- Que se passe-t-il lorsque la vérité n’est plus au rendez-vous ? Dans l’entreprise, dans la société, est-ce que les gens se parlent assez et se disent la vérité ?
- La recherche de la vérité elle-même et le « parler vrai » ne sont-ils pas le fruit de la confrontation avec les faits et les personnes, les données de la vie économique (efficacité, productivité, rentabilité), mais aussi les exigences de justice, de responsabilité, de respect ?
- « Parler vrai » ne va-t-il pas à contre-courant de la culture ambiante et des comportements dans le monde actuel (toujours pousser son avantage, se situer dans des rapports de force et de pouvoir, être un gagneur, un vainqueur…) ?
- « Parler vrai », c’est-à-dire « parler vraiment », n’est-ce pas aussi écouter, déléguer, accorder sa confiance, autant d’attitudes de nature à faire grandir tant les personnes que l’entreprise ?
- « Parler vrai » ne serait-il pas source de libération, d’audace, de créativité, de dynamisme et de croissance ?