8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 02:00
AU FIL DES MOTS : ÉTHIQUE









L’éthique semble un mot à la mode, plus moderne que la morale.


Et pourtant, Aristote (384 avant J.C.) écrit son "Ethique à Nicomaque" (le bien, la vertu, la prudence, la sagesse).

L´ "Ethique à Nicomaque" est en quelque sorte pour la tradition philosophique l’ouvrage d´ éthique philosophique par excellence.

Dans l' "Éthique à Nicomaque", Aristote définit la vertu comme quelque chose à laquelle une personne aspirerait - c'est-à-dire, un plus haut bien.

Mais au fait, qu’est-ce que l’éthique ?

Entreprise périlleuse que d’aborder ce mot, car son sens semble avoir évolué vers un concept dont la signification est devenue très subjective : comme chacun peut voir midi à sa porte, on se forge sa propre éthique, en appréciant ce qui est bon ou mauvais à l’aulne du plaisir et du déplaisir, de l’intérêt et de la perte.

Selon l’expression consacrée, chacun à "son éthique pour lui" ; il est aisé de comprendre que cela conduit à une certaine contradiction sociale et politique. Il est donc intéressant de creuser un peu plus le sens de ce mot.

Dans l’usage, on différencie aujourd’hui nettement l’éthique de la morale : en effet, celui qui parle de morale entend que les mœurs doivent se conformer à une loi supérieure aux intérêts particuliers ; tandis que celui qui parle d’éthique sous entend que les lois devraient se conformer à leurs mœurs… mêmes très intéressées.

Le terme d’éthique paraît ainsi plus élégant et politiquement correct que celui de morale, ce dernier étant peut-être trop imprégné de la notion, considérée comme infantilisante, de faute et de culpabilité.

L’éthique serait donc la visée du bien (estime de soi, sollicitude pour les autres, vie dans des institutions justes) (Paul Ricoeur), la morale l’épreuve de la norme, la loi, le normatif.

Et pourtant l’éthique est également normative lorsqu’elle fixe des règles que l’on doit appliquer dans un milieu donné, par exemple, l’éthique médicale ou la bioéthique.

Dans le dictionnaire, l’éthique est la partie de la philosophie qui étudie la morale et ses fondements ; c’est aussi la façon de se diriger, de se comporter (éthique personnelle) en liberté.

Etymologiquement, éthique vient du grec ethicos, de ethos "mœurs, caractère". (Il est à noter que le terme de morale avait originairement le même sens : il vient du latin moralis, de mores : "mœurs").
   

Sa genèse est liée à l’idée de liberté individuelle, au "je peux", même s’il existe toujours une inadéquation entre le désir et sa réalisation. On pourrait presque établir une sorte de séquence dans le temps :

« Je désire » : intérêt.
« Il m’est possible de réaliser ce que je désire » : liberté
« Je le fais ou non » : selon mon éthique

Louis XIV a écrit à cet effet dans ses mémoires : « Comme il est difficile, lorsqu’on peut ce que l’on veut, de vouloir ce que l’on doit ! »

Et c’est évidemment en rapport aux autres, à autrui, que le choix se détermine. Si nous étions seuls au monde, il n’y aurait pas besoin d’éthique.

L’éthique commence, en fait, au moment où nous reconnaissons que les autres sont également doués d’intérêts et de liberté. En considérant autrui comme un être humain, nous nous obligeons à le respecter en tant que tel, c'est-à-dire à prendre en compte la notion de ses droits personnels, ainsi que d’un bien commun qui n’est pas réductible à la somme des intérêts individuels.

Ainsi, pour que des actes soient "éthiques" il ne suffit pas qu’ils se recommandent d’un "bien" quelconque, car c’est en général toujours au nom du «bien» et pour le "bien" que s’accomplissent les pires oppressions.

Si la justice et les lois sont là pour garantir une liberté "égale" pour chacun, faut-il encore que la liberté de chacun puisse s’inscrire dans un système commun de valeurs partagées.

A cette condition, il est possible de sortir de la contradiction qu’il y a entre le bien commun et les éthiques personnelles.

C’est le fondement de la démocratie.
 

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 02:00

 

PARLER VRAI : UN IMPOSSIBLE DEFI ?


    
 




- Que se passe-t-il lorsque la vérité n’est plus au rendez-vous ? Dans l’entreprise, dans la société, est-ce que les gens se parlent assez et se disent la vérité ?
   
- La recherche de la vérité elle-même et le « parler vrai » ne sont-ils pas le fruit de la confrontation avec les faits et les personnes, les données de la vie économique (efficacité, productivité, rentabilité), mais aussi les exigences de justice, de responsabilité, de respect ?

- « Parler vrai » ne va-t-il pas à contre-courant de la culture ambiante et des comportements dans le monde actuel (toujours pousser son avantage, se situer dans des rapports de force et de pouvoir, être un gagneur, un vainqueur…) ?

- « Parler vrai », c’est-à-dire « parler vraiment », n’est-ce pas aussi écouter, déléguer, accorder sa confiance, autant d’attitudes de nature à faire grandir tant les personnes que l’entreprise ?

- « Parler vrai » ne serait-il pas source de libération, d’audace, de créativité, de dynamisme et de croissance ?

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 02:00
RÉFLEXION SUR LE PROGRÈS









Il fut un temps où l’homme croyait au progrès.


Il fut un temps où l’homme croyait que la connaissance servirait son progrès personnel.


Il fut un temps où l’homme croyait que la science travaillait à sa libération.


Deux guerres mondiales plus tard, le progrès devint économique. C’était l’époque de l’expansion.

Avec la chute du mur de Berlin, le libéralisme sortit - heureusement - vainqueur mais oubliait parfois que certaines limites sont des garde-fous.

S’ouvrit alors l’ère de la déraison.

Tout ce qu’il est possible de réaliser sera réalisé ; surtout le pire, plaisir oblige.

Nul besoin de valeurs désormais pour agir, les principes entravant l’action.

Le nihilisme s’impose enfin, catalyseur de l’action, et, le devenir étant sans but, ne reste que le présent qu’il faut bien sacraliser.

C’est la victoire du matérialisme, mystique de la régression.

Victoire du postmodernisme où le sens ne semble plus nécessaire.

Dissolution de toute sagesse.

Victoire d’un semblant de liberté où la folie devient la dernière conquête de l’homme.

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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 02:00
LES VRAIES ÉTOILES D'UN MANAGER










· Esprit société, travail en équipe, autonomie, capacité à entraîner, communication,

 
· Respect de l'homme, accepter d'être critiqué pour progresser, faire progresser son équipe, montrer l'exemple, ne pas  juger seul les hommes,

· Courage mais pas brutalité, tolérance mais pas faiblesse, humilité mais pas timidité, sérénité mais pas indifférence,
     
· Ecouter, savoir sanctionner et féliciter, faire progresser l'équipe, mettre en valeur ses subordonnés,   
 
· Climat de confiance, droit à l'erreur, laisser de la liberté, bannir la non - coopération.

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 02:00
SE FORMER SANS CESSE









La formation est à l’ordre du jour, en tous domaines.


N’hésitons pas à nous former notamment dans les sciences humaines.
   
Y compris le week end.

Cela rejoint notre être profond. Cela éclaire notre intelligence.

Ne pas hésiter à dégager du temps pour un mieux être et une meilleure compréhension du monde qui nous entoure.

Quelques heures de télé en moins !

Ce n’est pas forcement un long fleuve tranquille. Il faut accepter d’être déstabilisé, en quittant notre décor habituel, en acceptant de changer d’état d’esprit, en sacrifiant quelques loisirs.

Prendre l’initiative de la découverte.

Faire cela est un signe de sagesse et un gage de qualité.

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3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 02:00
N’AYONS PAS PEUR







Il faut nous poser quelques questions face à ce matraquage audio-visuel :

Allons-nous être soumis, et de plus en plus, à ce terrorisme intellectuel et au politiquement correct ?

Devons-nous ne plus penser, et penser « juste », pour faire plaisir, ne pas déranger ? Que dire alors, lorsqu’on nous traite  d’ « infidèles », et que d’aucuns appellent à la guerre sainte contre l’Occident ?

Ne nous laissons pas atteindre par la colère ou par les critiques.

Ecoutons-les, même si elles sont erronées !

On nous reconnaîtra vraiment, au respect des autres que nous aurons mis dans notre vie.

La vérité triomphera, n’ayons pas peur.

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 02:05
2 NOVEMBRE : FETE DES DEFUNTS









Aujourd’hui que la mort est devenue taboue, on ne porte plus le deuil après la perte d’un proche. On le vit, en silence.

Or, c’est un traumatisme, une blessure dont les répercussions se font sentir tout au long de la vie.


C’est parce que, de toutes les questions qu’il se pose, la mort est celle qui demeure sans réponse et qui le renvoie à son impuissance à maîtriser la vie, que l’homme ne peut avoir de rapport à la mort sans angoisse.

Parler de la mort, c’est jeter un pavé dans la mare de notre suffisance, c’est montrer que toute notre culture de la réussite se situe dans un déni de l’échec et du trépas.

La mort donne un grand coup de pied dans la fourmilière et nous avons droit à la faiblesse et à l’échec.

Contrairement à ce qu’on pense, une « bonne » mort n’est pas nécessairement celle où l’on est stoïque et souriant.

La mort, c’est ce qui nous arrache à nos projets, ce qui rappelle notre petitesse et nous met face à ce qui nous dépasse : une altérité, une transcendance radicale.

Penser qu’il y a une recette pour vivre ou pour mourir, une recette toute faite pour être heureux, c’est déjà le désastre. L’homme n’est pas un appareil ménager. Il n’y a pas de mode d’emploi de l’existence. C’est ce qui en fait le risque et le bonheur : cette ouverture sur la rencontre, l’inespéré.

L’angoisse face à la mort n’est pas mauvaise. On a peur de tout ce qui vient nous priver de ce qu’on aime.

Soren Kierkegaard disait : « Tu es immortel, alors tremble ! » Tremble parce ce que tu fais ici et maintenant à une valeur pour l’éternité.

Mais on a peur de ce tremblement et la société de consommation utilise cette peur pour nous vendre sa soupe : on achète ses divertissements, ses gadgets inutiles pour s’étourdir, mais comme disait Pascal, c’est courir vers le précipice après avoir mis devant nous quelque chose pour ne pas l’apercevoir.
 
Alors, si on aime la vie, il est normal d’avoir peur de la mort.

La mort nous apprend l’humilité et la dépendance, elle nous pousse à nous tourner vers une autre voie, quand notre orgueil veut nous replier sur notre ego.

Cette angoisse existentielle n’est ni bonne ni mauvaise, mais pour qu’elle soit supportable, l’homme doit pouvoir donner un sens à sa vie.

C’est dans cette recherche infinie de sens que s’exerce la liberté humaine.

La question sur la mort est également la question sur la vie.

C’est à travers ses actes, ses choix, ses alliances, ses refus et ses renoncements que chacun répond, au quotidien à la question qui le tenaille :

Pourquoi vivre, puisque je dois mourir un jour ?

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 02:00
RECONNAISSANCE









La grande difficulté de l’homme est de prendre du recul par rapport au regard des autres.


Il a toujours tendance à estimer ses actions en fonction du fait qu’il a été reconnu ou non.

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 02:00


QUELLE CHANCE ILS ONT !







· Quelle chance ils ont, ceux qui peuvent être humbles, disponibles et patients.


· Quelle chance ils ont, ceux qui mettent leurs raisons de vivre ailleurs  que dans la réussite ou le pouvoir.

· Quelle chance ils ont, ceux qui n’attendent aucune reconnaissance et qui recherchent la gratuité.

· Quelle chance ils ont, ceux qui sont assez forts pour repousser toute idée négative sur soi et sur les autres et qui osent la confiance.

· Quelle chance ils ont, ceux qui sont assez forts pour vaincre en eux la jalousie et la haine et privilégier l’écoute et le respect de l'autre.

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 02:00

    levinas-temps.gif

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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