11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:10

Ganagobie6.jpgCONSEILS POUR UN MANAGER

 







 

 

« Si tu ralentis, ils s’arrêtent ;

 

Si tu faiblis, ils flanchent ;

 

Si tu t’assois, ils se couchent ;

 

Si tu doutes, ils désespèrent ;

 

Si tu critiques, ils démolissent ;

 

Mais si tu marches devant, ils te dépassent ;

 

Si tu donnes ta main, ils donneront leur peau. » 




Voir également :

Conseils pour manager

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:05

Chemin.jpgSENS DU VOYAGE

 







Le propre de l’homme est de porter en lui un désir qui le dépasse.

 

Quelque chose est inscrit en lui, bien au delà de l’instinct ou de l’attrait, qui l’attire vers l’avant.

 

C’est comme si une voix intérieure lui rappelait, parfois malgré lui, qu’il est fait pour un incessant dépassement ; un mieux perpétuellement attendu, un au-delà de toutes ses limites ou insatisfactions.

 

L’homme est un pèlerin.

 

Même s’il ignore vers qui ou quoi il va, l’homme est en état de voyage.

 

Quel est le sens de ce voyage ?

 

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:00

undefinedDÉFI ET FRAGILITÉ

 








S’il fallait définir notre époque, on pourrait le faire par le mot défi, devenu un des mots les plus courants du langage moderne.


Aujourd’hui, en considérant tout comme un « défi », on exprime la précarité, l’incertitude, voire l’angoisse de l’être humain.


L’homme, dont la mission est de vivre du futur, manque d’appétit pour le futur.


Il a peur d’habiter l’avenir, sa demeure ancestrale : il ne se sent plus « assuré » -au sens alpiniste du mot- de s’y reconnaître si l’avenir est un miroir, d’en rester le maître s’il est une œuvre à réaliser, d’en supporter le poids s’il est un message.


Le professeur Roger Mehl décrivait l’homme contemporain tout à la fois « immensément diminué et démesurément grandi ».


Devant la situation titubante du monde, l’homme moderne perd pied et se met à douter de lui-même.


Mais cet homme balbutiant, titubant, déçu ou trahi par ses propres œuvres, attend beaucoup de tous ces penseurs, ni meilleurs ni pires, dont le regard est réglé sur une autre distance, qui ont l’air de désigner un « territoire » humain où la nuit est un peu moins dense, et qui donnent envie de croire que c’est de ce côté que l’aube poindra.

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 01:10

KIM213-copie-1.pngRESPONSABILITÉ

 





 

Ce qui caractérise les grands penseurs du XXe siècle – Emmanuel Levinas, Hannah Arendt, Hans Jonas -, c'est leur insistance sur le thème de la responsabilité.

 

Répondre de l'autre, répondre du monde, répondre de la culture et de l'expérience des belles choses et répondre de la terre : il ne s'agit plus de réaliser les grandes espérances, mais d'être ému et requis par la fragilité.

 

Cette proposition d'humanité à l'humanité a du mal à se faire entendre, car ce qui règne aujourd'hui c'est le cynisme et le sentimentalisme associés.

 

L’homme moderne, désaffilié et déterritorialisé est voué à être à la fois ange et bête, c'est-à-dire à conjuguer la générosité la plus abstraite et l'égoïsme le plus étroit.

 

« Etre citoyen veut dire, entre autres, que l'on a des responsabilités, des obligations et des droits. »

 

Des penseurs peuvent nous aider à nous en sortir par une autre voie : celle du principe de responsabilité.

 

 

 

 

Voir également : 



Responsabilité de l’homme

Responsabilité de l’homme

des actions dont les effets échappent presque totalement à sa connaissance.    

Edith stein : responsabilité

Edith Stein : responsabilité

"donner une impulsion dans une direction, pour que d’autres, ensuite, fassent mieux que moi. "  

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 01:05

KIM304.jpgMANAGER ?

 








Cela suppose une connaissance des autres, une attention à percevoir, comprendre et entendre les situations différentes et à tout mettre en œuvre pour faciliter le travail de ses collaborateurs.

 

En chacun d’eux, s’efforcer d’imaginer l’histoire d’une vie, faite de joies, d’anxiétés et de douleurs.

 

Facile à exprimer, vaste programme pour la mise en œuvre !

 

On peut peut-être tenter de s’en approcher.


Voir également :


Manager

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 01:00

undefinedMOBILITÉ

 








Depuis deux siècles - l'aube de la révolution industrielle -, le monde est exponentiellement saisi d'un mouvement brownien. Sous l'œil d'un "macroscope" (le mot avait été inventé par Joël de Rosnay), il apparaîtrait tout traversé de particules agitées, grouillantes, imprévisibles.


Brownien, donc.


Les mobilités - des biens, des personnes, des entreprises - sont une marque des temps. Elles ne sont pas que la somme des déplacements physiques, mais la composante d'une pensée nouvelle qui imprime un nouveau rapport social au changement de lieu. Elles peuvent être virtuelles.


Elles vont de pair avec la contraction du temps, la dilatation des territoires, la généralisation du mouvement.


Elles s'arriment au culte de la vitesse, à l'accélération du changement.


Elles signent la fin des routines, la multiplicité des choix, le primat de l'incertain.


La société des hommes change aujourd’hui à une vitesse folle.


On peut comprendre ainsi la plus grande fragilité de l’homme moderne.


L'aventure humaine a quelques millénaires, mais le feuilleton a soudain changé de rythme et s'est emballé.


Alors que tout paraissait traîner d'une langueur monotone, en deux cents ans, le produit intérieur brut de la planète a crû de 5 000 %, la population de 500 %.


En cinquante ans, le nombre de véhicules en circulation dans le monde est passé de 50 à 800 millions, le trafic aérien a été multiplié par 50. Plus ancien, le ferroviaire a doublé.

Dans le même temps, l'usage du téléphone s'est envolé, la télévision, puis Internet sont nés.


Portées par la mondialisation des échanges et des systèmes de production, les mobilités ont transformé l'individu et le lien social, ainsi que les espaces urbains.

L'actualité en surligne incessamment la face sombre : bruits, pollution de l'air, embouteillages, paysages défigurés…


Le sociologue Danilo Martuccelli a aussi relevé l'impact de la mobilité généralisée sur le prestige social, dont elle serait devenue l'un des indicateurs. Par sa surmobilité, l'individu hypermoderne réaliserait "un fantasme d'ubiquité", confinant à la toute-puissance.


"Dans un univers où l'espace cesse en quelque sorte d'être une limite incontournable à l'action et à la communication, le signe majeur de reconnaissance, sous l'emprise de la mobilité généralisée, devient la coprésence physique."


Dans un monde où l'accès à distance s'est banalisé, c'est un peu comme si l'on signifiait : si je viens te voir, c'est que cela est important.

La mobilité crée donc de la valeur.


Et à la Bourse des comportements, la rencontre en face-à-face a sa surcote.


Certains, à la mobilité aisée, sont plus riches que les autres.


Et certains autres, sensibles aux inégalités, s'en inquiètent.


La proximité du manager devient ainsi une valeur sûre.

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 01:10

KIM211.jpgA L’ÉCOUTE DE NOS ÉQUIPES

 





Un médecin hospitalier écrit :

 

« Trop souvent, les acteurs du travail ne se sentent pas reconnus, entendus, ils se sentent ignorés, humiliés, culpabilisés.

 

On observe de plus en plus souvent des attaques à la personne, on exprime des jugements de valeur alors qu’il faudrait être factuel (par exemple préférer « je considère que vous n’avez pas fait le travail demandé ! » à « vous êtes vraiment nul ! »).

 

Mais aussi il y a de plus en plus de conflits interpersonnels, de violences verbales, d’agressivité et une perte de la politesse, du savoir-vivre et de la discrétion. 

 

Je pense que trop de cadres sont formés plus à diriger (de façon vindicative parfois et en ignorant l’empathie) qu’à manager ; il faudrait, je crois, s’intéresser au contenu de certaines formations managériales.»

Tout un programme de travail pour les managers !





Voir également : 



Ecoute
 

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 01:05

Mont3.gifEMMANUEL LEVINAS : VISAGE, SENS ET ÉTHIQUE

 






« L’accès au visage est d’emblée éthique. »


« Le visage est sens à lui seul. »


« Le visage parle. »

 

(Emmanuel Lévinas, Totalité et Infini) 

 

Nota : combien perdons-nous avec les mails !

 

 



Voir également :

EMMANUEL LEVINAS : VISAGE

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 01:00

MARIUS ET OLIVE

 









Avant que vous ne receviez un de vos collaborateurs (en Entretien Individuel, par exemple), permettez-moi de vous compter une petite histoire, marseillaise bien sûr :


« Marius et Olive se trouvent en haut de la colline.


Surplombant la mer, Marius dit à Olive : « Regarde ! »

Et Olive de s’écrier : « Mon Dieu, que d’eau ! », et encore, réplique  Marius, « tu ne vois que la surface ! »


Conclusion de Marcel Pagnol : « La plupart des choses ne se voient pas et ne se disent pas.


Elles sont cachées, sous-entendues : ce qu’on voit, c’est la petite vague au dessus.


Les profondeurs, ça ne se voit pas. »

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 01:10

wandrile10.jpgRENÉ GIRARD : OPTIMISME

 

 







« Je suis plus optimiste que beaucoup, parce que je vois du sens dans tout ce qui se passe aujourd’hui, beaucoup de sens même.

 

S’il existait des êtres sur d’autres planètes, ils se diraient : comment se fait-il que ces hommes aient des textes qui annoncent l’Apocalypse, qu’ils n’y croient pas et qu’ils fassent tout pour la faire advenir ?

 

Je suis donc plus optimiste que tout le monde parce que j’affirme qu’il y a, dans tout ce qui advient, un sens qui dépasse toute signification.

 

Ce constat est une libération face à notre petit univers. »

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Recherche

Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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