées, nos pratiques, notre organisation ?

 

Encourageons-nous l'innovation ?

 

Accueillons-nous nos difficultés ou erreurs comme des opportunités pour apprendre ?

 

Savons-nous fêter nos réussites ?

 

Prenons-nous régulièrement un temps avec chacun de nos collaborateurs pour faire un point sur leur travail, leur évolution professionnelle, nos relations ?

 

Avons-nous une bonne qualité d'écoute ?

 

Savons-nous prendre du recul par rapport à notre quotidien ?

 

Encourageons-nous le travail en groupe où chacun est amené librement à faire des propositions ?

 

Invitons-nous chacun à remettre en cause des habitudes ou le poids du passé ?

 

Encourageons-nous chacune et chacun à parler vrai et à s'exprimer librement ?

 

Exprimons-nous à l'autre les qualités que nous apprécions chez lui ?

 

Savons-nous veiller à ce que son métier soit aussi un facteur d'épanouissement et de plaisir ?

 

Savons-nous poser des limites et affirmer notre autorité personnelle, savons nous dire non ?

 

Savons-nous prendre soin de notre équilibre personnel ?

 

Si nous répondons oui à toutes ces questions, la parole du Psalmiste s'applique : 

 

«  Que votre joie soit parfaite ! »

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9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 19:33

RETOUR SUR L'ÉTHIQUE

 

 

 






Qu'est-ce que l'éthique ?

On peut proposer de la définir comme un ensemble de valeurs et de comportements cohérents, au service d'une certaine vision de l'Homme.

 

Des valeurs et une vision partagée sont les fondements d'une bonne entreprise.

 

Les valeurs classiquement énoncées sont le respect, le service, la responsabilité, l'écoute, l'innovation. Elles sont la base d'un management dit éthique.

 

Arrivons-nous à les mettre en pratique ?

 

Le manager doit être un développeur de talents ; il donne sa chance à chacun. Il cherche à déléguer, à partager son pouvoir.

 

Cherchons-nous vraiment à mettre en pratique une telle vision de nos collaborateurs ? 

 

 

Dans un monde en perpétuel changement, la créativité permet de s'adapter en innovant. Cela peut s'exprimer dans des démarches créatives de mobilisation de l'intelligence collective. Elles supposent de remettre en cause l'ancien, reconnaître que le contexte a changé et que d'autres solutions sont à inventer.

 

Poussons nous effectivement à la créativité et à la remise en cause ?

 

Les conflits procèdent souvent d'un déficit de dialogue. Dans les équipes, lorsque les différends ne sont pas exprimés, les tensions s'accumulent, les «  non-dits » s'amoncellent....Un comportement éthique nous invite pourtant à la réconciliation et à la tolérance.

 

 Mettons nous effectivement cela en pratique ?

 

 

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8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 19:15

VALEURS DE RÉFÉRENCE

 

 

 






On peut observer les valeurs les plus revendiquées dans les rapports annuels de 600 entreprises françaises :

  

Respect et responsabilité sont les valeurs les plus citées.


L'écoute, la liberté et la fraternité sont en bonne place.

 

On retrouve souvent la confiance, l'espérance et l'enthousiasme, la solidarité et la proximité.

 

D'autres valeurs pointent comme l'humilité, nécessaire au service, à la concorde et à l'égalité, ou la compassion, attendue des managers, lors des difficultés individuelles ou collectives.

 

 

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Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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NEWMAN : VRAI GENTLEMAN
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NIETZSCHE : FINITUDE DE L’HOMME
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