11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 27DÉSIR

 

 

 

 

 

 

 

 

S’il existe une loi pour l’homme moderne, elle ne peut être que la loi de son désir.

 

La force du désir est la loi, et il n’en est pas d’autres.

 

Les autres ne sont que des instruments dont il devrait user et abuser sans limites.

 

S’il accorde parfois quelque intérêt à la société dans laquelle il vit, c’est dans la mesure où elle lui donne des droits et qu’elle oublie de lui réclamer des devoirs.

 

Il sait utiliser les libertés que la société lui accorde et les tourner à son plus grand profit.

 

Pour lui, rien n’est sacré sauf sa jouissance immédiate.

 

Il n’est donc pas contre la loi, mais contre les lois qui le brident.

 

Il veut du plaisir tout de suite, il vit dans l’éphémère.

 

Il ne vit que dans l’apparence, dans l’intensité, mais il ne crée rien.

 

Il ne fait que détruire ou s’autodétruire.

 

Voir également :

 

DESIR

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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 24OBTENTION RAPIDE DE RICHESSES

 

 

 

 

 

 

 

 

L’homme producteur s’efface lentement mais inexorablement pour laisser sa place à l’homme consommateur.

 

Le travail est en train de perdre sa valeur d’intégrateur social, favorisant le dynamisme et la cohésion de la société.

 

L’obtention rapide de richesses (sans travail préalable) nécessaire à une consommation outrancière (loisirs, vêtements, produits de beauté) devient le rêve de chacun.

 

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 25ADHÉRENCE A SOI

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’homme est maintenant désengagé, sans continuité, sans aspirations affirmées dans la durée.

 

L'"adhérence à soi" est devenu un trait caractéristique de sa personnalité.

 

Profiter sans entrave, profiter à tout prix, il n’aurait que le "souci de soi".

 

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 20VALEUR DURABLE

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment préserver ce qui a une valeur durable dans une société qui ne s’intéresse qu’à l’immédiat ?

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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 22UNE SOCIÉTÉ COMPLEXE

 

 

 

 

 

 

 

Notre société est complexe.

 

. D’un côté, des hommes qui vivent dans une sorte d’excès permanent – excès de consommation mais aussi excès de pressions, de sollicitations – et qui, en quête de performances toujours plus grandes, se brûlent dans l’hyperactivité tout en se débattant dans un rapport au temps toujours plus contraignant.

 

L’excès qui les caractérise peut se repérer sur différents registres.

 

Sur celui du mode de jouissance, d’abord, caractérisé par un ‘’toujours plus’’.

 

Dans ce domaine, la seule loi possible, c’est celle de leur propre désir.

 

Dans cette exigence de dépassement personnel, c’est une sorte de transcendance d’eux-mêmes qu’ils recherchent, une sorte d’homme tout puissant.

 

Sur tous ces registres, c’est la notion d’excès qui prédomine, un excès recherché ou subi, mais qui colore toutes ces expériences d’une intensité particulière.

 

. De l’autre côté, des hommes dont les supports se sont effondrés et qui, dès lors, ont connu un parcours d’exclusion ou d’échec.

 

Ne pouvant plus satisfaire, aux injonctions sociales d’aujourd’hui, d’adaptabilité, de dynamisme et de performance, ils deviennent les laissés pour compte de la société.

 

On observe souvent un sentiment de non-existence, une perte de la singularité, une perte de leurs capacités.

 

La vacuité de l’existence des seconds s’opposerait à l’intensité de celle des premiers.

 

Mais n’observe-t-on pas des transferts des uns vers les autres ?

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 23MODERNITÉ

 

 

 

 

 

 

 

La modernité est sous-tendue par trois idées :

 

. celle du progrès, la société serait en marche vers un progrès toujours accru,

 

. celle de la raison, sous l’influence notamment du rationalisme cartésien,

 

. et celle du bonheur, auquel le progrès et la science ne peuvent manquer de conduire.

 

La philosophie des Lumières, avec les valeurs de liberté et d’égalité, incarnerait l’essence même de l’esprit moderne et de l’humanisme qui y est associé.

 

On assiste, en fait, à l’affaiblissement des repères et des structures de sociabilité et, sous l’influence notamment de la consommation de masse, à l’émergence d’un homme libéré de toute entrave, et soucieux avant tout de sa jouissance et de son épanouissement personnels.

 

Excès, fragmentation, incertitude quant à la définition de soi : c’est une personnalité fondamentalement individualiste.

 

Une personnalité qui évolue dans une série de satisfaction immédiate et de ‘’l’éclatement des limites’’, dans laquelle la notion de sens est souvent cantonnée à l’instant et au moment présent.

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 2DÉSIR DE BONHEUR

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le cœur de tout homme demeure un fort désir de bonheur.

 

Toute action, tout choix, toute intention renferme en soi cette exigence intime et naturelle.

 

L’homme  moderne absolutise une liberté sans engagement pour la vérité, et il entretient comme idéal le bien-être individuel à travers la consommation des biens matériels et des expériences éphémères, négligeant la qualité des relations avec les personnes et les valeurs humaines plus profondes.

 

Il cède  à la tentation de mettre une absolue confiance dans l'avoir, dans les choses matérielles, en renonçant à découvrir la vérité qui va au-delà.

 

Très souvent, l’homme se rend compte alors qu’il a mis sa confiance en des réalités qui ne satisfont pas ce désir de bonheur, bien plus, qui montrent toute leur précarité.

 

Il se sent désorienté par des promesses alléchantes de succès faciles, de modes de vie qui privilégient le paraître au détriment de l'intériorité.

 

Et c'est en ces moments qu’il expérimente le besoin de quelque chose qui va « au-delà », qui donne sens à sa vie quotidienne.

 

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 02:05

Gence-105-copie-1.jpgÉTHIQUE ET LIBERTÉ

 

 

 

 

 

 

 

L’éthique est au cœur de la liberté responsable.

 

Elle s’éduque par une conscience éclairée.

 

 

Voir également :

 

ETHIQUE

LIBERTE

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 02:05

Van Gogh 15EMMANUEL LEVINAS : PRIORITÉ DE L’AUTRE

 

 

 

 

 

 

 

« Et voilà pour l’humain l’apparition possible d’une absurdité ontologique : le souci d’autrui l’emportant sur le souci de soi…

 

Notre humanité consiste à pouvoir reconnaître cette priorité de l’autre. »

 

(Emmanuel Levinas, Les imprévus de l’histoire)

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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 02:05
Sarkis 6DISPARITION DES REPÈRES
 
 
 
 
 
 
 
Pourquoi nos sociétés semblent-elles ainsi ballottées par les flots ?
 
Pourquoi tous les repères s’affaissent-ils en même temps que les traditions les mieux établies qui permettaient autrefois à chacun de dresser des passerelles entre le passé et l’avenir s’écroulent ?
 
S’agissant des repères, il y a bien les lois mais elles évoluent au gré des circonstances.
 
Elles ne résistent pas aux demandes légitimes, incessantes et parfois contradictoires, d’une opinion publique qu’il s’agit de satisfaire : plus de sévérité tout en souhaitant plus de tolérance ; plus de protection sociale en payant moins d’impôts, telles sont quelques-unes des contradictions majeures de notre société.
 
Plus profondément, comment avoir des repères lorsqu’on peut à tout instant décider d’en changer ?
 
Les lois sont l’enjeu de rapports de forces entre groupes de pression, elles ne sont plus adossées à une morale, à une éthique de justice pour tous.
 
Elles ne constituent plus des cadres.
 
Nos sociétés avancées sont essentiellement techniciennes et les notions de bien et de mal, de vrai ou de faux sont abandonnées au jugement de l’instant – vous avez tort car vous êtes politiquement minoritaire – non à celui des traditions, de l’expérience historique, de la recherche du bien commun.
 
Maintenant qu’il n’y a plus d’interdits, qu’il n’y a plus de morale intangible assise sur des repères solides, les comités d’éthique prolifèrent et essaient cahin-caha de tracer le droit chemin.
 
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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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