La raison n’est elle-même que si elle avoue ses propres limites: elle ne peut pas tout connaître, et cela même qu’elle connaît reste partiel, souvent même infime.
Il n’y a point là prétexte à parler contre la raison : la grandeur de celle-ci n’est pas seulement d’accéder aux vérités qu’elle peut atteindre, elle est aussi de reconnaître ce qui la dépasse.
On attend de la raison une telle humilité, qui n’est pas faiblesse mais consentement au mystère d’une vérité plus haute, toujours plus grande que ce que l’intelligence humaine peut par elle-même en saisir.
Voilà de bons principes pour un manager ! !