6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 09:05

MANAGER JUSTE

 

 








Qu'est-ce qu'un manager juste ?

 

Il dit ce qu'il fait, il fait ce qu'il dit.

 

Il agit avec justice.

 

Il ne ferme pas les yeux mais veille à déceler les cas, à prévenir les occasions d'injustice.

 

Il cherche à être perspicace, impartial et rassembleur.

 

Il enquête, puis débat avec les intéressés avant de décider.

 

Il décide.

 

Pour atteindre la justice, il lui faut être à la fois réaliste, humain, humble, sage et courageux.

 

Il aura réussi, s'il convainc le personnel qu'il a agi pour le bien de l'entreprise, en restant humain avec les personnes.

 

Un manager juste prend conscience de cette interrogation :

 

Comment l'entreprise peut-elle satisfaire le désir de reconnaissance de son personnel qui est grand et s'élève de partout ?

 

Il prend conscience de l'importance pour l'homme de la reconnaissance et cherche comment en promouvoir l'expression en entreprise.

 

Répondre à l'attente de reconnaissance est un devoir de justice.

 

La reconnaissance contribue à la réussite de toute équipe dont le fonctionnement n'est pas fondé sur la crainte mais sur la confiance.

 

 

 

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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 19:23

VRAIS CHEFS 

 

 








Ce n'est pas la même chose d'avoir des chefs qui font confiance ou des chefs qui font peur.

 

Un manager humanisant est porteur de sens, éveilleur de libertés, responsable du climat et de la cohésion de son équipe.

 

Il choisit de convaincre au lieu de contraindre.

 

Il veille à ne pas sur-stresser ses collaborateurs.

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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 19:13

VRAIS PRINCIPES DE MANAGEMENT

 

 







Les valeurs fondamentales qui doivent unir les managers et leurs collaborateurs sont l'engagement professionnel, le respect des personnes, l'intégrité, la loyauté, la solidarité.

 

Elles doivent être complétées par quatre principes d'action qui doivent régir l'action de tous.

 

L'énoncé de chacun d'eux commence par le même mot respect, successivement : de la légalité, de l'environnement, de la santé et de la sécurité au travail, du droit des salariés.

 

Chaque fois qu'il oublie ces principes, un manager pervertit ce qui est l'une des plus belles professions du monde, parmi d'autres, qui ont pour raison l'attention à l'homme, à sa construction, à son devenir.

 

Savoir concilier la proximité et la distance, compatir à la peine de celui qui souffre, partager les moments de bonheur de celui auquel le  sort sourit, être ouvert à l'accueil de chacun.

 

« Etre tout à tous. »

 

Essayer du moins de mettre un peu d'humanité dans nos relations avec le plus grand nombre.

 

S'assurer que tous soient heureux, qu'ils puissent se développer.

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1 octobre 2007 1 01 /10 /octobre /2007 19:12

UN BON MANAGER

 

 




Le bon manager est celui qui maîtrise les jeux collectifs internes et qui les anime.

 

Ses talents sont fondés sur des comportements qui concourent à créer un climat de mobilisation des énergies, qui encouragent à entretenir le dialogue, l'animation, l'empathie, la transparence. 

 

C'est celui qui conduit, entraîne, motive, convainc, celui qui sait passer de la logique d'obéissance à celle de la responsabilité.

 

N'oublions jamais que les collaborateurs sentent parfaitement quelle est la nature profonde de l'homme qui les conduit, quel est son désir réel de communication, sa capacité d'écoute, sa disponibilité, sa franchise et son courage dans les situations critiques.

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29 août 2007 3 29 /08 /août /2007 17:20

DÉVELOPPER LE SERVICE DE LA PERSONNE

 

 






Un certain nombre de priorités sont à privilégier pour qui veut servir la personne dans l’Entreprise :

 

 

Favoriser l’accès au sens

 

 

La première priorité est de favoriser l’accès au sens. Souvent, il s’agira de permettre de répondre au sens en tant que causalité ou finalité : Pourquoi ? Pour quoi ? Pour qui ?

 

Le « pourquoi » en un seul mot permet aux personnes d’évaluer leur contribution.

 

Quel est le sens de la tâche que j’accomplis, la plus value que j’apporte ?

 

Le second, en deux mots, envisage le sens plus global de l’action, ses finalités ultimes.

 

« Pour qui » envisage la finalité et l’impacte humain de nos actions.

 

On remarque que bien souvent les activités des salariés ne sont pas contextualisées. Il leur est demandé d’accomplir une tâche, mais sans que le sens de cette tâche soit pris en compte ou simplement évoqué.

 

Resituer l’action dans un processus est porteur de sens et d’appropriation personnelle et collective du travail.

 

Par ailleurs, le sens se développe si la personne est respectée dans toutes ses dimensions et si chacune de ces dimensions peut se développer ou s’exprimer.

 

C’est la dimension du corps (soma). Elle est à prendre en compte dans la gestion du temps, dans celle de la fatigue, dans les rythmes, la sécurité au travail, l’hygiène..

 

Le sens advient par le respect d’une seconde zone de l’être, la dimension psychique (psyche).

 

Sans doute, l’entreprise n’a pas à être intrusive, ni à dépasser son domaine de légitimité. Elle peut intervenir dans un rôle de régulation au for externe, par exemple en sanctionnant  des comportements inadéquats, mais elle s’interdit d’agir sur le for interne des personnes, par exemple sur leurs choix de vie, leurs options politiques…

 

Le domaine psychique est important, car de son respect dépendra souvent la motivation des personnes ou le climat interne de l’entreprise.

 

Le sens passe enfin par le respect et la possibilité de développement intellectuel.

 

La capacité de nourrir son intelligence, de développer ses compétences est sans doute essentielle pour vivre du sens.

 

La formation, l’investissement de l’intelligence dans les tâches à accomplir contribuent à la dimension personnelle et personnalisante de l’action.

 

Les valeurs, l’intelligence du cœur sont une ouverture majeure qui éclaire, anime ou transfigure nos engagements et ceux d’autrui.

 

 

Favoriser les vraies relations

 

 

Les relations inter-personnelles ou d’équipes représentent une seconde priorité.

 

Il est légitime qu’une personne qui travaille puisse aspirer à être soi-même et à nourrir des relations vraies y compris dans son activité professionnelle.

 

Ceci suppose une culture d’entreprise qui favorise l’altérité, c'est-à-dire une identité forte de chacun des acteurs.

 

Réciprocité, écoute, décentrement de soi pour intégrer la position de l’autre, comprendre son cadre de référence contribuent fortement à créer cette culture qui développe à la fois la vie personnelle et la construction d’une intelligence collective.

 

 

Développer les talents

 

 

Un troisième axe du service la personne est de favoriser le développement à tous les niveaux.

 

On est parfois surpris que telle personne ayant des fonctions modestes en entreprise exerce par ailleurs de fortes responsabilités associatives.

 

Une des missions essentielles du management est de détecter les talents, mais plus encore de révéler aux collaborateurs leurs capacités et leurs richesses. C’est toute l’attitude de ce que les anglo-saxons nomment « l’empowerment ».

 

Plus que de l’encouragement, cette attitude consiste à aider le collaborateur à se mettre dans son énergie de vie et de développement.

 

C’est une invite basée sur la confiance dans la capacité de développement d’autrui.

 

Nos croyances sur autrui influencent beaucoup sur ses capacités de développement.

 

« Un autre regard fait d’autres hommes » dit un proverbe néerlandais.

 

Bien souvent, on constate dans les groupes humains des systèmes mortifères basés sur des économies de pénuries : ne pas trop montrer à autrui son estime, taire ses talents de peur qu’ils nous fassent de l’ombre.

 

D’autres voies sont à explorer basées sur une économie d’accroissement.

 

Il s’agit d’un renversement de paradigme où mon talent n’est pas fait pour moi, mais pour autrui et le talent d’autrui est fait pour moi.

 

La vie s’oriente donc vers la joie du don réciproque et libère toute l’énergie que nous mettions à nous protéger, à suspecter, en dynamisme de vie.

 

Il y a là un choix à faire, mais aussi une réflexion à mener sur ce qui permet ce changement de posture.

 

Il est clair que le changement d’optique est générateur de confiance et invite à l’audace des acteurs.

 

Un courant d’individualisation croissante fait que chacun nourrit de plus en plus en plus d’opinions personnelles et a envie d’être respecté.

 

 

Permettre l’engagement

 

 

Permettre le développement n’a de sens que si l’on permet l’engagement.

 

Les talents se développent si on les risque.

 

Le levier le plus puissant en ce domaine est l’exercice d’une vraie subsidiarité. Elle dépasse la simple délégation de pouvoir et consiste à donner le pouvoir à l’échelon le plus en prise avec le terrain.

 

Le manager doit pousser le pouvoir vers le bas et développer l’autorité. Le mot autorité étant à comprendre dans sa racine latine auctor : celui qui fait ou permet de grandir.

 

Vivre la confiance

 

 

Peut-on faire confiance à l’homme ?

 

Si la confiance est le fruit d’un vrai service de la personne, elle en est aussi la condition.

 

Le nerf de la motivation c’est la confiance.

 

Confiance exposée =  pari risqué.

 

L’alchimie de la confiance a une part irrationnelle, pourtant  certaines de ces composantes sont repérables : vérité, fidélité, respect d’autrui, accueil et estime de l’autre a priori, une part de sécurité…

 

 

Les obstacles de la confiance sont de même identifiables : l’excès de compétition, le soupçon, l’excès de défense ou de contrôle, les tons cassants, critiques, vexants…

 

Bien souvent, la clé de la confiance résidera dans une mutation du sens du pouvoir : passer d’un pouvoir de domination à un pouvoir de service.

 

 

Vivre la gratuité

 

 

Le mot gratuité n’est pas forcément le bienvenu dans le monde du tout quantifiable.

 

Cependant, l’homme est ouvert au gratuit.

 

Les cyniques penseront le contraire, mais il leur échappera sans doute le plus précieux de la vie.

 

La gratuité ne signifie pas un abandon des perspectives de rentabilité – une entreprise doit être rentable sinon elle disparaît -, elle affirme que la vie et les relations humaines ne se limitent pas au pur utilitarisme et à l’instrumentalisation d’autrui.

 

La gratuité est l’émergence de l’altérité.

 

Je reconnais l’autre comme Autre.

 

C’est la clé du management performant.

 

 

 

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28 août 2007 2 28 /08 /août /2007 19:16

VIE PROFESSIONNELLE ET VIE FAMILIALE

 

 

 




Le bien de la famille est un principe premier, qui s'impose non seulement à l'entreprise mais aussi aux membres du couple.

 

Concrètement il importe de permettre aux membres de la famille de mener une vie commune dans les meilleures conditions possibles. Ce qui implique, en premier lieu, qu'ils disposent de temps aux moments appropriés et, en second lieu, qu'ils ne soient pas excessivement absorbés par des soucis professionnels.

 

L'entreprise devrait prendre sa part de responsabilité dans la poursuite de cet objectif. Mais la réciproque est vraie : une insertion professionnelle active et réussie est bénéfique pour la famille et même pour les enfants, par le modèle qu'elle présente.


Ce qui précède signifie en pratique que :

 

- Les managers devraient se préoccuper du besoin d'harmonie entre ces deux pans de la vie qui interfèrent inévitablement l'un sur l'autre.

 

Non seulement les collaborateurs de l'entreprise ont une vie familiale et ils doivent donc pouvoir y consacrer du temps et des moyens, mais la réussite fondée sur un équilibre satisfaisant de la vie familiale est bonne pour l'entreprise.

 

La réponse à cette aspiration n'est pas une simple question de temps libre : il est certain qu'un collaborateur peut avoir des loisirs importants mais inadaptés à sa famille, et qu'au contraire on peut travailler beaucoup mais de façon qui ait du sens pour la famille, si on lui consacre les moments nécessaires.

 

 

- Il faut savoir reconnaître que les solutions légales ou réglementaires sont rarement le moyen principal d'action, car chaque cas est spécifique. Par exemple le travail de nuit peut convenir à certains ; de même les journées longues peuvent convenir à d'autres si, en compensation, ils peuvent dégager du temps, et en choisir les moments, pour leur famille.

 

-  L'entreprise qui prend une pleine conscience de l'étendue de ses responsabilités devrait introduire autant que possible dans ses " valeurs " ou sa " culture " le souci de la vie familiale, c'est à dire non des loisirs en soi, mais de tout ce qui est nécessaire pour que des personnes puissent réellement prendre en charge leur foyer et leurs enfants.

 

- De façon générale, la difficulté principale à surmonter est de ne pas mettre en opposition la préoccupation naturelle et vitale de l'entreprise, qui est de préserver ses intérêts, ses résultats qui conditionnent sa survie et le besoin de temps choisi à consacrer à la famille.

 

- Inversement, il n'est pas sain non plus pour l'entreprise que les collaborateurs s'enferment dans une logique rigide, d'avantages acquis et d'horaires rigides, selon le modèle d'après guerre. Les accords sociaux peuvent et doivent logiquement prévoir et encadrer la possibilité de "coups de collier" exceptionnels qui, à l'occasion, sont souvent nécessaires, et même moralement bénéfiques. C'est donc au cas pas cas qu'on peut se prononcer, dans le cadre d'un système de valeurs accepté.

 

- La vie professionnelle influe fortement sur l'équilibre des salariés ; l'équilibre psychosociologique des membres de la famille garantit la responsabilité de l'institution familiale. Lorsque surviennent des problèmes familiaux (ou personnels), l'entreprise a nécessairement intérêt à les prendre en considération et, au moins, à en faciliter la résolution, ne serait-ce qu'en raison de leur répercussion sur l'attitude au travail.


En résumé, la question la plus importante dans les entreprises est celle de l'état d'esprit, et de ce qu'on peut appeler la culture de l'entreprise.

 

Les managers ne devraient-ils pas œuvrer pour que, parmi les valeurs reconnues dans leur équipe, une place de choix soit réservée aux actions d'harmonisation de la vie professionnelle avec la vie familiale ?

 

 

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27 août 2007 1 27 /08 /août /2007 16:50

ÉQUILIBRE

 

 







" Plus on connaît ses collaborateurs et mieux ils travaillent " entend-on dire parfois.

 

Il faudrait en effet apprendre à mieux détecter les talents et à les faire fructifier, pour le bien des salariés comme de leurs entreprises.


Plus largement, un employeur responsable devrait privilégier le développement de ses salariés dans leurs dimensions professionnelles et personnelles, accroître leur capacité de prendre des responsabilités et de devenir vecteurs de progrès et non pas seulement exécutants.

 

Une entreprise qui sait respecter ses salariés, qui leur permet d'effectuer leur travail dans des horaires normaux et légaux, une entreprise qui aide ses salariés à donner le meilleur d'eux-mêmes est une entreprise qui "marche".

 

D'un autre côté et bien entendu, l'entreprise n'a pas à devenir une famille, de façon paternaliste comme on pouvait le rencontrer autrefois, ou encore, "à la japonaise" de façon plus contemporaine.

 

L'entreprise viendrait en effet alors à se substituer ou du moins à concurrencer directement la vie familiale, ce qu'elle n'a nullement à faire.


Sur la question centrale de la durée du temps de travail, enfin, un manager devrait éviter d'inciter ses cadres à rester trop tard à leur poste de travail ou à faire déborder largement leurs horaires de travail sur le temps dont ils ont besoin pour mener leur vie de famille, leur vie personnelle et leur vie en société.

 

Au sein de nos sociétés occidentales, cette pratique se rencontre malheureusement beaucoup trop en France ; c'est même en quelque sorte un "mal français", particulièrement préjudiciable au temps qu'un salarié consacre à sa famille.


Pourtant, l'Entreprise ne devrait pas être lésée en aidant cadres et employés à mieux maîtriser leur temps de travail, car la productivité et l'efficacité d'ensemble devraient en profiter.

 

C'est dans la famille que se construisent les repères pour la vie en société.

 

Et, il est important que l'entreprise soit considérée comme lieu de complémentarité par rapport à la vie privée et plus particulièrement par rapport à la famille.

 

Or la déstructuration actuelle de la liaison sociale risque d'aboutir à la déstructuration des hommes et des femmes eux-mêmes, dans le contexte individualiste qui se développe jusqu'au cœur même des entreprises.

 

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16 juin 2007 6 16 /06 /juin /2007 14:43

SIGNES DE RECONNAISSANCE







La reconnaissance ne fait pas l'objet d'un droit reconnu mais n'est pas un luxe optionnel.


Elle est au contraire un besoin vital.


Déjà le nourrisson qui ne reçoit pas de signes de reconnaissance ne se développe pas.


Les signes de reconnaissance peuvent être positifs (un merci, des félicitations, une prime) ou absents.


L'absence de reconnaissance, surtout répétée, peut avoir des conséquences graves (violence, révolte).


Mieux vaut un signe conditionnel négatif qu'absent.


Nous devons tous apprendre à donner, recevoir, nous donner des signes de reconnaissance.


Alors que l'autorité s'exerce légitimement au service de la réussite d'un projet commun, de nombreux managers, confondant autorité et autoritarisme, s'en tiennent à des signes négatifs de reconnaissance, des critiques ou des sanctions.


La réussite d'un signe de reconnaissance se mesure à la qualité de la relation établie.


La reconnaissance établit un lien de paix entre deux personnes.


« Elle est un bonheur partagé. » (André Comte Sponville)


Les collaborateurs espèrent moins de l'argent qu'un mot de félicitations ou de gratitude.


L'absence de reconnaissance produit des sentiments négatifs comme la frustration ou la colère, ce qui entraîne à terme la mort de la relation, des conflits et des violences.


La reconnaissance, elle, suscite l'initiative, la responsabilité, la fidélité.


L'aptitude d'un manager à exprimer de la reconnaissance repose sur la capacité de considération, l'empathie, le désir de justice, la générosité.


Voici des formes concrètes de signes de reconnaissance, inspirés des résultats d'une enquête sur les attentes des salariés, classées par importance décroissante :


  . Participer au management (stratégie, objectifs, représentation de l'entreprise...),

 

. Recevoir des marques de considération (mission de confiance, réunions, signature, photos, articles, déjeuners avec le Directeur....),

 

. Obtenir des promotions et formations,

 

. Voir sa vie facilitée hors de l'entreprise,

 

. Recevoir de l'argent (en dernière position !).

 

L'entretien individuel annuel, considéré comme un acte fort de management et non comme un acte administratif, peut être vécu comme un un moment de considération personnelle. Il comporte l'examen des résultats obtenus, de la réalisation des objectifs passés, l'établissement en commun des nouveaux objectifs, le projet de vie professionnelle et les demandes de formation.


L'entretien réussi commence face à face, finit côte à côte et améliore, s'il est bien conduit, puissamment les relations hiérarchiques.


La reconnaissance de l'autre, de son être, de son agir peut apparaître comme une condition nécessaire pour que chacun grandisse et trouve sa juste place au sein de l'équipe.


La reconnaissance est constitutive de l'identité : ne coïncidant pas toujours avec lui-même, l'homme en a toujours besoin.


Elle apporte joie, bien être, confiance en soi permet d'assurer le service demandé avec plus d'aisance, plus de sérénité.


Elle est porteuse de vie, une raison pour laquelle il est un devoir de l'accorder.


Managers, quel que soit votre niveau dans la hiérarchie, donnez de la considération !!


 

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21 mai 2007 1 21 /05 /mai /2007 19:09

COMPORTEMENTS INACCEPTABLES






Dans une entreprise, les comportements suivants sont inacceptables :


Pourquoi partager mes informations avec les autres ; ils n'en ont pas besoin et je suis plus fort lorsque je suis le seul à savoir !


Même si je n'ai pas manifesté mon désaccord lors d'une réunion, je ne suis pas obligé d'accepter la décision adoptée par le groupe !


La coordination et le travail en équipe ne sont qu'une perte de temps. Je suis bien plus efficace en faisant les choses moi-même !


Ce n'est pas grave d'arriver en retard à une réunion (je suis tellement occupé, une urgence...), d'y arriver sans s'être préparé (je n'ai pas eu le temps...) et de continuer à répondre aux appels téléphoniques (les affaires n'attendent pas..).


Mes collaborateurs directs ne peuvent pas me remettre en question ; ils n'ont qu'à exécuter mes décisions !


Plus j'ai de monde sous mes ordres, plus je suis important !


Je suis un personnage important car je n'ai aucun moment de libre dans les deux mois qui viennent !


En tant que manager, je n'ai pas à m'occuper des personnes peu performantes ; ce sont les RH qui en sont responsables !

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19 mai 2007 6 19 /05 /mai /2007 19:55

EXIGENCES DE LA VIE D'ÉQUIPE


 




« 
Ayez de la considération pour ceux


. qui se donnent de la peine au milieu de vous,


. qui sont à votre tête et qui vous reprennent.

 

 

Estimez les en raison de leur travail.


Soyez en paix entre vous.


Reprenez les désordonnés, encouragez les craintifs, soutenez les faibles, ayez de la patience envers tous.


Veillez à ce que personne ne rende le mal pour le mal, mais poursuivez toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous.


Faites encore des progrès en mettant votre honneur à vivre calmes, à vous occuper chacun de vos affaires, à travailler de vos mains.


Restez toujours joyeux.


Ainsi vous mènerez une vie honorable et vous ne dépendrez de personne.  »


(Paul aux Thessaloniciens)

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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NEWMAN : NÉANT DE CE MONDE
NEWMAN : VRAI GENTLEMAN
NIETZSCHE : APPRÉCIATION
NIETZSCHE : AVENIR
NIETZSCHE : CERTITUDE
NIETZSCHE : CRUAUTÉ
NIETZSCHE : ÉLOGE DU SILENCE
NIETZSCHE : FINITUDE DE L’HOMME
NIETZSCHE : MÉPRIS DE SOI
NIETZSCHE : MONDE DÉSTRUCTURÉ
NIETZSCHE : TRISTE SOCIÉTÉ
NIETZSCHE : VÉRITÉ
NIETZSCHE ET TEILHARD DE CHARDIN
NORBERT SEGARD
NORBERT SEGARD : BONHEUR
NORBERT SEGARD : UN MODÈLE
PASCAL : DIVERTISSEMENT
PASCAL : MOI
PASCAL : MORT
PASCAL : PARAÎTRE
PASCAL : PUISSANCE
PASCAL : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
PAUL CLAUDEL : VRAI ET RIEN
PAUL RICOEUR : ACTION
PAUL RICOEUR : ÉTHIQUE
PAUL RICOEUR : L’AUTRE
PAUL RICOEUR : MAL ET BONTÉ
PAUL RICOEUR : PARDON
PAUL RICOEUR : VALEUR DE L’HOMME
PAUL TILLICH : ANGOISSE
PAUL VALADIER : HOMME, ANIMAL MALADE
PÉGUY, BERNANOS, CLAUDEL : ARGENT 
PIERRE CLAVERIE
PIERRE CLAVERIE : L’AUTRE
PIERRE, PAUL ET JEAN
PLATON : AUTORITÉ
RABELAIS : DÉSESPOIR
RENÉ GIRARD : DÉSIR MIMÉTIQUE
RENÉ GIRARD : HOMME MAÎTRE DU MONDE
RENÉ GIRARD : OPTIMISME
RENÉ GIRARD : ORIGINE DES CONFLITS
RENÉ GIRARD : RIVALITÉ MIMÉTIQUE
RENÉ GIRARD : TERRORISME
RENÉ GIRARD : URGENCE
ROMAIN ROLLAND : BATAILLE DE L’HOMME
ROUSSEAU ET AUGUSTIN
SAINT EXUPERY : SILENCE
SAINT-EXUPERY : BUT COMMUN
SAINT-EXUPERY : CATHÉDRALE
SAINT-EXUPERY : CITATIONS POUR MANAGER
SAINT-EXUPERY : DÉSERT
SAINT-EXUPERY : HAINE
SAINT-EXUPERY : HUMILITÉ
SAINT-EXUPERY : HUMILITÉ
SAINT-EXUPERY : JUSTICE
SAINT-EXUPERY : L’ART DES PETITS PAS
SAINT-EXUPERY : L’ESSENTIEL OUBLIÉ
SAINT-EXUPERY : LE PETIT PRINCE
SAINT-EXUPERY : LE TEMPS
SAINT-EXUPÉRY : MOZART ASSASSINÉ
SAINT-EXUPERY : PAROLE DE SAGE POUR UN MANAGER
SAINT-EXUPERY : QUALITÉ DE LA CIVILISATION
SAINT-EXUPERY : RACINES
SAINT-EXUPERY : RESPONSABLE
SAINT-EXUPERY : STABILITÉ
SAINT-EXUPERY : TOURNÉ VERS SOI
SAINT-EXUPERY : VANITÉ DE L’HOMME
SAINT-EXUPERY : VOYAGE
SARTRE : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?
SERGE DASSAULT : GESTION PARTICIPATIVE
SPINOZA : JUSTICE
TEILHARD DE CHARDIN : APPARITION DE L’HOMME
TEILHARD DE CHARDIN : AVENIR
TEILHARD DE CHARDIN : DÉFI A LA PENSÉE
TEILHARD DE CHARDIN : DÉSORDRE
TEILHARD DE CHARDIN : EFFORT
TEILHARD DE CHARDIN : LE MONDE SE CONSTRUIT
TEILHARD DE CHARDIN : MANTEAU D’HUMANITÉ
TEILHARD DE CHARDIN : MONDE STUPIDE
TEILHARD DE CHARDIN : OEUVRE
TEILHARD DE CHARDIN : PAIX
TEILHARD DE CHARDIN : PRENDRE DE LA HAUTEUR
TEILHARD DE CHARDIN : RÉFLEXIONS SUR LA CRISE
TEILHARD DE CHARDIN : RÉUSSITE
TEILHARD DE CHARDIN : SOUFFRANCE
TEILHARD DE CHARDIN : VALEUR ABSOLUE
TEILHARD DE CHARDIN : VIE FONTALE
TEILHARD DE CHARDIN : VISION DU MONDE
TEILHARD DE CHARDIN : VIVE LA VIE !
TEILHARD DE CHARDIN : VOLONTÉ DE VIVRE
THEODORE MONOD
THÉODORE MONOD : LE PROPRE DE L’HUMAIN
THEODORT MONOD : DÉSERT 
THOMAS D’AQUIN
THOMAS D’AQUIN : ÉQUITÉ
THOMAS HOBBES : RIRE
THOMAS JEFFERSON : UN VISIONNAIRE !
THOMAS MANN : BONHEUR
TOCQUEVILLE : RELATIVISME
TOLSTOÏ : FORMER SA RAISON
VOLTAIRE : CUPIDITÉ ET ORGUEIL
YVES CONGAR : ESPRIT POSSESSIF