23 décembre 2012 7 23 /12 /décembre /2012 02:00

mchma3.jpgINTÉRIORITÉ

 

 




A force d’insister sur l’émotion, sur le sensible ou sur l'immédiat, on en vient à dénier toute importance au travail de la raison ou à l’intériorité personnelle, qui nécessite de la durée, du recul, de la réflexion et de l’effort.
 
 

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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 02:00

mchma2.jpgDÉRISION

 

 




Dans notre société, ce n’est pas le ridicule qui tue, c’est la dérision.

 

A petit feu, quand il s’agit de dérision légère, presque innocente, de ce ton badin et ce sourire en coin qui accompagne telle ou telle phrase.

 

C’est avec un recul affiché, voire un ton ironique, que l’on traite désormais les institutions, les entreprises, la politique, les banques…

 

« On ne respecte plus rien », disaient nos grands-parents.

 

Aujourd’hui, les  sociologues vous diront que cet irrespect ostentatoire est une tendance lourde du comportement social.

 

L’individualisme progresse par la critique systématique des pouvoirs, de tous les pouvoirs.

 

Pour préserver sa liberté, il faut prendre du recul, et la dérision est un bon moyen d’afficher cette distance !

 

La dérision, c’est le langage naturel de l’individualisme.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 02:00

mchma12.jpgMÉFIANCE GÉNÉRALISÉE

 

 




Dans ce monde, s’imposerait à tous la nécessité d’être efficace.

 

L’utilité faisant figure de valeur suprême, elle est supposée orienter cette efficacité et fonder les règles de la vie sociale.

 

Pris dans la concurrence universelle, chacun se voit donc invité, rassemblé sur soi-même, non à scruter l’horizon, mais à prendre garde de ne se laisser doubler ni sur sa droite ni sur sa gauche.

 

Le type de l’homme engendré par ce monde souffre d’envie et de jalousie.

 

On croirait que « méfiez-vous les uns des autres » est devenu la maxime universelle.

 

Chacun tombe sous une loi de suspicion généralisée.

 

Ce qui nous menace aujourd’hui, c’est de voir l’attrait de l’inconnu céder devant la peur de l’incertain.

 

Faut-il le rappeler ? La vie elle-même, c’est le risque.

 

À commencer par celui de mourir, ou de tomber malade.

 

Et la vie humaine, c’est le risque réfléchi, calculé, évalué et, en définitive, une fois la décision prise, assumé.

 


Voir également :


Méfiance-confiance

Méfiance-confiance


Il semble que la méfiance s’insinue dans un certain nombre de relations sociales jusqu’à s’imposer comme la forme du premier contact. Avant même de connaître autrui, on commence par s’interroger sur sa sincérité, sur l’honnêteté de ses intentions, sur la légalité de ses…
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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 02:00

mchma1.jpgANTHROPOLOGIE : QU’EST-CE QUE L’HOMME ?

 

 



“Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi ; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin ; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés”. (Jean-Jacques Rousseau, Essai sur l’origine des langues).

 

Etudier l’homme, demander « qu’est-ce que l’homme ? », c’est s’interroger sur la nature de l’homme, c’est-à-dire sur ce qui permet de ranger dans une même espèce des individus qui apparaissent très différents les uns des autres, mais qui ont en commun tout un ensemble de propriétés qui les distinguent de ceux qui appartiennent à d’autres espèces.

 

A quels signes reconnaissons-nous qu’un individu est un homme, qu’il appartient à l’espèce humaine, alors que les hommes se différencient entre eux par des caractères, des genres de vie, des aptitudes et des besoins tellement divers qu’il paraît presque impossible de définir un dénominateur commun ?


Voilà le vaste champ de l’anthropologie !


Voir également : 

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 02:00

mean05.jpgINDIVIDUALISME ET RELATIVISME

 

 




Des phénomènes nouveaux, profonds, remettent en cause les équilibres d’antan.

 

Ils s’appellent individualisme, relativisme, hédonisme, nihilisme.

 

L’individualisme est une caractéristique majeure de notre société, sans doute le plus important.

 

Notre société se voit débarrassée, pan à pan, de tout ce qui en faisait des ‘collectivités’ : les mouvements de jeunesse, les partis politiques, les syndicats…

 

Même la famille recule, en ce moment, sous les coups de boutoir de l’individu roi.

 

Celle qui fut la première collectivité humaine se décline désormais en famille ‘éclatée’, famille ‘monoparentale’, famille ‘recomposée’ : elle est un groupe relativement réduit où l’individu va se ressourcer auprès d’autres individus et où ne subsiste, au mieux, qu’un semblant de hiérarchie.

 

Cette notion de hiérarchie est capitale.

 

Chaque lien social se réfère à un absolu, un modèle ou une autorité qui s’impose à tous les membres du collectif.

 

Or toute référence supérieure, toute relation pyramidale ou verticale, de nos jours est mise à bas, banalisée, niée par un relativisme qui égalise valeurs et critères.

 

Quand tout se vaut, rien n’est crucial.

 

Les paroles d’un supérieur sont devenues aussi relatives, respectables et contestables que les autres.

 

La glorification de l’individu, la revendication de ses droits, ont pour effet de démythifier et de fragiliser toutes les institutions, corporations, corps constitués et groupes divers.

 

La liberté revendiquée pour l’individu dénie toute emprise sur les individus, qui sont  des ‘consommateurs’ ou des ‘usagers’.

 

Les droits de l’homme, qui sont devenus sacrés, prennent le pas sur les droits du citoyen, lesquels demandent un engagement, des règles, une discipline, des valeurs.





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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 02:00

mean04.jpgINCULTURE GÉNÉRALE

 

 





Ce n’est pas que nos enfants soient moins intelligents que nos aïeux, ou qu’ils sachent moins de choses : il semble, au contraire, qu’un adolescent  aujourd’hui, possède davantage de connaissances que ses parents, au même âge.

 

Mais son acquis est plus technique, plus parcellaire, plus compartimenté, plus individualiste.

 

Or, c’est la culture générale qui, de tout temps, donne du sens aux connaissances et les met en perspective, et relie l’homme à ses contemporains.

 

Le recul de la culture générale, que l’on exclut peu à peu des programmes scolaires ou des examens professionnels, est préoccupant.

 

C’est tout un pan fondateur de la société qui s’estompe irrémédiablement.

 

Un ordinateur, un MP3 ou un iPhone permet-il à un adolescent de se coltiner à autre que soi-même, d’élever sa pensée au-dessus de ses désirs, de s’interroger sur le sens de sa vie, de comprendre l’univers qui l’entoure et de poser un regard critique sur la société ?

 

 

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 02:00

mean03.jpgSUBSIDIARITÉ, CLÉ DE VOÛTE DU MANAGEMENT

 

 

 


Déjà présente chez Aristote puis Thomas d’Aquin, la subsidiarité a occupé une place croissante dans la réflexion sociale
. De quoi s’agit-il ?

 

N’est accompli par l’échelon supérieur que ce qui ne peut pas l’être par l’échelon inférieur.

 

En revanche, l’échelon subordonné s’interdit de se décharger sur l’échelon supérieur des tâches dont il est capable de s’acquitter.

 

Cela permet de prendre les décisions au plus proche de ceux qu’elles concernent.

 

Une telle architecture de la vie en société repose sur le respect de la personne humaine, créée libre et digne




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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 02:00

mean02.jpgAVENIR

 

 




« Si tu veux savoir où tu vas, commence par savoir d’où tu viens. »

 

(Proverbe peul)

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 02:04

KIM645.jpgSUICIDES

 

 

 



On tend à oublier que le suicide fait en France plus de morts que les accidents de la route, qu’il représente un véritable fléau social, spécialement chez les adolescents, les jeunes et les personnes âgées.

 

Il est le plus souvent un fruit de la solitude, de doutes sur soi-même ou d’une perte d’estime de soi, et non pas l’expression d’un choix personnel librement mûri.

 

Il représente un drame pour nombre de familles.

 

 

(29/12/2009)

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 02:00

mean01.jpgLES TROIS ERREURS DE NOTRE SOCIÉTÉ

 

 





Notre société est marquée par l’oubli de tout un aspect de la nature humaine : le meilleur.

 

Un oubli qui serait la conséquence d’une triple erreur :

 

. La réduction unidimensionnelle de l’homme à son statut matériel de producteur-consommateur.

 

D’où les premières interrogations sérieuses sur la mesure du ‘progrès’ prisonnier d’une dimension quantitative doublement absurde : d’abord parce qu’elle le corsète par l’économie comme si, hors d’elle, il perdait tout sens ; ensuite les dégâts du progrès deviennent des sources de richesse !

 

. La seconde erreur résulte de l’oubli de la communauté et des exigences de la solidarité.

 

Or, le développement n’a de sens que solidaire.

 

. Troisième erreur : l’oubli de la longue durée elle-même consumée par un présent dévorant toute idée de responsabilité vis-à-vis de la ‘terre-patrie’, c’est-à-dire d’un ‘bien commun’ à partager et à préserver ensemble, dans le présent et l’avenir.

 

 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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