15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 110ÉCHAPPER AU MAL

 

 

 

 

 

 

 

Le mal est-il dans la nature de l’homme ?

 

La tradition rappelle deux principes qu’il ne faut pas dissocier.

 

D’une part, tout homme est responsable de ses actes et personne ne peut être totalement considéré comme irresponsable à moins d’être déshumanisé.

 

Considérer quelqu’un comme irresponsable, c’est le mettre à l’écart de l’ordre humain, même s’il existe des cas pathologiques dans lesquels la responsabilité pénale est largement atténuée.

 

D’autre part, l’homme peut aussi être considéré comme victime de son appartenance à l’humanité.

 

Il est l’héritier d’un monde marqué par la violence.

 

Par nature, de part sa création, l’homme est bon.

 

Mais la condition humaine est marquée par le mal et aucun individu ne peut y échapper.

 

L’essence de l’homme est bonne, le mal vient se surajouter.

 

L’appartenance à l’humanité le condamne à commettre le mal.

 

C’est la liberté de l’homme de commettre certains actes.

 

En retour, cette liberté est la preuve qu’il n’y a pas de fatalité au mal : aucune situation n’est irrémédiable.

 

Dès lors, sans verser dans un optimisme naïf, il n’y a pas lieu de désespérer de l’homme.

 

De nombreux récits, notamment de survivants ayant résisté au pire, prouvent que la force de vie peut toujours surgir.

 

Cette capacité à échapper au mal est de nature à soutenir l’espérance.

 

Voir également :

 

MAL

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 108HANS JONAS : RESPONSABILITÉ ET ESPÉRANCE

 

 

 

 

 

 

 

 

« Être conscient de la part d’ombre, comme précisément nous le devenons maintenant, se tourne paradoxalement en un regard lumineux d’espoir : il ne laisse pas se taire la voix de la responsabilité.

 

Cette lumière-là ne luit pas comme celle de l’utopie, mais sa mise en garde éclaire notre chemin, conjointement avec la croyance en la liberté et en la raison.

 

Ainsi le principe responsabilité rencontre tout de même à la fin le principe espérance – non plus le débordant espoir d’un paradis terrestre, mais celui, plus modeste, que le monde continuera d’être habitable et que notre espèce poursuivra une vie digne de l’homme sur l’héritage qui lui est confié, certes point misérable mais néanmoins limité.

 

C’est sur cette carte que je voudrais miser. »

 

(Hans Jonas, Technique, liberté et devoir)

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 107ESSENTIEL DE LA VIE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’essentiel de la vie, à savoir les sentiments, les valeurs, les espoirs, l'intériorité, n’est pas objet de la science.

 

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11 mars 2012 7 11 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 106DÉSENCHANTEMENT DU MONDE ET VIOLENCE

 

 

 

 

 

 

 

Nous vivons dans un monde où les possibilités d’action de l’homme sont en augmentation constante, avec des répercussions de plus en plus vastes.

 

La philosophie des Lumières a représenté un moment historique où la société s’est rendu compte que le monde changeait, que les gens étaient plus libres et que la désacralisation du monde offrait à l’homme une plus grande possibilité d’action.

 

Mais on a alors vu s’instaurer la croyance erronée selon laquelle ce phénomène était le produit exclusif de l’action des hommes, de leur génie individuel, ou du génie de l’être humain en général.

 

Dans un même temps cependant, la conscience de la responsabilité humaine envers le monde n’a pas augmenté.

 

Si l’évolution culturelle a conduit l’homme à supprimer toute transcendance, alors il devrait se rendre compte qu’il s’est chargé d’une responsabilité énorme.

 

Il devrait se demander ce que signifie vivre dans un monde où l’on prétend se passer de transcendance.

 

N’y a-t-il pas là un danger, en particulier celui d’un déchainement de la violence ?

 

L’homme agit aujourd’hui comme s’il était le maître du monde, le seigneur de la nature, sans aucune médiation ou arbitrage.

 

L’homme ne peut pas vivre sans éthique.

 

C’est bien beau d’imaginer que tout est possible, mais en réalité, il sait parfaitement qu’il existe des limites.

 

Si les hommes et les nations continuent à éluder leurs responsabilités, les risques deviennent énormes.

 

Le monde dans lequel nous vivons devient plus violent que par le passé.

 

Certes nous prenons soin des victimes comme aucune autre civilisation ne l’a jamais fait, mais ce monde est aussi le plus persécuteur et le plus meurtrier de l’Histoire.

 

Le bien comme le mal semblent y augmenter également.

 

Comme le souligne Max Weber, on assiste à un ‘désenchantement du monde’.   

 

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 105HOMME COMPÉTITIF, MIMÉTISME ET RIVALITÉ

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’homme est fondamentalement compétitif et enclin à la rivalité, parce qu’il désire toujours les mêmes choses que les autres.

 

Il est, selon l’expression de René Girard, ‘’mimétique’. 

 

Il veut également l’emporter sur l’autre, et entre donc en compétition avec lui.

 

L’intelligence humaine, l’esprit d’initiative sont, en substance, de la compétition.

 

Cette dernière peut donc avoir beaucoup de valeur, et nous le savons bien.

 

Mais la compétition devient violence lorsqu’elle s’exacerbe au point d’engendrer une rivalité destructrice.

 

La situation est beaucoup plus complexe et ambivalente qu’il n’y paraît, car tous les hommes sont impliqués dans ces formes de rivalité, dont les effets peuvent être à la fois positifs et négatifs.

 

En outre, lorsque l’on analyse une situation violente, on la définit toujours comme une agression de la part d’autrui, et la partie adverse la définira elle aussi comme telle.

 

Neuf fois sur dix, la violence cache non pas de l’agressivité, mais de la compétition, qui ne peut être attribuée à une seule partie : les deux personnes ont également tort et raison, ils se comportent de manière identique et symétrique.

 

L’homme se livre ainsi à des guerres intestines et entretient des conflits sans fin, qui instaurent des cercles vicieux de violence dont aucun système ‘’judiciaire’’ ne permet de sortir.

 

 

Voir également :

 

RENÉ GIRARD : DÉSIR MIMÉTIQUE

RENÉ GIRARD : ORIGINE DES CONFLITS
RENÉ GIRARD : RIVALITÉ MIMÉTIQUE

 

 

 

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 02:05

  Kandisky 104RECHERCHE DE VÉRITÉ

 

 

 

 

 

 

 

L'homme ne peut pas vivre sans cette recherche de la vérité sur lui-même – que suis-je ? Pour quelle chose dois-je vivre ? – vérité qui le pousse à ouvrir l'horizon et à aller au-delà de ce qui est matériel, non pas pour fuir la réalité, mais pour la vivre d'une manière encore plus vraie, plus riche de sens et d'espérance, et pas seulement dans la superficialité.

 

Il ne faut pas se contenter de réponses partielles, immédiates, et certainement plus faciles et plus commodes sur le moment, qui peuvent donner un moment de bonheur, d'exaltation, d'enivrement, mais qui ne conduisent pas à la vraie joie de vivre, celle qui naît chez ceux qui construisent non pas sur le sable, mais sur le roc solide.

 

Il faut apprendre donc à réfléchir, à lire non à la surface, mais en profondeur son expérience humaine : il peut alors découvrir, avec émerveillement et avec joie, que son cœur est une fenêtre ouverte sur l'infini !

 

C'est la grandeur de l'homme et aussi sa difficulté.

 

Une des illusions à travers l'histoire a été de penser que le progrès scientifique et technique aurait pu donner de manière absolue des réponses et des solutions à tous les problèmes de l'humanité.

 

Et nous voyons que ce n'est pas le cas.

 

En réalité, même si cela avait été possible, rien ni personne n'aurait pu supprimer les questions les plus profondes sur le sens de la vie et de la mort, le sens de la souffrance, de tout, parce que ces questions sont écrites dans l'esprit humain, et qu'elles dépassent l'univers des besoins.

 

L'homme, même à l'ère du progrès scientifique et technologique – qui a tant donné – demeure un être qui veut plus, plus que le confort et le bien-être, il demeure un être ouvert à la vérité entière de son existence, qui ne peut pas s'arrêter aux choses matérielles, mais s'ouvre à un horizon beaucoup plus large.

 

Le risque est de toujours rester prisonniers du monde des choses, de l'immédiat, du relatif, de l'utile, perdant toute sensibilité pour ce qui se rapporte à la dimension spirituelle.

 

Il ne s'agit pas de déprécier l'usage de la raison ou de rejeter le progrès scientifique, bien au contraire ; il s'agit plutôt de comprendre que l’homme n'est pas fait seulement d'une dimension « horizontale », mais possède aussi une dimension « verticale ».

 

Les données scientifiques et les outils technologiques ne peuvent pas se substituer au monde de la vie, aux horizons de sens et de liberté, à la richesse des relations humaines.

 

Voir également :

 

VERITE

 

 

 

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 02:05

    Kandisky 103HUMILITÉ

 

 

 

 

 

 

 

L’humilité consiste à creuser un vide de soi.

 

Ne pas exacerber ses facultés, le rayonnement de son être.

 

Chaque homme a une certaine aura, un certain rayonnement.

 

Il s’agit de ne pas l’exacerber.

 

Attention, il faut qu’il prenne pleinement sa place.

 

Chacun est une personne vivante.

 

Il ne s’agit pas de ‘’s’écraser’’.

 

L’humilité est un chemin étroit.

 

Voir également : 

 

HUMILITE

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 102LIBÉRATION

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelle libération de ne plus être préoccupé de soi-même !

 

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 02:05

Kandisky 100FIN D’UN MONDE

 

 

 

 

 

 

 

En observant notre société, on voit se dessiner un mouvement.

 

Un mouvement d’accélération, qui va vers la destruction.

 

Le monde se rapproche d’une destruction.

 

Laquelle ?

 

Peut-être est-ce seulement la fin d’un monde.

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 02:05

ALAIN 15EMMANUEL LEVINAS : HUMANISME

 

 

 

 

 

 

« L’humanisme est une réponse à autrui qui accepte de le faire passer devant lui au lieu de le combattre. »

 

Emmanuel Levinas, Les imprévus de l’histoire)

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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