2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 01:00

DIALOGUE

 








A l’heure où se développent dans les entreprises ce que l’on appelle l’entretien individuel, nous avons un urgent besoin de réapprendre l’art du dialogue, car la vie en commun, pour être sereine, doit passer par là.


Il faut réapprendre une culture du dialogue.


La première étape consiste à suspendre son jugement pour considérer l’autre avec sympathie. Tout commence par là.


Dans leur altérité, les autres sont vraiment « différents », voire capables de nous contredire.


Avoir une attitude de sympathie signifie – dans un premier temps – accepter de ne pas comprendre l’autre tout en partageant ses sentiments.


La vérité de l’autre a la même légitimité que la mienne.


Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de vérité ou que toutes les vérités se valent.


Chacun peut manifester sa propre vérité avec humilité et doit être disposé à recevoir de l’autre la vérité qui, toujours, nous précède et nous dépasse.


La sympathie implique l’empathie : elle n’est pas un élan qui nous pousserait vers l’autre, mais la capacité de se mettre à sa place, de le comprendre de l’intérieur.


Elle se fonde sur notre dimension humaine, qui nous rend semblable.


L’empathie permet de percevoir que l’existence par nature, n’est jamais isolée ; elle n’existe que dans la communication et dans la conscience de l’existence des autres.


L’égocentrisme, l’indifférence, le cynisme, la rancœur sont vaincus par ce sentiment : on fait ainsi place à l’autre.


Mais la sympathie et l’empathie ne sont que les conditions pour que le dialogue soit possible, fécond de transformations et d’enrichissements réciproques, on ne sort jamais comme on y était entré et le défi du dialogue implique la disponibilité à entreprendre ce chemin.


Dans le dialogue émergent des visions inédites de l’autre ; la fin des préjugés se fait proche : on découvre ce que l’on a en commun mais aussi ce qui manque à chacun.


Dans le dialogue, deux visages se trouvent face à face.


Cet autre que je situais dans une dimension reculée se révèle beaucoup plus proche et semblable à moi que je ne l’imaginais.


La frontière demeure, tout en n’étant plus un lieu de conflits ou de malentendus, mais de pacification et de rencontre.


Si l’on n’attend rien de l’autre, le dialogue meurt avant même sa naissance.


Mais si l’on est disposé à l’accueillir comme un « hôte intérieur », alors se déclenche l’étincelle du dialogue authentique : on offre du temps à l’autre et les paroles qui s’échangent deviennent des dons réciproques.


Les questions de l’autre deviennent les miennes, ses doutes dérangent mes certitudes, ses convictions interpellent les miennes.


On arrive à exprimer des pensées que l’on n’avait encore jamais eues.


Avec la perception fascinante de les sentir à la fois inouïes et familières, on finit par découvrir que l’on possède depuis longtemps des réalités qu’on était convaincu d’ignorer.


Le dialogue avec l’autre permet la découverte inédite de notre propre existence.


Par des mots et des gestes, il fait apparaître l’intériorité qui nous habite. 

 

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 01:10

Gence-99.jpgETTY HILLESUM : UN SENS DE LA VIE

 

 










 

« La force essentielle consiste à sentir au fond de soi, jusqu’à la fin, que la vie a un sens, qu’elle est belle, que l’on a réalisé toutes ses virtualités au cours d’une existence qui était bonne. »

 

« Je trouve la vie belle et riche de sens. A chaque instant. »

 

 

(Etty Hillesum, Une vie bouleversée)

 

 

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 01:05

de-laidet-107.jpgREDÉFINIR LE RÔLE DU MANAGER

 

 

 Intitut-de-l-entreprise-copie-1.gif

 

Groupe de travail présidé par Daniel Chaffraix, IBM France, et Pierre Mongin, président directeur général de la RATP

 

 

 

Plusieurs tendances de long terme sont appelées à modifier l’organisation et le fonctionnement de l’entreprise, et le rôle que le management intermédiaire joue en son sein : élévation générale du niveau de qualification, coexistence de générations aux attentes de plus en plus divergentes, développement d’équipes multiculturelles au sein d’organisations plus globales.

 

En lien avec la stratégie définie par la direction générale, le manager intermédiaire devra être de plus en plus porteur et générateur de sens pour l’action de ses équipes.

 

De même, il lui faudra se montrer capable d’intégrer, au sens fort du terme, des équipes de plus en plus diverses, tant en termes d’âge que d’origine sociale ou géographique.

 

Enfin, évoluant au sein d’organisations aplaties et transverses, il devra fonder par lui-même sa légitimité à travers sa capacité à imposer son leadership à ses équipes et à les faire progresser.

 

Cette évolution nécessaire se trouve aujourd’hui contrariée par plusieurs facteurs qui contribuent au désengagement du manager intermédiaire : banalisation du statut de cadre ; écart croissant de rémunération entre managers et dirigeants ; affaiblissement du pouvoir du manager par l’écrasement des lignes hiérarchiques ; réduction de ses marges de manœuvre par la généralisation des technologies de l’information.

 

Le groupe de travail propose d’organiser la redéfinition du rôle du management intermédiaire par une démarche en trois mouvements.

 

Construire un nouveau pacte de confiance entre les dirigeants et les managers intermédiaires

 

Un nouveau pacte de confiance doit être établi entre la direction de l’entreprise et le management intermédiaire.

 

Ce pacte de confiance implique un discours rénové de la direction générale, tourné davantage vers l’intérieur de l’entreprise, et mettant l’accent sur le projet de l’entreprise autant que sur sa performance financière.

 

La direction générale devra aussi s’attacher à reconstruire un lien privilégié avec ses managers intermédiaires, notamment au travers de la mise en place de modes de communication dédiés.

 

Réaffirmer le pouvoir du manager intermédiaire dans l’entreprise

 

Le pouvoir du manager intermédiaire dans l’entreprise doit être réaffirmé.

 

Si l’application, à court terme, d’un principe de subsidiarité dans la prise de décision (« toute l’autorité réside chez les managers intermédiaires, sauf lorsque le contraire est explicitement spécifié ») semble illusoire, l’entreprise doit assurer aux managers les conditions d’une autonomie qui leur permette de s’approcher de cet objectif.

 

Dans le même temps, le rôle du manager dans la gestion des hommes doit être revivifié : c’est à lui qu’il doit revenir notamment d’alerter la direction générale sur les « signaux faibles » en provenance du terrain, et de mettre en ouvre les politiques de diversité dans l’entreprise.

 

La direction générale devra s’attacher à motiver et à former le management intermédiaire pour l’exercice de ces missions.

 

Revaloriser le statut du manager intermédiaire dans l’entreprise

 

Le statut du manager intermédiaire doit enfin être revalorisé, pour mieux marquer l’importance de son rôle dans l’entreprise.

 

Cette revalorisation doit se traduire par l’extension des mécanismes de rémunération variable, permettant une meilleure association aux résultats de l’entreprise ; elle doit aussi se manifester par une réinvention des formes de reconnaissance et de valorisation symbolique, adaptées aux attentes des nouvelles  générations.

 

 

 

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 01:00

CHOIX DE VIE

 









Voici un choix auquel nous ne pouvons pas échapper : quelle est la valeur suprême de notre vie ?


Préférons-nous la sécurité de la société de consommation et de la protection du niveau de vie ?


Une société du spectacle, où l’effet d’annonce est plus important que la réalité.


Si nous choisissons la sécurité garantie par la société, savons nous ce que nous faisons et pourrons nous, seuls, assumer les déceptions ?


N’y a-t-il pas un autre choix pour gouverner sa vie et non la subir et qui comblera de joie ?


Ne pas se laisser entraîner demande beaucoup de caractère.

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 01:10

leversoleilghardaia.jpgJACQUES LACAN : LUMIÈRE

 

 

 



« Les êtres humains ne demandent que ça, que les lumières soient tempérées.

 

La lumière en soi, c’est absolument insupportable.

 

D’ailleurs on n’a jamais parlé de lumière, au Siècle des Lumières, on a parlé de l’Aufklärung.

 

« Apportez une petite lampe, je vous en prie. »

 

C’est déjà beaucoup.

 

C’est même déjà plus que nous ne pouvons en supporter. »

 

(Jacques Lacan Le Séminaire)

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 01:05

KIM302.jpgPRIORITÉ A L’AUTRE

 

 

 



« La base de la morale, pour reprendre une formule d’Emanuel Levinas, c’est de donner sur soi une priorité à l’autre.

 

La vie commune est l’origine de la vie humaine. »

 

(Tzvetan Todorov)



Voir également :


EMMANUEL LEVINAS : APRÈS VOUS

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 01:00

SAGESSE ET MÉDIAS

 









Notre monde super-médiatisé regorge de spécialistes autoproclamés, capables de tout nous expliquer et de nous convaincre qu’ils avaient tout prévu, surtout, après coup.


Où est la véritable sagesse quand le zoom de la caméra donne à des événements partiels une dimension internationale et laisse dans l’ombre beaucoup de réalités qui ne l’intéressent pas ?


Sommes-nous des enfants de la lumière si nous nous laissons entraîner par la passion des images ?

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 01:10

KIM301.jpgHOMME VRAI

 

 

 





« Ce qui compte, c’est que la vie concrète se conforme à l’enseigne de l’ordre, de la justice, de l’harmonie et de la fidélité.

 

C’est cela qui fait d’un homme un vrai homme. »

 

(Vito Mancuso)

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 01:05

KIM300.jpgDE BONNES RÉSOLUTIONS POUR BIEN MANAGER

 




 

 

. Prendre de la distance par rapport à ses propres questions et actions (prendre du recul),

 

. Prendre le risque de la pensée et le temps de la réflexion : interroger, provoquer, rencontrer,

 

. Pratiquer l'art du dialogue (splendide exactitude de l'écoute, constante disposition à s'expliquer, patience de rester sur la question débattue),

 

 . Faire un bon usage de l'autorité, qui fait grandir et ne casse pas.

 

. Améliorer la connaissance de soi et de ses fragilités,

 

. Avoir confiance dans le pouvoir de la raison, éviter la contrainte – en dernier ressort,

 

. Accepter l’expérience du temps qui permet de progresser, laisser respirer, malgré les contraintes.

 

Et bien sûr…« Garder et méditer toutes ces choses. »


Voir également :

Bien manager

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 01:00

CRISE ET BONHEUR

 










Nous vivons une crise qui exprime une anxiété par rapport à l’avenir.


Cette anxiété doit nous faire réfléchir sur la manière dont nous nous représentons l’avenir.


Qui a les solutions de l’avenir ?


Qu’attendons-nous de l’avenir ?


Quelle est notre espérance ?


Pour beaucoup, la seule espérance qui les motive est celle de la sécurité : sécurité de l’emploi – cela se comprend -, sécurité du niveau de vie, sécurité de la santé, …


Mais qui peut nous laisser croire, ou nous faire croire, que l’avenir nous apportera ces garanties ?


Honnêtement, on ne peut croire que quiconque aujourd’hui puisse nous garantir cette sécurité, pas plus que nous assurer que nous aurons un niveau de vie comparable à celui de nos parents.


Derrière cette promesse en trompe-l’œil, il y a un jugement qui se dessine sur les valeurs communément admises dans notre société.


La question radicale est de savoir à quoi nous accordons le plus de prix et ce qui peut nous conduire à une véritable maîtrise de notre vie et à un accomplissement de nos capacités, à un équilibre qui nous permette de connaître le bonheur, le bonheur réel et profond qui donne la joie d’être au monde et de vivre.


Ce bonheur-là, personne ne peut l’apporter tout cuit sur un plateau avec le talisman d’un diplôme.


Il faut le construire et le reconstruire et le reconstruire chaque jour, parce que ce bonheur-là ne résulte pas de ce que la société pourrait nous donner, mais de la décision d’engager notre vie pour le service des autres.


Ce bonheur n’est pas le repos après l’effort, il est le réveil quotidien de l’inquiétude pour la vie des autres. 

 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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