Le soir, beaucoup se retrouvent sans aucune énergie.
Un rituel s’impose alors pour fermer la porte du bureau et ouvrir celle de la maison.
De quoi se détacher des joies et des difficultés de la journée.
Si on ne se dessaisit pas des préoccupations du jour, on risque
d’« embouteiller » sa soirée : de la « boucher » par accumulation de nourriture, de télévision, de brouhaha ambiant...
A l’inverse, cela peut être aussi un temps qui nous appartient en propre, un espace où nul souci, nulle inquiétude ne peut pénétrer. Celui de sa liberté intérieure.
Dehors, on klaxonne, on s’énerve, on fait des courses, on presse le pas, on houspille des gamins qui se traînent....
La vie intérieure n’est jamais sourde ou aveugle.
Sachons développer cette liberté personnelle, qui, seule, permet de se tenir debout.