11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 01:00

HYMNE AUX FEMMES

 

 






La vie des femmes n’est pas simple… et d’abord parce qu’elle est souvent double ; non qu’elles aient une double vie : elles en ont d’ailleurs rarement le temps ; mais parce qu’elles assurent une vie au travail sous le signe de la parité, tout en continuant de jouer, dans la plupart des cas, les premiers rôles au domicile.

 

La parité est une belle intention, toujours pas réalisée, qui contient deux pièges : d’abord, parce qu’elle est vécue socialement comme s’appliquant uniquement aux femmes ; elle n’oblige donc en rien les hommes à prendre une plus grande part à la vie domestique.

 

Ensuite, dans la vie professionnelle, parce qu’elle ôte aux hommes tout scrupule à exiger autant des femmes que d’eux-mêmes.

 

En fait de parité, c’est plutôt la double dose que l’égalité… notamment en France, en dépit de la devise républicaine.

 

Les Nations unies ont réalisé, il y a une dizaine d’années, une grande étude sur la place des femmes dans la vie publique et économique.

 

La France arrivait en 40e position, en queue de peloton européen et juste entre le Botswana et le Lesotho.

 

Les choses ont-elles vraiment changé ?

 

À l’échelle mondiale, on explique généralement le retard par un accès moindre des filles à la formation.

 

Pour la France, il faut trouver une autre raison : les filles sont plus nombreuses que les garçons dans les études supérieures et elles réussissent au moins aussi bien.

 

La tentation est grande d’aborder le problème à l’envers.

 

Plutôt que de donner aux femmes les moyens de mener une vie normale au travail, en tenant compte de leurs différences dans la vie professionnelle et en les soulageant dans leur vie personnelle, on a plutôt tendance à procéder par compensations… qui aboutissent à justifier leur situation d’infériorité.

 

Tant pis pour elles si elles ne sont pas capables de se couler dans le moule d’un mode de vie masculin !

 

Pour une femme au travail, le risque le plus fréquent n’est pas le harcèlement sexuel mais plutôt la négation du sexe, qui permet à la fois d’exiger autant d’une femme que d’un homme et d’ignorer qu’elle peut, en tant que femme, apporter une différence qui soit un enrichissement.

 

Tous « collègues » : quel mot commode, indifféremment masculin ou féminin !

 

Pourtant, l’intérêt de tous est celui d’une vie équilibrée entre le personnel et le professionnel.

 

Beaucoup de managers hommes gagneraient au travail à mieux respecter les contraintes personnelles de leurs collaboratrices.

 

Beaucoup gagneraient aussi à comprendre des femmes que le fait de tout sacrifier au travail n’est pas davantage une garantie d’épanouissement que la réussite professionnelle n’est une garantie de succès auprès d’elles.


Ces femmes, nos femmes, qu’on aimerait croire moins performantes mais qu’on apprécie plus résistantes que nous, auraient pourtant beaucoup, en tant que femmes, à apporter à la vie professionnelle.


La beauté des femmes n’est ni futile ni réservée à certains métiers.

 

Elle est une contribution précieuse au rappel permanent que l’épanouissement au travail n’est pas un luxe mais une nécessité.

 

Mais elles ont souvent d’autres qualités, que les hommes leur reconnaissent moins volontiers, au premier rang desquelles le courage.

 

Gandhi avait raison de dire qu’ «appeler les femmes “le sexe faible” est une diffamation ».

 

Le courage, quand il n’est pas physique, n’est pas toujours une vertu très masculine dans les entreprises.

 

Les hommes aiment bien la phrase d’Aragon selon laquelle « la femme est l’avenir de l’homme ».

 

Dans la pratique, on apprécie aussi qu’elle en soit le passé et, « s’il n’est de richesse que d’hommes », la femme est le seul producteur de richesses !

 

Quant au présent, l’homme se le réserve volontiers.

 

Pardon, Mesdames ! Merci, Mesdames !

 

C’est promis, nous changerons.

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 01:05

Damon 3PARADOXE DE L’ESPRIT SCIENTIFIQUE

 

 

 

 

 

 

 

L'esprit scientifique de vouloir tout comprendre, tout expliquer, tout savoir, de refuser tout ce qui n'est pas rationnel, est aujourd'hui dominant.

 

Il y a en cela quelque chose de grand, même si par derrière se cache beaucoup d'arrogance et de déraison.

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 01:00

RELATIVISME CULTUREL

 

 




Le diagnostic à la crise de la mondialisation ne se trouve ni dans la finance, ni dans l’échec des négociations du round de Doha, mais plus profondément dans le relativisme culturel.

 

Qu’y-a-t-il de commun, au fond, entre le vendeur de subprime qui trompe son client, un régulateur qui consent à ne plus surveiller une part importante des transactions, un fonds de pension qui souscrit à des placements défiant tout espoir raisonnable de croissance durable, sinon une forme généralisée de mensonge aux autres et à soi-même ?



Voir également :


 

Le relativisme

Le relativisme

Le relativisme est le problème fondamental de nos jours. Le relativisme, en ne reconnaissant rien comme définitif, ne laisse comme ultime mesure que son propre moi avec...

Relativisme

Relativisme

Avec l’individualisme, qui naît avec les Lumières, commence cette perte de l’idée de Vérité avec un grand V, racine de tous les désastres des siècles suivants. Les grandes tragédies du XXe siècle, c'est-à-dire les camps de concentration nazis et les répressions du goulag soviétique,...

Relativisme

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Le relativisme consiste à se laisser balloter de çà de là, emporté à tout vent de la mode et des médias. Sans aucunes racines pour distinguer le vrai du faux et le leurre de la vérité. Cela semble être la seule attitude...

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 01:05

Damon 2PAS DE LIBERTÉ SANS SOLIDARITÉ

 

 

 

 

 

 

 

La liberté a besoin d'un lien qui prend son origine dans une instance supérieure.

 

Le fait qu'il existe des valeurs qui soient hors de toute manipulation, est la vraie garantie de la liberté.

 

L'homme qui sent que son devoir est le vrai et le bien, sera aussitôt d'accord avec ceci : la liberté se développe seulement dans la responsabilité pour un bien supérieur.

 

Un tel bien n’existe seulement que si le vivre-ensemble est respecté.

 

La liberté  ne peut pas être vécue en l'absence de relation.

 

Dans le vivre-ensemble des hommes, la liberté  n'est pas possible sans la solidarité.

 

Ce que l’homme fait au détriment des autres n'est pas la liberté mais une action répréhensible qui nuit aux autres et aussi, en fin de compte, à lui-même.

 

L’homme ne peut vraiment se réaliser comme personne libre, que s’il utilise ses forces pour le bien de l’autre.

 

 

Voir également :

 

LIBERTE

 

SOLIDARITE

 

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 01:00

IDÉES FORCES POUR BIEN MANAGER 

 

 






.
La place centrale de l’homme et la nécessité de son « développement intégral » ;

 

. Son rôle de gestionnaire de la création et de membre de la famille humaine ;

 

. Le souci du bien commun comme principe d’une justice distributive ;

 

. La subsidiarité fondée sur la dignité de chaque personne humaine ;

 

. La destination universelle des biens produits par l’homme qui doit préserver l’exercice légitime du droit de propriété des excès de la cupidité ;

 

. L’impératif du partage qui constitue le socle d’une nouvelle « économie du don » à côté des formes plus classiques de l’économie de marché et du rôle social de l’Etat.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 01:05

Damon 1DICTATURE DE L’IMAGE

 

 

 

 

 

 

 

Sous l’avalanche effrénée de fictions cinématographiques et publicitaires, qui au fond violentent, l’esprit humain n’a plus le temps de se retourner sur lui-même pour mesurer ce qu’il ressent et pour entrer dans l’univers de l’émotion réfléchie.

 

La profusion d’images est écrasante, et il est difficile de résister à cette intrusion massive et subjuguante.

 

Des écrans, seul l’œil reçoit, consomme, et sans attendre, se pose ailleurs.

 

L’homme ne goûte plus, ne savoure plus ; il avale – et sans vomir, ce qui est peut-être le pire.

 

Rien ne vaut les caractères qui défilent sur la page écrite pour permettre de marcher à son allure, de retourner en arrière si cela chante, de trouver l’erreur éventuelle ou l’idée à retenir, donnant à la résonance de l’esprit toutes ses chances.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 01:00

VIVRE EN PAIX

 

 






« Où que tu sois, ne cherche pas à imposer ton point de vue, et tu vivras en paix. »

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 01:05

voss 10HUMANITÉ ET DOMINATION

 

 

 

 

 

 

 

L’autre est indispensable à l’homme, dit-on.

 

Cependant, il est perçu le plus souvent d’abord comme un obstacle, sinon comme un rival.

 

Spontanément, l’homme tend à l’extension maximale de lui-même, à la domination de tout ce qui lui paraît nécessaire pour assouvir son besoin de bien-être et donc à l’élimination de tout ce qui le limite.

 

A ce titre, l’autre est celui qui le gêne.

 

Il prend ce que l’homme croit être sa place parce qu’il l’empêche de prendre toute la place.

 

Ce sont là des mouvements spontanés de ses propres forces vitales.

 

Le refus, le rejet, la négation de l’autre risquent toujours de lui paraître naturels.

 

Il rêvera vite de domination et de toute-puissance.

 

Par l’exploitation et l’oppression de l’autre, s’il le faut.

 

Et il arrivera souvent que l’accès à la réflexion, qui devrait, croit-on, corriger cette illusion, serve au contraire à la renforcer, soutenue qu’elle est par une idéologie sociale de la réussite individuelle.

 

La négation de l’autre, cette inversion du rapport à autrui, est une étrange contradiction dans l’homme.

 

L’autre est son semblable.

 

C’est dans le rapport avec lui qu’il reconnaît sa commune humanité.

 

Langage, travail, échanges, communications, relations…, tissent une véritable ‘’solidarité objective’’ entre humains.

 

L’homme a le besoin et le droit de s’appuyer sur l’autre.

 

Pourtant, souvent, il refuse ce droit à l’autre.

 

C’est aussi qu’il lui fait peur.

 

N’est-il pas celui dont le regard le possède sans qu’il puisse maîtriser ce pouvoir qu’il a sur lui ?

 

N’est-il pas celui qui peut toujours chercher à l’asservir ?

 

Alors, toutes les techniques de domination, ouvertes ou cachées, sont bonnes pour prendre du pouvoir sur lui, c’est-à-dire pour s’affirmer soi-même.

 

Comme si l’homme devait être le centre, l’absolu que tout devrait servir.

 

Or il s’agit, du même coup, de négation de soi.

 

Car ce rapport à l’autre met en jeu l’être même de l’homme.

 

L’essence même de ce qu’il est se joue dans la façon dont il est relié à l’autre.

 

Le rapport à l’autre est la matrice originelle de toute construction de lui-même.

 

L’homme est radicalement un ‘’être avec’’.

 

Concrètement, il est ce que sont ses relations à l’autre.

 

 

 

Voir également :

 

ALTERITE

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 01:00

CONTESTATION

 

 





Avec la jalousie et l’envie, voici la contestation.

 

Il s’agit de cette contestation qui dégénère vite en querelle, discorde, esprit de rivalité.

 

C’est peut-être inconscient au début : on se contente de dire ce qu’on pense –ce qui est très bien -, sans trop prendre garde au fait qu’on prend souvent le contre-pied d’un autre et qu’on s’attache d’autant plus à son idée qu’elle n’est pas celle d’autrui.

 

Bien sûr, on ne va pas « contester » tout ni sur tout, au moins pour commencer.

 

Mais chacun a un domaine où il se sent plus maître de lui, plus libre de contredire, au nom de l’expérience et du bon sens.

 

Rien à voir avec le fait naturel de donner son avis.

 

Ici, c’est à la décision ou à l’autorité qu’on se heurte et il entre le plus souvent dans cet affrontement une part non négligeable de refus de toute subordination, de jalousie plus ou moins instinctive de l’autre.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 01:05

voss 1GRANDIR EN HUMANITÉ

 

 

 

 

 

 

 

Avec la modernité, l’homme a dépassé le risque d’enfermement dans le collectif où l’individu ne trouve son identité que par sa conformité aux modes et aux valeurs du groupe.

 

C’est la reconnaissance de l’homme comme sujet unique, une source de choix et de décision – cette reconnaissance qui ne peut venir que du regard des autres – et c’est à ce niveau qu’existe une personne libre.

 

Mais, va-t-on au bout de l’humain si on ne s’interroge pas sur l’usage que cette personne fait de sa liberté ?

 

C’est qu’il reste une frontière à franchir : que la personne libre, faisant elle-même l’expérience d’être respectée, accepte elle aussi de respecter, c’est-à-dire, accepte à son tour, de reconnaître l’autre et d’agir pour l’aider à grandir lui-même en humanité. 

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Relations Humaines

"La grandeur d'un métier est peut-être avant tout, d'unir les Hommes.

Il n'est qu'un luxe véritable et c'est celui des Relations Humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous batissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre."


                                                                                                                                       Antoine de Saint- Exupéry 

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