8 mars 2008 6 08 /03 /mars /2008 20:34

divers2.gifCOURSE

 

 





 

 

Dans note société « performante », le tempo obligé semble désormais être la course.

 

Voici l’essoufflement élevé au rang de valeur !

 

Tout le monde court, doit courir, devrait courir. 

 

Il nous faut des agendas qui débordent, des boites mail qui croulent.

 

Voici que l’hyperactivité compulsive est devenue gage d’efficacité et de compétence.

 

La course de nos vies modernes nous contraint souvent à vivre à la surface de nous-mêmes, toujours entre deux réunions, deux entretiens…

 

Il nous faut d’urgence cultiver l’art de l’arrêt, de la réflexion, de la méditation qui laissera enfin à l’Eternité le temps d’attraper le rythme de notre humanité essouflée.

 

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7 mars 2008 5 07 /03 /mars /2008 20:13

divers1.gifPERFORMANCE

 

 





Depuis toujours, la performance est inhérente à la condition humaine : l’homme a été très performant ne serait-ce que pour lutter contre les prédateurs, se chauffer, s’alimenter etc.

 

Ce n’est donc pas quelque chose de tout à fait nouveau

 

On parle de «performance» partout, dans le sport par exemple (ou de contreperformance…) ou en politique (nos ministres ont maintenant des feuilles de route et sont évalués de façon annuelle).

 

On pourrait définir la performance comme l’imagination, la créativité, le dépassement de soi qui permet d’aller de l’avant et de progresser.

 

 

1.La performance de l’Entreprise : Cinq points essentiels


 

 

 

La première obsession de tout dirigeant est la pérennité de l’entreprise et pour être pérenne il faut être, en priorité, performant. Si une société meurt, c’est mauvais pour ses actionnaires, ses clients et ses salariés. On peut ou non l’aimer, mais la performance est une nécessité absolue pour toute entreprise.

 

2. La performance est globale

 

Dans l’entreprise, il y a trois partenaires: les actionnaires, les clients et les salariés.

 

Sans clients, une société ne peut pas vivre ; sans actionnaires et sans collaborateurs travaillant au jour le jour, elle n’existe pas.

 

La performance ne peut donc qu’être globale puisque, si elle ne vise qu’un seul groupe (uniquement les actionnaires ou les salariés ou les clients), les autres intervenants ne se reconnaîtront pas dans l’entreprise et celle-ci ne pourra pas être performante sur le long terme.

 

En toute logique, sur le long terme, les intérêts des actionnaires, des salariés et des clients sont souvent les mêmes.

 

Sur le court terme, ce n’est pas toujours le cas: une entreprise peut avoir tendance, afin de privilégier ses résultats, à moins investir en R&D. Or, si on innove moins, il n’est pas possible d’offrir aux clients les produits innovants qui sont à la base de toute création de valeur.

 

Si on privilégie les actionnaires au détriment des salariés, l’harmonie sociale sera perturbée ce qui peut mettre l’entreprise en danger.

 

Tout l’enjeu est en fait de trouver et maintenir un bon équilibre entre les 3 partenaires.

 

 

3. La performance est avant tout collective

 

La performance d’une entreprise c’est évidemment la performance des salariés, mais c’est, avant tout, une performance collective : ce n’est pas parce que l’on détient les meilleurs managers, les meilleurs innovateurs ou les meilleurs vendeurs que l’on a la meilleure entreprise. Si les différents partenaires ne se parlent pas, s’ils n’arrivent pas à travailler ensemble, l’entreprise ne pourra pas se développer de la bonne façon.

 

Dans un sport collectif (par exemple, le rugby ou le foot), c’est la même chose.

 

La force d’une entreprise réside dans l’équilibre et l’harmonie entre les différentes personnes.

 

Cela ne signifie pas que la performance individuelle n’est pas importante : elle est tout à fait nécessaire parce qu’il faut des gens pour tirer les autres vers le haut.

 

Cette performance individuelle n’est pas technique. Bien sûr, il est souhaitable d’avoir les meilleurs du marketing, de la finance ou des ressources humaines, mais cela ne suffit pas : une entreprise a besoin de gens avec de la vision et qui sauront être bons en relations humaines afin de pouvoir diriger, écouter, animer, motiver…Car, in fine, c’est de cela dont il s’agit.

 

Il est d’ailleurs amusant de remarquer que les managers extrêmement performants choisissent toujours des gens plus forts qu’eux dans leur propre domaine. Les managers moins performants ont tendance à travailler avec des collaborateurs moins bons qu’eux parce qu’ils ont un peu peur.

 

Pour très bien marcher, une entreprise doit détenir dans ses rangs de très bons collaborateurs avec une réelle motivation pour diriger et motiver les autres.

 

4. La performance, une notion très relative

 

Une société qui a le meilleur retour sur capitaux propres ou la meilleure marge opérationnelle n’est pas forcément la meilleure. Des secteurs sont plus porteurs que d’autres et à certains moments et pas à d’autres. Cette notion est donc toute relative.

 

5. La performance s’apprécie sur le long terme

 

La performance d’une entreprise n’est pas une succession de coups, c’est plutôt la construction d’une réussite sur la durée.

 

L’entreprise ne vit pas dans une bulle, elle vit au milieu d’un environnement qui peut changer. Depuis plusieurs années, la mondialisation existe, les devises ont évolué de façon très forte.

 

L’entreprise ne peut pas s’abstraire de l’environnement et elle est percutée de plein fouet par de bonnes ou de mauvaises nouvelles. Dans un environnement difficile, ce n’est plus tellement le résultat lui-même qui compte mais plutôt la réactivité et la capacité de l’entreprise à trouver des solutions sur le long terme.

 

Donc, les deux points les plus importants d’une performance complète : elle doit être collective et sur le long terme.

 

 

Comment maximiser la performance?

 

Dans une entreprise les trois grands interlocuteurs sont les actionnaires (si l’actionnariat est stable, c’est plus facile de gérer), les clients (l’innovation leur apporte une ressource) et les salariés (qui tous les jours font l’avenir de l’entreprise). Mais comment maximiser la performance de l’entreprise avec les salariés ?

 

Il est impossible de réussir sans l’appui des salariés

 

Si la recherche de performance est innée chez l’homme la maximisation de la performance de l’entreprise se résume à savoir comment s’assurer d’une parfaite cohérence entre la performance de l’entreprise et ce que recherchent les collaborateurs ?

 

Comment faire pour assurer le maximum de cohérence entre l’amélioration de la performance de l’entreprise et l’intérêt des salariés, sachant que l’entreprise rentre dans des moments difficiles avec, notamment, la mondialisation et l’évolution dans le mauvais sens des taux de change ?

 

Il faut partir de cette idée toute simple que les salariés ont, principalement, un besoin de justice et de reconnaissance, pas uniquement salariale.

 

Il faut trouver un processus juste visant à essayer d’améliorer ou d’assurer la cohérence entre la recherche des individus et la recherche de l’entreprise basé sur la pratique de bons comportements comme :

 

• renforcer le climat de confiance des salariés (ceux-ci ne travaillent bien que s’il y a un climat de confiance) ;

 

• libérer la créativité : l’innovation n’est pas le propre de 4 ou 5 chercheurs dans des bureaux d’étude. Tout le monde peut avoir de bonnes idées ;

 

• favoriser le partage d’idées : les gens ont très envie de partager, mais, très souvent ils n’en n’ont pas l’occasion. Pour que les personnes se réalisent et se développent, il est nécessaire qu’ils puissent partager et il faut organiser ce partage d’idées ;

 

• donner envie d’entreprendre: dans toute personne humaine existe un entrepreneur qu’il faut pousser ;

 

• être professionnel, bien sûr.

 

Si une entreprise est capable de réaliser tout cela, elle améliore non seulement sa performance globale, mais aussi la performance individuelle car elle apporte à ses salariés ce qu’ils recherchent.

 

Pour que ces comportements soient vertueux, il est nécessaire qu’ils soient en cohérence avec les valeurs de l’Entreprise : vouloir toujours entreprendre et innover avec professionnalisme et dans un esprit d’équipe et de solidarité.

 

Ce processus de prise de décision doit permettre l’amélioration conjointe des personnes et de l’entreprise. Il repose sur 6 étapes.

 

1 Engager

 

Lorsqu’on élabore un projet, il faut d’abord «engager», «impliquer» les preneurs de décisions, ce qui suppose les écouter et partager avec eux. Si le projet leur est présenté dans son état final, pour application immédiate, certes ils pourront l’exécuter, mais ils ne créeront pas de valeur par eux-mêmes.

 

2. Explorer et donc encourager la créativité

 

Laisser les collaborateurs réfléchir, s’exprimer, avoir des idées, confronter leurs idées, ainsi ils se sentiront libérés.

 

3. Décider

 

Dans l’intérêt du groupe, la prise de décision par une personne est absolument nécessaire, mais le plus important est d’expliquer la décision, de fixer le cap, les objectifs et les règles du jeu.

 

4. Agir

 

Il faut croire à la vertu de l’exemple. Les managers doivent donc agir par eux-mêmes et développer le plaisir du travail : quitte à passer 10 heures par jour dans un bureau ou dans une usine, autant s’amuser plutôt que s’ennuyer.

 

Cela  paraît très important et cela change la façon de voir l’entreprise.

 

5. Favoriser la prise de risques

 

Il n’existe pas de réussite sans prise de risques et, parfois, sans échecs. Il faut savoir laisser prendre des décisions même si on les estime mauvaises et pouvant aboutir à des situations pas tout à fait idéales. Ce n’est pas toujours simple…Mais, si l’on souhaite des salariés actifs, il faut qu’ils prennent des risques et donc fassent des erreurs.

 

6. Évaluer la performance

 

Il s’agit de savoir féliciter et fêter les succès, mais aussi de reconnaître les échecs c’est-à-dire le droit à l’erreur. Celui qui ne se trompe jamais n’a pas pris beaucoup de décisions, en tous cas c’est suspect. Il faut se méfier des gens qui ne font jamais d’erreur.

 

Les objectifs économiques mais également qualitatifs doivent faire partie intégrante des processus d’évaluation.

 

Parmi les aspects qualitatifs, l’un d’entre eux est la capacité, ou la façon, dont les managers (tous ceux qui ont une responsabilité sur des hommes) appliquent ces principes clés.

 

 

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5 mars 2008 3 05 /03 /mars /2008 22:14

undefinedRICHESSE HUMAINE

 

 

 



Je n’apprécie pas trop le terme de «Ressources Humaines» : l’homme a des ressources et il faut qu’il arrive à les développer; mais je ne crois pas que l’homme soit une ressource.

 

En revanche, il est une richesse, incontestablement; et dire que la richesse de l’homme est une richesse pour l’entreprise me convient tout à fait.

 

Avec ces habitudes sémantiques, on en arrive, sans le vouloir, à remettre en cause la magnificence que représente l’être humain en soi.

 

Alors parlons plutôt de richesse humaine.

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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 20:20

undefinedFORCES CONTRAIRES

 





Quelles sont les forces auxquelles nous sommes confrontés ?


Ce sont soit les libertaires, tenants d'une idéologie permissive, qui approuvent toute forme de soi-disant "progrès" - procréation médicalement assistée, divorce toujours plus facile, clonage…


Soit les nihilistes qui nous annoncent que demain sera pire qu'aujourd'hui, que le monde court à sa perte, que nos océans sont pollués, que nous respirons un air irrespirable, que nous mangeons une nourriture contaminée.


Mollesse d'un côté, horreur de l'autre.


On peut comprendre la tentation de certains de se raidir, de se replier sur leurs convictions - quelques valeurs fortes, en premier lieu l'honnêteté, la famille, la relation homme-femme, le bien commun, l'Europe, la solidarité -, qu'ils affirment et défendent en bravant les caricatures et la dérision.


Il est vrai que la raison moderne est tentée par le nihilisme, que la science se fait parfois arrogante, que la mentalité contemporaine est libertaire ou nihiliste, mais n'est-ce pas un argument supplémentaire pour fortifier notre formation intellectuelle ?


Et s'il faut revaloriser la recherche de la vérité, encore faut-il le faire en en respectant la transcendance et le mystère.

Non de manière arrogante et dogmatique.

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3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 20:10

BLESSÉSundefined

 







Les êtres blessés se reconnaissent à leur déprime ou à leur agressivité.


Ils portent sur eux-mêmes et sur leur vie un regard négatif.


Parfois ils attaquent ceux qu’ils pourront agresser sans trop de risques.


L’être blessé a besoin d’empoisonner la vie de quelques autres.


La pire calamité qui ronge les rapports humains, brise les équipes, suscite les conflits, c’est ceux qui se comportent en dénicheurs de coupables.

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3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 07:06

undefinedVIDE

 






Privé d’espérance, l’homme contemporain est privé de sens.


Il n’a ni repères, ni boussole, ni signification, ni orientation.


Il va ici ou là au gré des appels de ses instincts ou de ses frustrations.


Il ne comprend rien à ses désespoirs.


Pour se distraire du vide, certains de nos contemporains consomment de trois à cinq heures de télévision quotidiennes.


La médiocrité de certaines emissions est à faire pleurer.


L’homme semble éprouver du plaisir à s’abrutir.


C’est un lent suicide de l’âme.


Comment réagira-t-il à la moindre difficulté dans la vie professionnelle ?

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2 mars 2008 7 02 /03 /mars /2008 16:36

undefinedTRISTESSE

 






«  Ne te laisse pas aller à la tristesse,


Ne t’abandonne pas aux idées noires.


La joie du cœur, voilà ce qui rend vivant.


La gaieté, voilà qui prolonge ses jours.


Trompe tes soucis, console ton cœur,


Chasse la tristesse ; elle en a perdu beaucoup.


Elle n’apporte aucun profit. »

 

(Ben Sirac le Sage 30,14)

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2 mars 2008 7 02 /03 /mars /2008 16:32

undefinedPAROLE DE SAGE

 






« Liés à nos frères par un but commun et qui se situe en dehors de nous, alors seulement nous respirons.

 
Il n’est de camarades que s’ils sunissent dans la même cordée, vers le même sommet. »

 

(Antoine de Saint Exupéry dans « Terre des Hommes »)

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2 mars 2008 7 02 /03 /mars /2008 07:56

undefinedDIRIGER

 

 

 


 

 

Diriger, c’est un service d’écoute de chacun pour le bien de tous.  

 

 

Diriger, c’est faire épanouir les charismes de chacun dans une cohésion commune.

 

Diriger, c’est trouver un équilibre, certes instable, entre le bien personnel et le bien commun.

 

Diriger, c’est être devant pour monter le cap et derrière pour aider à avancer.

 

Diriger, c’est réaliser un heureux mariage entre bienveillance et exigence.

 

Diriger, c’est accepter de renoncer à son intérêt personnel. Cela comporte une part de frustration. Ce n’est jamais exactement ce qu’on veut qui va se réaliser.

 

Diriger, c’est servir l’autre et non se servir de l’autre. La plénitude de notre humanité se réalise lorsqu’on ne se sert pas de sa fonction pour soi-même mais pour les autres.

 

Diriger, c’est être serviteur.

 

 

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1 mars 2008 6 01 /03 /mars /2008 13:27

undefinedPRINCIPES FONDAMENTAUX DE MANAGEMENT

 

 

 


.
T
oute personne a une égale dignité, quels que soient son origine, sa place dans la société, mais aussi les actes ou les erreurs qu’elle a pu commettre.

 

. Le progrès social et la performance économique sont complémentaires et interagissent l’un sur l’autre pour aller vers le moyen et le long terme. Ce sont comme les deux jambes qui permettent d’avancer. Toute personne qui est « bien dans sa peau » peut devenir plus performante et cela a un impact aussi au-delà de son travail.  


. Il faut s’efforcer de porter une égale attention à toute personne quel que soit son statut.

 

. Il faut donner la priorité aux plus fragiles.

 

. Il faut faire attention à porter un jugement sur les actes, les résultats, mais non sur les personnes.

 

. Il faut croire à la possibilité de chacun de changer, sans s’enfermer dans un personnage.

 

. Il faut appliquer le principe de subsidiarité, qui consiste à faire prendre les décisions au plus bas niveau compétent.

 

 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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