BIEN COMMUN
Nous sommes des gâtés de la providence, nous avons reçu plus que d’autres, nous ‘‘devons’’ donc plus que d’autres.
Nous n’avons pas le droit de garder par-devers nous, sans les faire fructifier, les dons que nous avons reçus.
Nous n’en sommes que comptables et notre formation n’aura sa valeur que si elle n’a pas seulement des buts personnels et égoïstes, mais si elle s’accompagne du souci du service public, puisque le terme est à l’ordre du jour ; disons simplement du ‘‘bien commun’’.
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